@Equus zebra
Notre Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a reçu place Beauvau une délégation d’islamistes du Conseil National des Imams (CNI), dont fait partie le prédicateur anti-français, anti-chrétien et antisémite des Frères Musulmans Amar Lasfar, pour construire le futur de l’Islam en France.
À votre avis, quel Islam Darmanin va-t-il construire avec cette bande de dégénérés ?
Tout musulman est par définition misogyne, antichrétien et antisémite.
Tout musulman est par définition misogyne, antichrétien et antisémite.
@Jean Robin "Mais voir quelqu’un en 2024 reprendre les accusations absurdes de l’Eglise papiste du 15ème siècle, pour justifier de brûler quelqu’un, c’est du délire absolu. "
Ce ne sont pas des accusations absurdes. La révolution hussite, c’est une guerre civile en pleine Bohême.
Les hussites étaient en gros, l’équivalent des jihadistes d’aujourd’hui. Je rappelle le manifeste hussite de 1412, sous la direction de Jérôme de Prague et Jacobek de Stribro, qui appelait à la guerre, et se concluait ainsi :
"Rangeons-nous en ordre de bataille avec pour dirigeant maître Hus et pour chef maître Jérôme et que quiconque veut être chrétien se tourne vers nous. Que chacun se ceigne de son épée, que le frère n’épargne pas son frère, ni le père son fils ou son père, ni le voisin son voisin.
Tous doivent tuer afin que nous puissions sanctifier nos mains dans le sang des maudits, comme Moïse nous le montre dans ses livres ; car ce qui est écrit là est un exemple pour nous."
A History of the hussite revolution — Howard Kaminsky
Ces révolutionnaires sanguinaires saccageaient les Églises et, harcelaient ceux qui ne voulaient pas les suivre, pour propager leur foi absurde, hérésie du christianisme, et donc oui, il a fallu exécuter les fauteurs de troubles pour ramener l’ordre.
@Jean Robin "Brûler un protestant comme Jan Hus parce qu’il a traduit la bible en tchèque,..."
Jan Hus n’a pas été brûlé parce qu’il voulait traduire la Bible en tchèque, c’est absurde.
À Prague, en Bohême, Jan Hus prêchait une hérésie contre le Pape et l’Église catholique, ce qui attirait les faveurs des princes et rois locaux, intéressés par les biens de l’Églises.
Jan Hus voulait instaurer l’esprit révolutionnaire juif, un retour à l’Ancien Testament, avec la prétention de créer un Paradis sur Terre par la révolte armée. C’est un zélote du XVème siècle favorisant le nationalisme tchèque contre l’Église catholique.
Le pouvoir de l’Église et du Monarque ne doit faire plus qu’un (doctrine largement diffusée par l’anglais Wycliffe), ce qui donnera plus tard des idées à Henri VIII pour entraver la puissance divine du Vicaire du Christ, et ne plus limiter sa soif de pouvoir (protestantisme).
Dans ses sermons enflammés, Jan Hus galvanisait les foules en déclarant que "le moment est venu pour nous, comme ce fut le cas pour Moïse dans l’Ancien Testament de prendre nos épées et de défendre la loi de Dieu." Jan Hus voulait créer un nouvel Israël sur Terre, comme un Bar Kokhba des temps nouveaux.
Exactement le contraire de la prédication du Christ.
La révolution hussite (1412-1419), prémisse des révolutions anabaptistes et protestantes, fut une succession de révoltes avec destructions de monastères et persécutions des moines et des nonnes. Les crucifix dans les Églises de Prague furent couverts d’excréments.
Le manifeste de 1412 fait mention de Jérôme de Prague, le plus fidèle disciple et combattant de Jan Hus, pour inciter à la rébellion, se réfère comme exemple, à l’Ancien Testament :
"Rangeons-nous en ordre de bataille avec pour dirigeant maître Hus et pour chef maître Jérôme et que quiconque veut être chrétien se tourne vers nous. Que chacun se ceigne de son épée, que le frère n’épargne pas son frère, ni le père son fils ou son père, ni le voisin son voisin.
Tous doivent tuer afin que nous puissions sanctifier nos mains dans le sang des maudits, comme Moïse nous le montre dans ses livres ; car ce qui est écrit là est un exemple pour nous."
L’Église catholique se défend en s’en prenant directement à la tête pensante du mouvement hussite, Jan Hus.
Lors de sa condamnation et de son exécution en 1415, Jean Hus sera accusé d’hérésie et de comploter avec les Juifs.
@Jean Robin "Vous citez la Bible, alors que votre Eglise l’a mise à l’index pendant 3 siècles, a interdit sa traduction en langue vernaculaire sous peine de mort, vous êtes très crédible."
Il y a eu des tas de traduction de la Bible en langue vernaculaire au Moyen-âge au X, XI, XII, XIII et XIVème siècle.
La traduction de la Bible en langue vernaculaire a été interdite plus tard pour éviter les déformations des Écritures Saintes en particulier à l’époque du protestantisme naissant, que des prédicateurs utilisaient ensuite pour propager des hérésies, comme Willliam Tyndale, entre autres.
C’est l’Église catholique qui a préservé les Écritures Saintes pendant des siècles, justement pour empêcher n’importe qui de faire n’importe quoi.
@Jean Robin "ah oui, j’ai oublié que plus personne ne va en enfer d’après l’Eglise catholique, même les musulmans, même les athées, dès lors qu’ils ont fait de bonnes oeuvres."
"Jésus reprit la parole, et dit : Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho. Il tomba au milieu des brigands, qui le dépouillèrent, le chargèrent de coups, et s’en allèrent, le laissant à demi mort.
Un sacrificateur, qui par hasard descendait par le même chemin, ayant vu cet homme, passa outre. Un Lévite, qui arriva aussi dans ce lieu, l’ayant vu, passa outre. Mais un Samaritain, qui voyageait, étant venu là, fut ému de compassion lorsqu’il le vit. Il s’approcha, et banda ses plaies, en y versant de l’huile et du vin ; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit à une hôtellerie, et prit soin de lui. Le lendemain, il tira deux deniers, les donna à l’hôte, et dit : Aie soin de lui, et ce que tu dépenseras de plus, je te le rendrai à mon retour. Lequel de ces trois te semble avoir été le prochain de celui qui était tombé au milieu des brigands ?
C’est celui qui a exercé la miséricorde envers lui, répondit le docteur de la loi. Et Jésus lui dit : Va, et toi, fais de même."
Luc 10:30-37
@Jean Robin "Un suicidé ne va-t-il pas en enfer selon votre propre croyance ?"
"On ne doit pas désespérer du salut éternel des personnes qui se sont donné la mort. Dieu peut leur ménager par les voies que lui seul connaît, l’occasion d’une salutaire repentance. L’Église prie pour les personnes qui ont attenté à leur vie."
Catéchisme de l’Église catholique — 2283
@Jean Robin "merci de confirmer ce que je dis par votre silence assourdissant sur un point cardinal de la foi chrétienne."
Je n’ai pas connu Stefan Zweig, mis à par les remarquables bouquins qu’il a écrit.
Et je n’ai pas à juger ce monsieur pour ce qu’il a fait.
Saül massacrait les chrétiens sans pitié, avant qu’il n’accepte la grâce du Christ pour devenir dans le baptême, Saint Paul, son plus extraordinaire Apôtre évangélisateur à travers tout le bassin méditerranéen.
Les voies du Seigneur sont impénétrables.
@Jean Robin Fermez les yeux Jean, votre Idole encore à l’oeuvre dans une descente vertigineuse au fin fond des ténèbres !
"Dieu n’a pas besoin de pompes. Plus de ces engourdissements voluptueux de l’âme, plus de musique ni d’orgue pendant le service divin ! Les cloches d’églises elles-mêmes devront dorénavant se taire à Genève : ce n’est pas avec un airain grossier que le vrai croyant doit être appelé à son devoir."
[...]
"D’un seul trait de plume, Calvin supprime toutes les fêtes du calendrier, Pâques et Noël, que l’on célébrait déjà dans les catacombes romaines, les jours des Saints, les vieilles coutumes traditionnelles. Le Dieu de Calvin ne veut pas être fêté, ce qu’il veut avant tout, c’est être respecté et craint."
[...]
"Un frisson le saisit chaque fois qu’il contemple ses semblables ; jamais un fondateur de religion n’a rabaissé pareillement la dignité de l’homme, qui n’est à ses yeux, "qu’une bête indomptable et féroce", et pire encore, "une ordure". N’écrit-il pas textuellement dans son "Institution chrétienne" :
"Si l’on juge l’homme d’après ses dons naturels, on ne trouve pas en lui, des pieds à la tête, la moindre trace de bonté. Le peu qu’il y a de louable en lui, il le doit à la grâce de Dieu... Toute notre justice est injustice, notre mérite foutaise, notre réputation honte...et les meilleures choses qui proviennent de nous sont contaminées, viciées, corrompues par les impuretés de la chair".
Celui qui du point de vue philosophique, considère l’individu comme un produit si détestable et si mal venu de la Création, n’admettra, bien entendu, jamais, en tant que théologien et qu’homme politique, que Dieu lui ait accordé la moindre sorte de liberté ou d’indépendance. Une créature aussi corrompue doit être impitoyablement mise en tutelle, car si "on l’abandonne à elle même, son âme n’est capable que de faire du mal".
[...]
"Pour ce rabaissement draconien de la personnalité, pour ce dépouillement complet de l’individu au profit de la collectivité, Calvin applique une méthode particulière, la fameuse "discipline". Dès la première heure, cet organisateur génial enferme son "troupeau", sa "communauté", dans un réseau serré d’articles et d’interdictions, les fameuses "ordonnances", et créé en même temps un office spécial pour en surveiller l’exécution, le "Consistoire", dont la tâche est définie d’une façon extrêmement équivoque : "surveiller la communauté afin que Dieu soit proprement honoré"."
[...]
"Bien entendu, à partir du jour où ce contrôle universel est introduit à Genève, il n’y a plus en fait de vie privée. Conformément à l’opinion de Calvin selon laquelle tout homme est constamment disposé au mal, chacun est considéré d’avance comme suspect de péché et doit par conséquent accepter qu’on le surveille. Toutes les maisons ont soudain leurs portes ouvertes et tous les murs sont en verre. À n’importe quel moment, la nuit comme le jour, le marteau de votre porte peut retentir et un membre de la police ecclésiastique apparaître pour la "visitation" sans que vous puissiez vous y opposer."
Stefan Zweig - "Conscience contre violence" p66-69
Vous pouvez les ouvrir de nouveau, Jean, c’est fini, vous êtes passé de l’autre côté de l’Enfer !
@Jean Robin "Vous citez (fièrement) un suicidé."
Stefan Zweig a fait des recherches historiques rigoureuses sur Calvin, Marie-Antoinette, Fouché, Magellan, Marie Stuart, Montaigne, Erasme,... ses biographies, romans et nouvelles ont fait le tour du monde et sont toujours considérés comme des oeuvres d’art.
@Jean Robin "Allez au diable si vous ne croyez pas les faits qui sont devant vous, vous mentez et c’est ce que font les fils du diable comme vous."
Oulà Mr Robin ! C’est le calviniste qui est en vous qui s’ébroue ?
Bon, ne lisez pas ce qui suit alors, je ne veux pas que vous fassiez un malaise :
"Pendant des heures, car il est dit dans les ordonnances qu’il "faut prendre le temps pour procéder à loisir à l’inspection", d’honorables vieillards aux cheveux blancs doivent, tels des écoliers, répondre à une foule de questions, soit que l’on veuille se rendre compte qu’ils savent bien leurs prières ou que l’on désire qu’ils expliquent pourquoi ils n’ont pas assisté au dernier prêche de Calvin.
Mais la "visitation" n’est pas du tout terminée avec cela. Cette Gestapo des moeurs fourre son nez partout. Elle s’assure que les robes des femmes ne sont ni trop longues ni trop courtes, qu’elles n’ont pas de ruches superflues ou des jours exagérés, compte les bagues que l’on a aux doigts et les chaussures qui sont dans l’armoire. Du cabinet de toilette elle passe à la salle à manger, pour voir si on n’a pas ajouté au seul plat permis une petite soupe ou un morceau de viande, ou si l’on n’a pas caché quelque part une friandise ou de la confiture.
Et le pieux policier poursuit son inspection dans toutes les pièces. Il regarde dans la bibliothèque pour savoir si elle ne contient pas de livres ne portant pas le sceau de la censure consistoire, fouille dans les tiroirs pour voir si par hasard on n’y a pas caché une image sainte ou un chapelet. Il interroge les domestiques pour leur demander des renseignements sur leurs maîtres, les enfants pour qu’ils leur en donnent sur leurs parents.
En même temps, il prête l’oreille du côté de la rue pour s’assurer que personne n’y chante un chant profane, ne joue d’un instrument quelconque ou ne s’abandonne au vice diabolique de la gaieté. Car désormais, à Genève, on traque sans merci toute "paillardise", toute forme de plaisir, et malheur au bourgeois qui se laisse surprendre à entrer, après le travail, dans une taverne pour y boire un verre de vin, ou à jouer aux dés ou aux cartes !
[...]
"Ces gardiens des moeurs sont partout présents et infatigables : le soir, ils vont et viennent à travers les bosquets obscurs qui bordent le Rhône pour voir s’il ne s’y trouve pas un couple d’amoureux en train d’échanger des baisers. Ils fouillent les lits des auberges et les coffres des voyageurs. Ils ouvrent toutes les lettres qui sortent de Genève, comme celles qui viennent du dehors, et la vigilance admirablement organisée du Consistoire s’étend très loin au-delà des murs de la ville."
Stefan Zweig - "Conscience contre violence" p69-71
@Jean Robin "Vous pouvez refaire l’histoire, mais c’est Bacon qui est crédit pour la découverte de la méthode scientifique."
Que Francis Bacon ait formalisé certains concepts de la méthode scientifique ne veut pas dire qu’elle n’existait pas avant. La preuve avec les calculateurs de Merton et Nicole Oresme, entre autres, qui avaient déjà compris expérimentalement le principe d’inertie.
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"Le protestantisme est à l’origine de la plupart des sciences modernes, de la démarche scientifique, de la révolution industrielle, de la révolution informatique, de la révolution de l’Internet et désormais de la révolution de l’IA. On juge un arbre à ses fruits."
Une fois les portes ouvertes par la globalisation, même les taoïstes chinois font des découvertes !
La vidéo est vraiment très drôle, on est en face d’un duo de comiques, et il y a du niveau :
Jean Robin : "Calvin n’a fait brûler qu’une seule personne, Michel Servet, ça fait un."
Notre ami Jean devrait relire quelques biographies de Calvin !
"Courant radical du Protestantisme, le Calvinisme s’est érigé en véritable système politico-religieux qui fit de 1541 (Arrivée au pouvoir de Jean Calvin à Genève) à 1564 (date de sa mort à Genève) pas moins de 2300 condamnations au bûcher... soit plus que la totalité des condamnations de toute l’Europe toutes périodes confondues !"
[...]
"Les victimes des persécutions de la République de Genève de Calvin seront des femmes marginalisées accusées de pactiser avec le Diable en personne. Elles seront toutes condamnées à mort après tortures.
L’hystérie gagnera Calvin durant la peste de 1544-1545. Il sera convaincu que des sorciers "Engraissent" les serrures des portes avec une pommade faite avec des cadavres de pestiférés. Les femmes condamnées auront la main droite coupée avant de finir sur le bûcher.
A titre d’exemple, dans la commune de Peney, sur quarante-trois personnes traduites en justice, trente-huit seront exécutées. Les campagnes seront particulièrement touchées par les chasses aux sorcières."
http://histoirerevisitee.over-blog.com/2015/05/la-republique-de-geneve-de-calvin-une-dictature-religieuse-et-morale.html
http://histoirerevisitee.over-blog.com/2015/05/quand-jean-calvin-persecutait-ses-opposants.html
http://www.rts.ch/decouverte/dossiers/2010/sorcellerie/2630720-le-cas-genevois-et-le-proces-de-michee-chauderon.html
Calvin a institué un des premiers états totalitaires, la république de Genève.
Les protestants, en particulier les calvinistes, ont voulu instaurer l’état totalitaire en Europe : interdiction de la musique et des arts, destruction des églises et d’un patrimoine technique et artistique millénaire inestimable (furie iconoclaste), organisation d’une surveillance généralisée des populations pour vérifier l’application des bonnes moeurs, comme l’avait promulgué Calvin dans sa république de Genève.
Leur haine du catholicisme était telle, qu’ils ont longtemps interdit l’emploi du calendrier grégorien que les scientifiques catholiques avaient mis au point guidés par le Pape Grégoire XIII et toujours en vigueur aujourd’hui car le plus précis. Les protestants néérlandais ne l’adopteront qu’au XVIIème siècle, les protestants anglais et nord-américains qu’au milieu du XVIIIème siècle.
L’église catholique a toujours combattu ce totalitarisme.
@Jean Robin
Francis Bacon n’a pas été inventée la méthode scientifique, elle a été inventée bien avant.
La science moderne telle qu’on la définit aujourd’hui n’est pas née en Mésopotamie, ni dans la civilisation trois fois millénaire égyptienne, ni chez les celtes européens durant 3000 ans, ni dans la Grèce antique, pas même chez les romains, encore moins chez les arabo-musulmans, les perses ou en Chine.
Elle est née au Moyen-Âge dans les universités catholiques du XIVème siècle.
Les premiers à bouleverser l’univers figé d’Aristote sont les calculateurs de Merton, une génération de philosophes et de mathématicien du XIVème siècle formés dans les universités catholiques, en particulier au Merton College à Oxford.
Thomas Bradwardine (qui deviendra archevêque de Canterbury), John Dumbleton, William Heytesbury et Richard Swineshead, formés au Merton College à Oxford, distinguèrent la cinématique de la dynamique (en mettant l’accent sur la première), et étudièrent la notion de vitesse instantanée. Ils furent les premiers à formuler et à démontrer le théorème de vitesse moyenne (fondement de la loi de la chute des corps) : « un corps se déplaçant à vitesse constante parcourt la même distance qu’un corps uniformément accéléré si sa vitesse est la moitié de la vitesse finale du corps accéléré », longtemps avant Galilée, auquel on continue généralement à l’attribuer.
Nicole Oresme, évêque de Lisieux et élève de Buridan, est un des premiers à concevoir le principe et l’utilité des coordonnées cartésiennes pour la représentation graphique de phénomènes quantitatifs.
La démonstration d’Oresme est le premier exemple connu d’un problème physique modélisé sous forme graphique d’une fonction mathématique
Le découpage de la trajectoire d’un mobile en petits rectangles est tout à fait révolutionnaire, et annonce l’avènement du calcul infinitésimal appliqué aux sciences, qui ne sera élaboré sous sa forme définitive que trois siècles plus tard, au XVIIème siècle par Newton et Leibniz.
Ces penseurs du Moyen-Âge, dont les principes rationnels sont issus du thomisme (philosophie naturelle), ont donc élaboré les prémisses de la science moderne où tous les phénomènes physiques sont décrits par des équations différentielles du calcul infinitésimal (électromagnétisme, mécanique quantique, mécanique du point, physique statistique, relativité, et...).
Donc c’est bien dans le christianisme catholique du Moyen-Âge, qui n’a donc rien "d’obscurantiste", que la science moderne a commencé à exister, même si elle a subi un énorme coup d’arrêt dans la deuxième moitié du XIVème siècle, lié à la peste noire qui a décimé un tiers de la population européenne.
@rogal "Sur le plan épistémique (connaissance, intelligence, etc.), le christianisme, en remplaçant la libre pensée par les croyance et en imposant des dogmes puérils a été une catastrophe pour l’Europe."
Ce qui est un peu étonnant comme raisonnement si on se base sur les faits.
Quand l’Europe est devenue la première économie culturelle, cultuelle, économique et morale du monde, elle était bien chrétienne.
D’ailleurs encore aujourd’hui, toutes les nations du Monde se basent sur le calendrier catholique.
@yoananda2 "Non, c’est la croyance en la résurection. Attention, vous filez un mauvais coton si vous pensez gagner le salut en étant vertueux."
"Il en est ainsi de la foi : si elle n’a pas les oeuvres, elle est morte en elle-même. Mais quelqu’un dira : Toi, tu as la foi ; et moi, j’ai les oeuvres. Montre-moi ta foi sans les oeuvres, et moi, je te montrerai la foi par mes oeuvres
Tu crois qu’il y a un seul Dieu, tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent. Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les oeuvres est inutile ? Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les oeuvres, lorsqu’il offrit son fils Isaac sur l’autel ?
Tu vois que la foi agissait avec ses oeuvres, et que par les oeuvres la foi fut rendue parfaite."
@yoananda2 "Je n’ai pas choisis d’être un homme."
Ça, c’est Dieu le Créateur qui a choisi pour vous !
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"Je n’ai pas choisis mes goûts. Je n’ai pas choisis de trouver débile la foi chrétienne. Ca s’impose à moi. Je n’ai aucun choix sur tous ces trucs. Je peux choisir mon repas du soir, ça oui. Mais pour le reste..."
Ah non, là, c’est bien vous qui avez choisi, rien ne s’impose à vous. Personne ne vous empêche de vous rendre dans une Église pour y réfléchir, trouver le silence, le calme, la sérénité, y voir l’humilité, le chemin de la justice et la vérité de Dieu.
C’est un Don gracieux que Dieu offre à tous. Vous êtes libre d’accepter ou de refuser. Beaucoup ont découvert le Chemin.