mardi 27 septembre 2022 - par yoananda2

Zoopolis - Théorie politique des droits des animaux | Avec Mr Phi Philoxime

Vidéo qui explique la philosophie de la défense des droits des animaux. Le concept de citoyenneté et de résidant que nous utilisons pour les humains sont étendus de manière habile pour être appliqués aux animaux. Il ne s'agit pas de délire consistant à interdire aux lions de manger les gazelles, mais de vraie réflexion philosophique. Le fondement est de réduire la souffrance animale.

J'adhère à la démarche, j'adhère en grande partie au résultat.

Problème : si je suis bel et bien antispéciste parce que je défends la cause animale, certaines me qualifieraient aussi de raciste, et en principe c'est antinomique. Examinons tout ça.

Je suis végétarien, je défends la cause animale, c'est-à-dire la réduction de la souffrance animale et par extension leur droit à vivre comme bon leur semble.

Les auteurs font la différence entre les animaux domestiqués (de compagnie ou d'élevage) qui peuvent prétendre au statut de citoyenneté car ils peuvent coopérer avec nous et les animaux sauvages ainsi que les animaux "liminaires" (sauvages mais qui vivent parmi nous, comme les rats, les pigeons).

Donc, je suis un "anti-spéciste" pour certains, extension de l'anti-racisme. Problème, je serais sûrement qualifié de raciste par d'autres, car je suis pro-race, pro-diversité-raciale comme je suis pro-bio-diversité.

Je suis contre le décolonialisme l'intersectionnalité et l'antiracisme des bobo-gogo-gauchos des hommes soja des villes qui sont des projets politiques de négation des identités. Ce sont des pathologies de l'altérité.

Interdire et punir les mauvais traitements faits aux animaux (donc en gros l'élevage industriel, qui est une espèce de camp de concentration gigantesque et perpétuel) me semble du simple bon sens.

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Cependant, l'argument principal des antispéciste se résume souvent à "il faut pousser la logique anti-raciste aux être sentients".

Sauf qu'à leurs yeux, je suis un raciste parce que je dis que les races existent tout autant que les espèces et que le fait de préférer ceux qui nous ressemblent donc, de vouloir vivre avec ceux de sa propre race et de défendre leurs intérêts avant ceux des autres.

Et la, c'est le bug.

Pourtant, ça me semble simple à comprendre : je suis végétarien parce que je ne veux pas faire souffrir les animaux (le moins possible). Il en est de même pour les autres races, je souhaite leur bien tant que ce n'est pas au détriment du mien et des miens. Simple.

Je ne suis pas contre le métissage (les gens font ce qu'ils veulent) mais contre la propagande métissolatre et les politiques de migration de masse. Si certains argumentent que ce n'est pas une politique mais un mouvement spontané, alors je réponds que le fait de vouloir s'en préserver est tout autant un mouvement spontané chez certains.

Du coup, je trouve les droits des animaux intéressants pour les animaux bien sûr mais aussi pour réformer quelque peu les droits des humains.

Par exemple, la question de la souveraineté est soulevée, il y est question de laisser des espaces à la souveraineté animale. Appelons ça un 'espace vital' en référence aux heures sombres et pour faire chier les bien pensants. Eh bien je dis, faisons pareil pour les humains. Tout le monde ne veut pas être mis sous la souveraineté d'un état immigrationiste et anti-raciste. Donc moi et d'autres blancs, on ne serait pas contre un petit espace vital, puisqu'il n'existe plus à l'heure actuelle (à ma connaissance) de pays blancs qui y échappe (hormis la Hongrie et la Pologne mais c'est bancal vu qu'elle fait partie de l'union européene). Ce même droit pourrait être appliqué pour les Basques et les Corses.

Autre cas, il est mentionné que si des animaux ne parviennent pas à contrôler leur démographie, nous devons les y aider. Ben c'est pareil avec les humains, et d'ailleurs ça se fait déjà (c'est tabou) avec les trisomiques qui sont stérilisés en secret.

En gros, je suis pour traiter les animaux comme des humains, et vice versa. Je suis encore plus avant-gardiste que les anti-spécistes car ils partent d'un présupposé antropocentré que je ne partage plus. Ce qui compte c'est de minimiser la souffrance, sans considération d'espèce. Soit, faisons le, et les règles d'évidence qu'on applique aux animaux, appliquons nous les aussi. Pas d'exception humaine.

C'est à une population, sur son territoire souverain, de gérer sa démographie. Si elle ni parvient pas, c'est aux autres de la contraindre.

Protégeons la biodiversité, autant pour les animaux que les humains (chez nous ça s'exprime par des cultures, des ethnies et des races différentes).



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