mardi 27 mai - par phan

Trump a encore tenté d’humilier un président étranger dans le Bureau ovale

"Donald Trump a reçu le président sud-africain à la Maison-Blanche le 21 mai 2025. Et surprise, il a décidé de lui démontrer, montage vidéo à l’appui, que les fermiers blancs de son pays se faisaient massacrer. Du pur cinéma ! Et une nouvelle scène tristement culte dans le Bureau ovale après le guet-apens contre Volodymyr Zelensky."

 

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« GÉNOCIDE BLANC EN AFRIQUE DU SUD » : DERRIÈRE LA FAKE NEWS DE TRUMP, L’OMBRE DU SUPRÉMACISME BLANC
"Dans cet extrait de Décrypter l’Afrique, Fabrice Wuimo revient, aux côtés de Théophile Kouamouo, sur une séquence diplomatique aussi absurde que révélatrice : la rencontre tendue du 21 mai à la Maison-Blanche entre Donald Trump et Cyril Ramaphosa. Sous couvert de rencontre au sommet, ce tête-à-tête s’est transformé en mise en scène médiatique au service d’une idéologie identitaire.
Que s’est-il vraiment passé ? Le président sud-africain, venu expliquer les réformes foncières de son pays — visant à corriger une injustice historique de l’apartheid — s’est retrouvé confronté à un Donald Trump obsédé par un prétendu “génocide des fermiers blancs”. Une thèse fantasmée, instrumentalisée par l’ancien président américain, qui n’a pas hésité à exhiber de fausses images, allant jusqu’à montrer une photo de victimes… en République Démocratique du Congo.
Trump a même accueilli 49 fermiers blancs sud-africains comme "réfugiés", alimentant l’idée d’une persécution raciale inventée de toutes pièces. Derrière ce coup médiatique se dessine une logique plus sombre : celle d’un projet ethno-national sélectif, où les Afrikaners seraient utilisés pour renforcer une Amérique blanche conservatrice fracturée.


Et au cœur de cette mascarade, un invité surprise : Elon Musk. Le conflit autour du déploiement de Starlink en Afrique du Sud vient éclairer les véritables raisons de cette agitation : enjeux économiques, pressions politiques, et défense d’intérêts privés sous couvert d’indignation morale.
Ce récit n’est pas qu’une anecdote diplomatique : il révèle comment certains dirigeants utilisent les migrations, les conflits raciaux et les récits humanitaires pour imposer une vision rétrograde du monde."

 



1 réactions


  • berry 28 mai 15:48

    Ben voyons, les milliers de fermiers blancs assassinés n’existeraient pas, ni les expropriations de force, ni les appels aux meurtres impunis proférés dans des stades par un important parti sud-africain, devant des dizaines de milliers de supporters, avec des mots d’ordre sans équivoque comme "tuez les boers", "tuez les boers". C’est de notoriété publique, ça a été filmé et revendiqué.

    Le problème est bien réel et connu depuis des années et une partie importante des agriculteurs blancs sud-africains a déjà fait ses valises vers l’Australie et d’autres pays. Un racisme anti-blanc a remplacé le racisme anti-noirs du régime de l’Apartheid.

    Il n’y a que la presse pourrie d’extrême-gauche pour prétendre le contraire. Des vrais collabos anti-blancs et anti-français, à l’image de LFI, qui n’hésitent pas à encourager l’invasion de la France alors qu’ils avaient milité pendant des décennies pour la décolonisation de l’Afrique. Des partis de l’étranger, au vrai sens du terme.

    https://ripostelaique.com/brisant-lomerta-trump-offre-lasile-aux-blancs-persecutes-dafrique-du-sud.html

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