Tommy Robinson victime de mensonges et de harcèlement politico-médiatique propagés par les journalistes de l’émission "Panorama" de la BBC
Tommy Robinson est inconnu de nos mass-média français et pour cause, il est le fondateur de l'"English Defence League" (EDL), un groupe dénonçant depuis une dizaine d'années la montée en puissance de l'Islam radical, et luttant contre la menace islamiste sur la Grande-Bretagne.
Tommy Robinson agressé par un musulman pendant un entretien avec un journaliste
tribunaux islamiques de Londres appliquant les lois de la charia. Une femme peut être répudiée si son mari prononce trois fois devant un imam : "Je te répudie, je te répudie, je te répudie". La femme n'a pas ce droit.
mosquées de Londres préchant une idéologie misogyne, antieuropéenne, antichrétienne et antisémite, dénoncées par Tommy Robinson
Ses prises de positions contre l'Islam radical lui valent l'hostilité des média britanniques, au nom d'un antiracisme militant primaire et de la paix sociale.
Une véritable campagne de destruction morale et sociale a été engagée par l'ensemble des média britanniques contre Tommy Robinson depuis des années, le traitant de facho d'extrême-droite et de nazi, dans le but de cacher l'islamisation de l'Angleterre.
Cet aveuglement est tel qu'il interdit tout raisonnement lucide et conduit à des situations irrationnelles.
Au nom des droits de l'homme, de la tolérance islamique et du métissage, les politiques, les policiers et les autorités civiles ont protégé de manière scandaleuse des criminels musulmans pakistanais qui ont torturé et abusé de milliers de jeunes filles britanniques blanches mineures pendant une quarantaine d'années dans les villes du nord de l'Angleterre, comme à Rotherham, Telford, Bradford, Sheffield, Rochdale ou Derby.
Actes de torture, harcèlement, viols, des milliers de jeunes filles blanches victimes de musulmans pakistanais pendant des décennies avec la complicité des institutions britanniques.
Les institutions britanniques se sont conditionnées et soumises inconsciemment au statut de dhimmi pour éviter la colère des musulmans, en acceptant de payer le tribut, la capitation, comme autrefois dans l'Espagne musulmane (Al Andalous), où les villageois devaient offrir des jeunes filles chrétiennes au calife musulman de Cordoue chaque année pour alimenter son harem.
Faisant partie des fêtes traditionnelles de libération de l'Espagne du joug islamique, "la reconquista", les Festivités annuelles de « Las Cantaderas » dans la province de León au nord-ouest de l’Espagne, commémorent depuis plusieurs siècles, la libération en 844 par le roi des Asturies Ramiro I des populations soumises à la charia, aux lois islamiques liberticides qui obligeaient les Chrétiens à payer un tribut : chaque année, 100 filles (doncellas) devaient être cédées comme esclaves aux harems des califes musulmans de Cordoue, dont celui de Abd-Al-Rahman I (756-788)
Pour avoir filmé l'ouverture du procès des criminels pakistanais à Telford le 25 mai 2018, Tommy Robinson est arrêté par la police et condamné par le tribunal de Leeds à 13 mois de prison.
Vous avez bien lu. Le simple fait de vouloir filmer et montrer au peuple britannique les criminels qui ont torturé et abusé de milliers de jeunes filles pendant des décennies, a valu à Tommy Robinson la réclusion, dans les pires geôles britanniques, où il a été mis directement mis en contact avec les islamistes qu'ils dénoncent dans ses discours et sur les réseaux sociaux. Digne d'un régime politique fasciste !
Ses proches, sa famille, ses enfants font également l'objet de menaces répétées et de harcèlement par des militants d'extrême-gauche et d'islamistes.
Tommy Robinson sort de prison sous caution le 1er août 2018 grâce en partie à la pression du peuple, une pétition ayant recueilli 630 000 signatures réclamait sa libération. Très affecté, il règle alors ses comptes avec les journalistes.
Dans une vidéo publiée sur Youtube le 25 février 2019 (plus de 1 million de vues en moins d'une semaine), Tommy Robinson dénonce le système médiatico-politique qui tente de détruire sa vie familiale et celle de ses proches.
Tommy Robinson montrant publiquement sa vidéo sur la manipulation des journalistes de "Panorama", émission de la BBC.
Sont visés dans la vidéo les principaux média britanniques, mais en particulier la BBC et son émission hebdomadaire d'investigation journalistique vedette, "Panorama".
L'émission se dit impartiale et prétend mener des enquêtes poussées afin de chercher la vérité, toujours dans le respect de ses interlocuteurs.
Tommy Robinson montre dans sa vidéo que les journalistes de "Panorama" préparaient une émission dans le but de détruire sa réputation et l'enterrer socialement.
Le témoignage d'ex-employés de Tommy Robinson montre que John Sweeney, le journaliste d'investigation en charge du documentaire de la BBC, travaille en collaboration avec l'organisation d'extrême-gauche antifa "HOPE not hate", chargée de recueillir les entretiens afin de décrédibiliser Tommy Robinson.
"HOPE not hate" n'a rien d'impartial, puisque ce mouvement politique mène depuis des années une véritable campagne de haine contre Tommy Robinson.
Plus grave, les dirigeants de "HOPE not hate", tels Nick Lowles et Joe Mulhall collaborant au documentaire "Panorama", auraient tenté de soudoyer des ex-employés de Tommy Robinson, par harcèlement moral et terreur psychologique pour les empêcher de travailler de nouveau avec lui.
Lucy Brown, qui a collaboré autrefois avec Tommy Robinson, a également été approchée par John Sweeney pour une rencontre.
Avant de se rendre à l'entretien, Lucy Brown a alerté Tommy Robinson, et ils ont décidé de piéger John Sweeney par caméra cachée, en créant même un faux SMS ne provenant pas du téléphone de Tommy Robinson, menaçant la journaliste si elle avait quoi que ce soit à voir avec le documentaire de "Panorama". Ceci afin d'étudier la réaction de John Sweeney.
Lors de l'entretien avec Lucy Brown, John Sweeney, filmé à son insu, explique que le but est de "descendre" Tommy Robinson, et qu'il pourrait donc exploiter ce SMS contre lui, en le maquillant en harcèlement sexuel, sans aucune vérification de sources. On voit là toute la mascarade de la soi-disant "déontologie journalistique", et de la charte de la BBC qui prétend que ses journalistes sont des professionnels faisant un travail d'investigation rigoureux !
Durant cet entretien filmé en caméra cachée, John Sweeney tient également des propos homophobes, et racistes contre les pakistanais. Ce qui va à l'encontre de la déontologie journalistique dans laquelle il se prévaut sur la chaîne BBC, et montre à nouveau l'hypocrisie crasse dans laquelle est plongée ce milieu journalistique.
Tommy Robinson a été banni de Twitter et Paypal en 2018. La publication de sa nouvelle vidéo sur Youtube le 25 février 2019 a déclenché un nouveau mouvement de panique et une réaction immédiate au sein du système médiatico-politique gouvernemental, ses comptes Facebook et Instagram ont été fermés en 24 heures.