dimanche 8 avril 2018 - par Double poing

"Survivalisme : Préjugés & Réalité", avec Vol West et Gilles Lartigot

"Le Survivalisme n'a pas bonne presse. Entre préjugés et caricatures, propos anxiogènes et incompréhensions, les médias mainstream oublient régulièrement de mettre en avant les valeurs positives de ce courant légitime. J'ai proposé à Vol West un droit de réponse quant aux récents articles parus dans la presse française." Gilles LARTIGOT



5 réactions


  • wendigo wendigo 9 avril 2018 08:33


    Les survivalistes ..... rien que le nom m’amuse !
     Ils me font penser à des bobos qui se sont découvert un passe temps new age, une forme d’écolos extrémistes qui se font un retour à la nature teinté de jus de frayeurs.
    Quand je les regarde, lis, écoute, il me semble évidant que ces gens là sont dans un rêve et ne prennent pas l’ampleur des choses à leur juste mesure, ils ne voient dans leurs délires, que des catastrophes, sociales et économiques et passe à coté de ce qui est réellement la menace .... Une base autonome ok, mais ça c’est une réaction du passé, le monde est en train de changer, le climat, la polarité du champ magnétique et plus grâve .... l’oscillation de l’axe de la terre ! De tout ceux que j’ai pu entendre, aucun ne prend cette donnée en considération et pourtant c’est la principale, car si la sédentarité est une chose acceptable avec des cata sociales et ou économique, c’est de l’ordre du suicide pour ce qui est des cataclysme naturels, qui plus est globaux et majeurs (ce qui nous prend exactement au nez).
    Dans cette vidéo ils parlent des base autonomes du Montana .... une question se pose, ces bases tiennent elles compte du réveil de Yellowstone ? Juste lui, juste ça ...
    Le survivalisme c’est un truc de sédentaires, qui tentent de conserver leur petit confort en cas de cata, ils ne pensent et ne prévoient que le pire mais que dans le sociale et l’économique et ce uniquement sur la base que notre monde et son climat sont invariables. Il suffit que le climat se refroidisse légèrement et ils feront connaissance avec la famine.
    Ces gens parlent de survivalisme, mais sont en fait très matérialistes. Ils font des stocks de choses, mais n’apprennent pas à "FAIRE" les choses ! Comment faire du savon, du cirage, du dentifrice, se faire une musette, des pompes (le plus important) ou un manteau ..... non eux parlent de stocker, ils ne parlent pas de "survivre", mais de ne pas perdre leur petit train de vie !


    • wendigo wendigo 9 avril 2018 08:36

      @wendigo

       Et je ne parlerais pas de ceux qui font des bouquins, des vidéo etc etc etc ..... pour qui le survivalisme est un manière de se faire du fric, des al gore de la survie, des Hulot de l’extrême, rien de plus !


  • Hijack ... Hijack ... 9 avril 2018 20:16

    Certes, les plus connus des survivalistes, du moins ceux du sujet, en font trop (en avaient fait trop) ... mais une chose est certaine, ils avaient raison sur une chose : il est tjrs très utile de savoir se débrouiller quelque soit la situation, le temps/température, le lieu, le danger. De même que chacun doit avoir à portée de main de quoi faire du feu, de quoi se défendre, de quoi et savoir s’hydrater et se nourrir au cas où --- mais, à une seule condition, que ce ne soit pas une obsession, une peur maladive de l’inconnu, des inconnus ou je ne sais quoi ...


  • DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 9 avril 2018 22:17

    Le survivalisme est un courant d’extrême gauche à l’origine ... mode baba cool, pétards, Woodstock, bio & nature, entraide, socialisme, communisme, commun-isme, une mise en commun unitaire et juste ...
     
    De nos jours, le survivalisme a viré à l’extrême droite, en mode chacun pour sa gueule, en mode dualisme ... Aujourd’hui ce que ressemble le plus au survivalisme primordiale est la permaculture, un système en mode unité, chaque brin d’herbe a le droit à son bout de terre en permaculture ...


  • Belenos Belenos 10 avril 2018 09:28

    Le mot "survivalisme" est laid. 


    S’il s’agit de rester en vie dans des conditions difficiles, il faut apprendre à se contenter de l’essentiel tout en restant humain (sinon à quoi bon ?) 

    Or, la beauté des mots est essentielle pour préserver son humanité.

    Je préfère donc utiliser l’expression de "simplicité autonome" qui est plus complète et moins barbare. 

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