jeudi 22 août 2013 - par Enquête&Débat

Prenons les socialistes à leur propre jeu : 6 mesures pour 2025

Les socialistes, qui ne savent plus quoi inventer, proposent maintenant de réfléchir à ce que sera 2025, et comment s’y préparer. Il est vrai que la politique consiste à préparer l’avenir, puisque gouverner c’est prévoir. Mais les socialistes n’ont jamais rien prévu, de la guerre menée par Hitler, à la chute du communisme, en passant par l’échec économique et social du... socialisme. Pourquoi cela changerait-il ? Néanmoins, nous allons jouer leur jeu, en proposant 5 mesures, plus ou moins originales, en essayant de ne pas nous répéter par rapport aux mesures prioritaires que nous préconisions déjà pour la France.

 

1- Limiter la souffrance animale

 

L’espèce humaine ne peut plus longtemps se satisfaire de maltraiter les poules, cochons, vaches et autres oies de la manière dont elle le fait jusqu’à présent, et comme en attestent de nombreuses vidéos toutes plus insoutenables les unes que les autres, comme celle-là par exemple, la visite d’un abattoir Charal :

 

 

2- Limiter la manipulation mentale

 

Nous avons tous fait cette expérience : nous regardons la télé, et nous l’éteignons 1 heure après que ayant voulu l’éteindre ! Ou bien nous sortons du supermarché avec le slogan d’une marque dans la tête qui tourne en boucle sans que nous le voulions ! Ou encore nous sommes manipulés par des clips vidéos très sophistiqués :

 

 

3- Limiter le voile en France

 

Prenons exemple sur Bourguiba, qui l’avait interdit en Tunisie, et suivons ce que propose Chahdortt Djavann, en interdisant le voile, à commencer par les voiles qui s’imposent aux filles de moins de 13 ans, qui ne peuvent avoir choisi de le porter :

 

 

4- Limiter l’endoctrinement des enfants

 

Outre le voile, il conviendrait d’élargir cette mesure de salubrité publique, en incitant vivement les parents croyants à laisser leur progéniture libre de croire (ou de ne pas croire) jusqu’à ses 18 ans, un peu comme les franc-maçons attendent l’âge de la majorité pour initier quelqu’un. Ainsi les parents pourraient présenter à leurs enfants les différentes croyances qu’il peut exister, afin qu’il s’agisse d’un choix le plus raisonné et raisonnable possible, plutôt qu’un atavisme peu digne de l’être humain. Cela vaut également pour les publicités en tous genres, pour Mc Donald’s et compagnie, dont il s’agit de protéger les enfants. Enfin, et sans doute est-ce encore plus important, de limiter au maximum la télévision pour les enfants, avant 6 ans (comme le propose Michel Desmurget, auteur de TV Lobotomie) voire plus.

 

5- Limiter le socialisme

 

Le socialisme, on le sait maintenant grâce aux 200 ans de recul dont nous disposons, crée le racisme, la violence, la pauvreté et l’inégalité. En outre, il a enfanté les trois totalitarismes du 20ème siècle : communisme, fascisme et national-socialisme (ou plutôt faut-il dire socialisme-national, comme on inverse les mots en allemand). Limiter le socialisme, voire le condamner moralement pour apologie du racisme, de la violence, de la pauvreté et de l’inégalité, serait la moindre des choses. Pour les détails, se reporter au Livre noir de la gauche.

 

6- Développer l’esprit d’entreprise

 

Créer son entreprise c’est se libérer des griffes d’un patron, et du salariat qui va avec. Le salariat est un rapport de subordination qui sera j’espère devenu insupportable d’ici 2025. C’est se libérer également de la recherche d’emploi, qui oblige le plus souvent à faire un métier qui ne nous plaît pas. Au contraire, la création d’entreprise c’est l’innovation, la possibilité de vivre de sa véritable vocation, quitte à créer le marché pour cela. Enfin, il s’agit de toujours plus télé-travailler, pour limiter le temps perdu dans les transports, la pollution et le stress générés ainsi, et le fait de côtoyer des collègues qu’on n’a pas choisis plutôt que sa famille qu’on a choisi.



14 réactions


  • Lisa Sion Lisa Sion 22 août 2013 12:02

    Bon sujet ED, elle est bien cette Charlotte Dechavanne...les socialo il faut les prendre homo !


  • Bond, Nausea Bond Bond, Nausea Bond 22 août 2013 15:32

    7 - Rendre publiques les statistique ethniques.
    Combien de millions d’étrangers sont entrés en France depuis 1945 (pour ne pas dire 1939), les pourcentages ethniques dans les postes de pouvoir (média, politique, université).
    .
    8 - Faire sauter la Loi Gayssot-Fabius.
    Laisser les Historiens chercher et surtout publier les casseroles qu’ils trouvent.


    • Éric Guéguen Éric Guéguen 23 août 2013 09:39

      9 : abolition des partis et fin de la représentation politique ;
       
      10 : jeter l’opprobre sur toute personne publique reconnue coupable de malversation et inscrire dans le marbre la liste de ces gens afin de les bannir à vie de la moindre action à caractère politique ;

      11 : refonder l’instruction publique ;
       
      12 : retirer la nationalité de tout exilé fiscal.


    • micnet 23 août 2013 10:11

      Bonjour Eric,

      Concernant votre point 10 

       
      "jeter l’opprobre sur toute personne publique reconnue coupable de malversation et inscrire dans le marbre la liste de ces gens afin de les bannir à vie de la moindre action à caractère politique ;"


      ---> Mon "cynisme" aurait envie d’y apporter la précision suivante : si quelqu’un est reconnu coupable de malversation mais que ce même quelqu’un aura également servi le Bien commun grâce à ses compétences, je considère que la véritable justice doit peser le ’pour’ et le ’contre’ avant de le condamner définitivement.

      Qu’en pensez-vous ?




    • Éric Guéguen Éric Guéguen 23 août 2013 10:34

      Bonjour micnet :
       
      Vous faites partie des spécialistes des bonnes questions.
      Voici ce que je vous répondrai :
      il me semble que l’on ne demande que deux choses à des responsables politiques, à savoir probité (vertu morale) et compétence (vertu intellectuelle). Mais pour ma part, je les leur demande exactement dans cet ordre : je pense qu’il convient, parmi les gens honnêtes et uniquement parmi eux, de trouver le plus compétent.
      Chose difficile me direz-vous. Exactement, et c’est aussi pour ça, pour la confiance que cela suppose qu’un type compétent surpris à voler ne peut nullement, à mes yeux, se prévaloir de sa compétence pour excuser son geste.


    • micnet 23 août 2013 11:10
      @Eric Gueguen

      "Mais pour ma part, je les leur demande exactement dans cet ordre : je pense qu’il convient, parmi les gens honnêtes et uniquement parmi eux, de trouver le plus compétent."

      ---> En ce qui me concerne, je procéderais exactement dans l’ordre inverse et je m’en explique : si on étudiait à la loupe la probité de tous les grands dirigeants français qui se sont succédés, croyez-vous sincèrement que beaucoup auraient été déclarés ’blanc comme neige’ in fine ?
      Pour ma part, j’ai de sérieux doutes...Il est bien évident que je ne suis pas en train de faire l’apologie de la malhonnêteté (vous l’avez d’ailleurs parfaitement compris) mais je pense que mettre la priorité absolue sur la probité des uns et des autres mène à une impasse !

      Et sinon, dans les priorités, je rajouterais un point 13 : "Suppression de la double nationalité"
      Voilà qui risquerait d’en faire râler beaucoup...


    • Éric Guéguen Éric Guéguen 23 août 2013 11:34

      Tout à fait d’accord sur votre point 13.
       
      ... Mais j’insiste sur notre désaccord quant à l’ordre des prérequis : lorsque est désigné un responsable politique, le jugement porté sur sa compétence est en grande partie imputé à ses concitoyens, et ceux-ci peuvent se tromper. Ainsi ont-ils leur responsabilité en cas d’incompétence. En revanche, pour ce qui est de la probité, à partir du moment où l’heureux élu n’a pas eu jusqu’à présent d’ennuis avec la justice, le peuple n’a d’autre choix que de faire confiance en cette personne et le supposer intègre. S’il se trouve qu’il ne l’est pas, c’est qu’il a trompé la confiance placée en lui, ou qu’il a été amené à le faire, ce qu’il aurait pu éviter en... démissionnant.
      Et ceci m’amène à vous répondre sur l’argument des "grands hommes" : ces derniers ont jusqu’à présent fait de la politique leur métier. Vous savez combien je crois en l’amateurisme en politique, et combien il me semble urgent de détruire le système représentatif et la professionnalisation de l’activité et de l’autorité politiques. Or, un homme dont c’est le métier fera forcément tout pour ne pas perdre son gagne-pain, ce qui n’exclut pas des actions menées parfois dans le sens du bien commun, mais avant tout pour son intérêt propre. Et certains ont indéniablement une certaine compétence pour toujours tirer leur profit sous couvert de "bien général". En revanche, une personne sachant qu’elle n’est là que pour une année (par exemple), qui n’est pas mise plus en avant qu’un collègue, qui bénéficie du travail de son prédécesseur et qui a cœur de laisser des dossiers sains à son successeur (d’où la nécessité de dissoudre les partis et de faire de chaque individu son propre parti au service du bien commun), celle-là sera, il me semble, mieux disposée à démissionner si elle se voit imposer des choix contraires à son éthique : elle n’aura rien à perdre à démissionner, alors qu’elle aura à perdre son intégrité en cédant.
       
      Je suis en train d’écrire mon chapitre sur l’éducation et l’instruction, ça concerne directement ce dont nous sommes en train de parler.


    • micnet 23 août 2013 12:53

      @Eric Gueguen

      "Je suis en train d’écrire mon chapitre sur l’éducation et l’instruction, ça concerne directement ce dont nous sommes en train de parler."

      —> Parfait ! Alors disons que je procède à une critique par ’anticipation’ smiley

      Petite remarque quant au fait qu’il serait plus facile de tromper son monde sur sa probité que sur sa compétence, je n’en suis pas aussi persuadé...Pour preuve, notre ancien président de la République, beau parleur et uniquement beau parleur...

      Sinon, je suis complètement en phase avec la nécessité de ’déprofessionnaliser’ la politique, celle-ci n’étant pas un métier mais une mission ! En revanche, je ne suis pas pour avoir des ’amateurs’ (au sens péjoratif du terme) à la tête de mon pays. Je souhaite les meilleurs (je crois comprendre que nous sommes en phase là-dessus).


      Et pour en revenir à la notion de ’probité’, je me dois de préciser ce que j’entends par là ! Pour moi, la priorité pour un dirigeant ne devrait pas être la probité au sens où on l’entend aujourd’hui. Je considère que la vertu première de tout dirigeant doit se mesurer à son degré de patriotisme’ (même si je n’aime pas les ’ismes’, vous comprenez l’idée). Ainsi et au risque d’en faire sursauter certains, je préfère avoir un vrai patriote amoureux de son pays, quitte à ce qu’il ait tapé dans la caisse, qu’un ectoplasme honnête qui se contente de faire carrière ! Et disant cela, j’ai pleinement conscience que je suis probablement le seul à avoir cet avis ici ...


    • Éric Guéguen Éric Guéguen 23 août 2013 14:57

      Merci pour cette réponse, micnet.
       
      Je ne suis pas du tout "choqué’ par ce que vous dites, en revanche je perçois un point litigieux.
      Vous dites préférer un véritable patriote, même ayant piqué dans la caisse... mais la caisse en l’occurrence, c’est celle de l’État ? Donc de la patrie ? Dans ce cas peut-on prétendre qu’un type qui pique dans la caisse soit un véritable patriote ? Pour moi, le véritable patriote ne peut pas piquer dans la caisse, comme il ne volerait pas l’argent de ses parents, même ceux-ci ayant le dos tourné.
      Cela dit, on peut aussi se demander si le fait qu’un type soit malhonnête, non plus à son seul profit, mais au profit de la patrie fait de lui un patriote...
      Prenons un exemple pour répondre à cette question.
      Supposons que je sois témoin d’un vol, que le voleur soit mon propre frère et que je ne connaisse la victime ni d’Adam ni d’Ève. Les deux me prennent à témoin, comme juge, pour régler leur litige. Que fais-je ? Si je défends mon frère, l’autre personne me dit "Monsieur, vous êtes malhonnête"... et il a RAISON, c’est indéniable, je le sais en mon for intérieur. Si je défends la victime, mon frère me regarde et me dit "Faux frère !"... et il a tort, car un frère n’accepte pas qu’un membre de sa famille soit malhonnête, et il ne sacrifiera pas l’intégrité de la personne qu’il aime à l’amour qu’il lui porte.
      Pour la patrie, n’est-ce pas pareil ? smiley
      ---
      PS : En ce qui concerne l’exemple de Sarkozy, lorsque vous dites qu’il n’est que beau parleur, n’est-ce pas admettre qu’il est avant tout malhonnête ?
      Je peux me tromper, mais j’aurais tendance à croire qu’un homme véritablement honnête saura dire à voix haute si sur un sujet donné il est incompétent. En revanche, est-ce qu’un homme compétent admettra facilement qu’il est ou a été malhonnête ?
       
      À vous lire,
      Éric


    • micnet 23 août 2013 15:28

      @Eric Gueguen


      "Vous dites préférer un véritable patriote, même ayant piqué dans la caisse... mais la caisse en l’occurrence, c’est celle de l’État ?"
      ---> Non, dans mon esprit, la ’caisse’ est un terme générique qui signifie simplement avoir fraudé au sens large et cela ne concerne pas nécessairement la caisse de l’état. Par ailleurs, je vous rejoins spécifiquement sur ce point (et sur ce point seulement) : j’imagine en effet assez mal qu’un authentique patriote se serve directement sur les deniers de l’état

      "Pour moi, le véritable patriote ne peut pas piquer dans la caisse, comme il ne volerait pas l’argent de ses parents, même ceux-ci ayant le dos tourné."
      ---> Dans ce cas cher Eric, je crois que les VRAIS patriotes suivant votre conception n’existent pas ! Encore une fois, si on passe en revue tous les dirigeants français à la loupe, on trouvera des ’rats crevés’ chez chacun d’entre eux, je peux vous le garantir ! Faut-il pour autant les vouer aux gémonies sachant cela ? Je ne crois pas...

      Quant à votre exemple, il est excellent smiley
      Et bien si le ’frère’ en question symbolise la patrie, je considère, pour ma part, que si le fait d’être malhonnête permet de le protéger (la patrie), alors je le protège  ! Et je vous fiche mon billet que quasiment tous les grands chefs d’état ont fait de même, quelques soient le régime politique ! Lorsque Louis XIV (et tant d’autres) invoquai(en)t la ’raison d’ état’, je pense qu’il n’y pas besoin de faire un dessin pour expliciter cette phrase...

      "En ce qui concerne l’exemple de Sarkozy, lorsque vous dites qu’il n’est que beau parleur, n’est-ce pas admettre qu’il est avant tout malhonnête ?"
      ---> Sarkozy est malhonnête ET surtout incompétent, sans quoi s’il avait été à la hauteur de ses promesses, il aurait été réélu, même avec toutes ses casseroles au c...

      "Je peux me tromper, mais j’aurais tendance à croire qu’un homme véritablement honnête saura dire à voix haute si sur un sujet donné il est incompétent"
      ---> Franchement, pouvez-vous me citer beaucoup d’hommes politiques qui se soient déjà reconnus publiquement incompétents ? Le seul exemple qui me vient à l’esprit concerne Jacques Delors lors de la présidentielle de 1995 lorsqu’il a déclaré forfait. Et bien voyez-vous, ce monsieur est très certainement quelqu’un de parfaitement honnête et pourtant je considère qu’il a été un des pires politiques de ces 30 dernières années en nous menant tout droit à l’abattoir de l’Union Européenne. Décision que l’on n’a pas encore fini de payer...

    • Éric Guéguen Éric Guéguen 23 août 2013 16:16

      @ micnet :
       
      Le problème est que nous n’avons connu - en très gros - que deux systèmes politiques : la monarchie et le gouvernement représentatif (auquel il ne me dérange nullement de donner le nom de démocratie).
      Or, la monarchie ne garantit nullement que probité et compétence soient héréditaires, loin de là ; quant à la démocratie d’opinion, elle se trouve vérolée par le recours au suffrage, qui est en soi un acte marchand, un acte de pur consommateur, non de citoyen averti.
      Donc effectivement, nous aurons bien du mal à nous entendre sur des êtres d’exceptions, et ceux-ci n’interviennent en définitive que lors de crises nationales majeures : Bonaparte en 1799, Gambetta en 1870, Clemenceau en 1917 ou De Gaulle en 1940, puis en 1958. Je ne garantis pas, bien sûr, l’extrême probité de ces quatre personnages dans leur vie privée, mais du moins un dévouement à la cause de la nation, toutes tendances confondues, ce qui implique, et de ne pas se perdre dans les affaires corruptrices, et de faire preuve de talents politiques largement reconnus.
      Hors de ceci, vous savez combien la politique telle que je la conçois est éloignée de ce que nous avons connu jusqu’à maintenant. Le jus dans lequel nous baignons produit ET des Jacques Delors, ET des Dominique Strauss-Kahn, tous maintenus dans le gotha par l’autorité plus que contestable des urnes.

      On a le tort, je pense, de croire que ce qui ne s’est jamais vu auparavant en politique est irréalisable. Sur ce point, au moins, Chouard a raison.


    • micnet 23 août 2013 16:55

      @Eric


      "Je ne garantis pas, bien sûr, l’extrême probité de ces quatre personnages dans leur vie privée, mais du moins un dévouement à la cause de la nation, toutes tendances confondues, ce qui implique, et de ne pas se perdre dans les affaires corruptrices, et de faire preuve de talents politiques largement reconnus."

      ---> Je souscris pleinement à cette phrase et vous venez de formuler le fond de ma pensée mieux que je ne l’aurais fait moi-même : le mot-clé est effectivement le mot "dévouement" qui devrait être, selon moi, la qualité première de tout dirigeant ! Et il me paraît évident que ce qu’on appelle un "grand homme" n’a pas pour vocation à se perdre dans les affaires corruptrices. Lorsque j’évoquais les casseroles que l’on pourrait trouver chez ces illustres personnages, il va de soi que, dans mon esprit, ces casseroles constituent l’exception et non la règle. Mais c’est aussi pour cette raison que le sentiment patriotique (ou le dévouement) est pour moi prioritaire par rapport à la probité des uns ou des autres.

      "On a le tort, je pense, de croire que ce qui ne s’est jamais vu auparavant en politique est irréalisable. Sur ce point, au moins, Chouard a raison."

      ---> Pour ma part, je ne dis pas cela mais je pense qu’il est effectivement indispensable, si l’on veut penser un nouveau système, de prendre en compte ce que j’appellerais le "facteur humain" et ne pas trop idéaliser même les meilleurs d’entre nous.

      A vous lire

  • jeanpiètre jeanpiètre 22 août 2013 21:15

    jean robin c’est aussi bon que michel fugain


  • Haze Haze 22 août 2013 22:04

    Balance plus de vidéos sur les reptiliens Jean, tu va remonter dans les sondages je te le promets !


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