Prenons le thé 12 : Se détourner des politiques, des médias, des industries et de la finance
Tout a déjà été dit sur la nature de l'aliénation et sur la possible libération des hommes depuis longtemps alors pourquoi ce surplace voire cette régression humaine ? pourquoi cet acharnement à l'ignorance de ce qui fonde notre nature profonde, la vie ? Politique, éducation, médias, organisations, à quoi servent-ils, si c'est pour parvenir finalement à un effondrement mondial de civilisation par méconnaissance de l'essentiel au profil de désirs consuméristes sans limite et d'une captation des consciences par les écrans du divertissement généralisé et de l'amusement immédiat.
5 réactions
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Qaspard Delanuit
16 décembre 2015 12:41
J’ai l’impression que la folie du monde repose sur l’incapacité de l’individu à être heureux de n’être rien ni personne (qui est pourtant le seul vrai bonheur car cela permet de se réjouir de tout ce qu’on rencontre). C’est cette inaptitude à l’anonymat rayonnant qui poussent les gens à courir dans tous les sens, à s’agiter, à accumuler en espérant devenir quelque chose d’intéressant ou quelqu’un qui mérite d’être aimé. C’est une condition qui rappelle celle du vampire.
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gaijin
16 décembre 2015 14:30
@Qaspard Delanuit
oui mais je n’y crois pas une minute et je n’ai jamais rien vu de pareil c’est juste un truc pour essayer de motiver, une certaine façon de parler des choses , a moins que les voyants aient étés victimes de leur voir ( voir constitue parfois une impasse ) .......de la même façon quand il dit qu’il y a un autre monde peuplé d’êtres conscients inorganiques : nous sommes des êtres conscients inorganiques
" comment tu peux expliquer la contradiction entre, d’une part, l’intelligence de l’homme sur le plan scientifique et technique et, d’autre part, la stupidité de ses systèmes de croyances ou l’incohérence de son comportement."
c’est tout a fait simple : nous sommes des singes sapiens victimes de nos pulsions sociales ( l’éthologie démontre que tous nos systèmes politiques et sociaux existent chez les singes ) pour atteindre la nature humaine il nous faut prendre conscience précisément de notre double nature organique-inorganique
" Pour un sorcier, la discipline est la faculté d’affronter sereinement les difficultés imprévues. Il la considère comme un art : l’art de faire face à l’infini sans broncher "
là oui sans réserve et y compris sans émotivité face aux mystifications d’un vieux brujos farceur
que la force soit avec vous
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Qaspard Delanuit
16 décembre 2015 18:18
@gaijin
"de la même façon quand il dit qu’il y a un autre monde peuplé d’êtres conscients inorganiques : nous sommes des êtres conscients inorganiques"Il parle plus exactement d’entités qui se présentent sous une apparence corporelle humaine mais ne sont en fait pas des organismes vivants (avec un coeur, deux reins et trois raisons de boire Vittel ou Evian). On peut en croiser dans la rue sans le savoir... A moins d’avoir la capacité de voir leur structure énergétique qui est différente des êtres incarnés dans un organisme (les animaux et les humains).
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gaijin
17 décembre 2015 08:33
@Qaspard Delanuit
oui mais j’ai un soucis avec ça c’est que ma perception des choses ne correspond pas a celle des voyants de castaneda non pas que je trouve anormal de ne pas voir ce qu’ils voient mais je trouve que l’inverse est curieux ......la question que je me pose ( et a laquelle je ne pourrais jamais répondre vu que j’ai pris un autre chemin ) c’est de savoir a quel point ils sont prisonnier d’un "voir" spécifique parce que voir au sens visuel de la chose c’est toujours une reconstruction mentale de la perception c’est très utile parceque précis mais le voyant a toujours tendance a se limiter a ce qu’il voit et ne voit que ce qu’il a appris a voir ...................( par exemple dans le cas des planeurs on se rend bien compte que don juan conduit castaneda a voir ce que lui même voit ..............)
cette question de la limitation de voir est d’ailleurs évoquée dans le de don de l’aigle il me semble ( mon castaneda étant loin derrière moi )