jeudi 24 octobre - par Opposition contrôlée

Non, l’Union soviétique ne s’est pas effondrée !

La « plus grande catastrophe géopolitique du XXe siècle » d’après Vladimir Poutine, ce qu’on appelle ici « la chute » ou « l’effondrement de l’URSS ». Est-ce bien le terme qui convient ? Cette vidéo veut démontrer que non, le terme effondrement dissimule la véritable nature du processus historique qui a amené à la fin de l’URSS.

Malgré cet événement, la propagande anti-communiste coutumière sous la Guerre froide n’a pas cessé, et s'est même s’amplifiée. Entre la dérive dictatoriale du capitalisme et l'affrontement programmé entre les États-Unis et la Chine, elle a certainement de beaux jours devant elle.



55 réactions


  • JPAGO 24 octobre 21:13

    Ce qui s’est effondré en Russie en 1991 c’est le Régime soviétique dégradation dès l’origine par Lénine puis Staline de l’idéal communisme. Les idées de Marx et Engels visaient au départ les Allemands et non les Russes. Que Gorbatchev (avec son épouse) ait participé grandement à liquider ce Régime inadapté incapable de se réformer en profondeur, et en court sursi avec Andropov, a montré simplement qu’il était arrivé au bout du rouleau et très facilement destructible. 


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 24 octobre 23:01

      @JPAGO
      C’est des questions compliquées, plus compliquées que ce qui tient en quelques lignes dans un commentaire.

      L’argument selon lequel le système soviétique aurait « dégradé » l’idéal communiste de Marx est une lecture réductrice. Les idées de Marx et Engels n’étaient pas des recettes rigides, mais des cadres théoriques à adapter aux réalités des pays concernés. La Russie de 1921, une économie agraire et une société féodale en transition, ravagée par la guerre civile, n’était pas comparable à l’Allemagne industrialisée à laquelle Marx faisait référence.

      Lénine a justement adapté le marxisme aux circonstances russes, comprenant que la Révolution devait se construire dans un contexte où le prolétariat industriel était minoritaire. Je ne me prononce pas sur le cas de Staline, parce qu’il faut dans tous les cas abandonner l’idée d’une réponse courte et définitive. Et ce qui suit d’autant plus, jusqu’à la fin du système...


    • mmbbb 25 octobre 07:27

      @Opposition contrôlée " Good Bye Lenine "


    • JPAGO 25 octobre 12:46

      @Opposition contrôlée La tentative d’implantation communiste en Allemagne a été sauvagement liquidée par le pouvoir militaire.Lénine a été introduit en Russie conduit par des officiers du Renseignement militaire Allemand : Tout un programme à accomplir le premier de détruire le Régime tsariste de Nicolas II et la fin des Romanov, par autodestruction de l’Armée Impériale. Et comme dans toutes ces Révolutions emmerge un souvent psychopathe qui prend la main et liquide massivement tous ceux qui oseraient contester son autorité. En Russie ce fut Staline, au début apprenti religieux et plus tard comme les deux font la paire pour le plus grand malheur des Peuples l’autre Psychopathe Hitler.


    • christophe nicolas christophe nicolas 25 octobre 20:55

      @Opposition contrôlée

      Marx est l’opium du peuple, 

      Dieu agit autrement :

      Un nouveau Saint Pierre
      https://www.madredelleucaristia.it/root/fra/vesmar/vesmar.php

      Un nouveau Saint Paul
      https://www.youtube.com/watch?v=0uoHrnWdeaE

      Un nouvel avortement, la pression est trop forte chez les zélus pour parler de Dieu... :)
      https://youtu.be/GW7peS_Z8bE


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 21:00

      @christophe nicolas
      "Il faut rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu", ne mélangez donc pas tout. 


  • mmbbb 24 octobre 21:46

    J ai écoute 4 minutes  ! 

    Merci 

    Je me doutais un peu de ton orientation mais a ce niveau de propagande je n ai pas eu l intérêt d ecouter jusqu a la fin .


  • juanyves juanyves 24 octobre 22:04

    L’union soviétique s’est effondrée, ce qui veut dire la corruption qui la minait, son internationalisme en conflit avec celui de l’Empire Yanqui, sa négation de l’apport privé et de l’existence du marché. Néanmoins, la Russie, qui a hérité de la majeure partie de la sphère soviétique, a su + ou faire une synthèse de l’économie de marché et de l’économie planifiée. Il en résulte une démocratie centralisée, un pouvoir central fort, basé essentiellement sur l’efficacité (et non le profit, je parle du pouvoir central). Les acquis du socialisme tels que gratuité de l’éducation et de la santé, logements sociaux et retraites n’ont pas été éradiqués et sont toujours en fonctions, probablement grâce à l’intelligence de Poutine. De même, les secteurs d’activités stratégiques sont toujours du domaine de l’État comme l’énergie, la finance, le militaire ou les ressources naturelles. La France les a vendus simplement parce qu’elle n’a plus un rond.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 24 octobre 23:03

      @juanyves
      Tu dois pas être très bien renseigné sur le système social actuel de la Russie... 


    • juanyves juanyves 25 octobre 14:44

      @Opposition contrôlée
      Si t’es mieux renseigné, fais en profiter les autres. Au lieu d’attaquer le messager, centre-toi sur le message, tu feras preuve d’intelligence.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 15:28

      @juanyves
      Ce serait trop long, mais disons que le système social est rudimentaire. Il y a aussi des grandes inégalités selon les territoires, en particulier sur la qualité des soins dans la santé publique. 


    • juanyves juanyves 25 octobre 16:27

      @Opposition contrôlée
      Bof, rien de concret sinon des généralités et "trop long = trop facile" et "rudimentaire" a besoin d’être explicité : est-ce niveau cro-magnon, bistouri, tisanes ou comme ailleurs avec des hôpitaux et des toubibs ? C’est un état fédéral d’une part et chaque état gère son système de santé. Aucun état, dont la France, ne souffre pas d’inégalité sur son territoire (il y a des endroits sans toubib) et question système de santé, tu devrais comparer France vs Russie, Angleterre vs Russie et tu serais certainement très surpris. D’autre part aucun système de santé n’a atteint son but : empêcher les gens de mourir. La Russie est un pays immense avec des distances entre villages ou hameaux énormes, d’où des problèmes logistiques énormes à certains endroits.
      Néanmoins, beaucoup de villes n’ont pas de problèmes de santé dû à la saleté des trottoirs, métros, poubelles, punaises de lit, etc... L’alcoolisme, problème principal, est en diminution. Les soins sont gratuits. Le chômage (réel) est de l’ordre de 3-4%. Ce n’est pas le paradis et ce n’est pas l’enfer. Il semble bien que la Russie va vers mieux et il y en a d’autres qui vont vers pire et ça c’est la réalité :
      l’an 2000 vs l’an 2024


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 16:39

      @juanyves

      la Russie va vers mieux et il y en a d’autres qui vont vers pire et ça c’est la réalité :l’an 2000 vs l’an 2024

      La bonne blague. Impossible de faire pire que la Russie de l’an 2000... Faut arrêter les fantasmes sur le pays, pas croire que les propos des expats qui ont un niveau de vie 10 fois supérieur à la population moyenne et qui vivent dans les beaux quartiers de Moscou sont généralisables au pays. 

    • juanyves juanyves 28 octobre 16:18

      @Opposition contrôlée
      Ça sert aussi les images


  • basile 25 octobre 02:06

    La fin de l’URSS ?

    Beria l’avait sentie venir, dès 1950 : si le système ne change pas radicalement, c’est fichu pensait-il. Il avait engagé des réformes entre la mort de Staline et son exécution.

    C’est la guerre en Afghanistan !

    Non, c’est la guerre des étoiles à Reagan !!

    Todd et Mme d’Encausse, pour des raisons différentes

    Bof, si Andropov avait survécu …

    Non-non c’est Gorbatchev et ses complices, la corruption !!!

     

    La seule chose sûre, c’est que l’URSS n’existe plus.

    De toutes les explications qui ont été avancées, aucune n’est à elle seule réellement convaincante. C’est peut-être l’atroce Beria qui a vu le plus clair.

    L’analyse proposée par la vidéo est peut-être l’une des plus faibles que j’aie jamais entendues. L’Empire soviétique a commencé à craquer bien avant Gorbatchev. Se souvenir de l’Europe de l’Est des années 60/70.

    Un simple constat : le soviétisme fonctionnait dans un climat de grande tension (parfois de terreur), d’avenir radieux, de guerre idéologique, de répression et de guerre tout court (39/45), et a commencé à décliner avec la déstalinisation et l’embourgeoisement de l’élite (du parti).

    Mon avis : c’est un effondrement idéologico/politico/spirituel. Le moteur du système, la construction très mobilisatrice et enthousiasmante d’un monde nouveau qui devait surpasser le vieux monde occidental (Kroutchev), s’est progressivement étouffé pour finalement caler. Les gens n’avaient plus la foi, n’y croyaient plus. Ils faisaient semblant d’y croire en façade, mais n’y croyaient plus intérieurement.

    Ceci dit, le communisme au sens de suppression de la propriété privée et de citoyen très sévèrement encadré au plan idéologique et social (sociétal) a peut-être encore un grand avenir. Quelques indices annoncent ce genre d’évolution (chez nous et ailleurs). 


    • mmbbb 25 octobre 07:43

      @basile lorsque Gorbatchev arriva au pouvoir il tenta de sauver le systeme communiste en lançant la " La perestroika " la reconstruction .
      Mais l URSS se fissurait deja et les pays satellites telle la Pologne .
      Un premier vacillement avec Lech Walessa dont le pape polonais le soutenait .
      In n y eut pas de repression sanglante comme en Hongrie

      Le contexte avait change

      Quant a Lenine , c est lui instaura la dictature du prolétariat .

      L auteur est trop endoctriné , et sa video n a aucun intérêt

      Quant à cotre conclusion , si le communisme avait un systeme economique viable , on l aurait su .

      Et ce systeme ne peut etre instaure pas la force , guerre civile en Russie d alors

      Pres de millions de morts ,

      La catastrophe de Tchernobyl est l exemple de ce que ce systeme pouvait produire de mieux .


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 10:35

      @basile

      L’Empire soviétique a commencé à craquer bien avant Gorbatchev

      Je fais remonter le début des problèmes à Brejnev au passage... 

      le soviétisme fonctionnait dans un climat de grande tension (parfois de terreur)

      Ca c’est des relents de propagande de la guerre froide. Il se trouve que je connais plusieurs personnes qui ont connu cette époque, et que c’est un sujet récurrent sur les réseaux sociaux russes (la vie en URSS). Personne n’évoque ce genre de choses, en tous cas ça n’est absolument pas la préoccupation de l’immense majorité des gens ordinaires. 

      au sens de suppression de la propriété privée

      La propriété privée des moyens de production, pas la propriété privée. Même remarque que plus haut.


    • basile 25 octobre 10:44

      @mmbbb
      La catastrophe de Tchernobyl est l exemple de ce que ce systeme pouvait produire de mieux .

      Vous êtes dans le binaire : tout bon ou tout mauvais. C’est simple et confortable mais la réalité, c’est un peu (beaucoup) autrement.
      Un seul constat met la puce à l’oreille : l’Empire russe est en 1917 l’Empire de l’analphabétisme. 80 % ? Je n’ai plus le chiffre en tête mais il est très élevé.
      20 ans plus tard, à la veille de la guerre, l’analphabétisme a été quasiment éradiqué. Vive l’URSS ? Bah non, elle est morte. Mais elle a instruit des centaines de millions d’humains et en a libéré des centaines de millions d’autres (décolonisation).
      Bilan ? 


    • basile 25 octobre 11:05

      @Opposition contrôlée
      Personne n’évoque ce genre de choses,

      Votre aveuglement est touchant.
      La société soviétique des années 20/40 est une société en mouvement violent, en bouleversement (j’évoquais l’éradication de l’analphabétisme). Cela n’est possible qu’avec une main de fer, et la mise de côté (euphémisme) de tous ceux qui ne sont pas dans le mouvement.
      En 41/45, les tire au cul étaient froidement exécutés, immédiatement après visite médicale (souvent un médecin femme).
      Puis vient une longue période durant laquelle le système perd sa dynamique, la tension diminue, mais le souvenir des années de bouleversements subsiste avec ses aspects négatifs (liberté très mesurée), les aspects positifs s’étant évanouis. Décadence du système.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 11:38

      @basile

      Votre aveuglement est touchant.

      Je vous renvoie le compliment. En particulier des choses comme :

      "Les gens n’avaient plus la foi, n’y croyaient plus."

      Est-ce qu’on vous demande d’avoir "la foi" dans le capitalisme pour vivre quotidiennement en France ? Vous n’avez vraisemblablement pas compris mon propos, en particulier que la destruction du système soviétique est le fait d’une "révolution de palais" et non pas d’un mouvement de la société, c’est caractéristique d’une vision totalement extérieure au sujet, croire que les citoyens soviétiques à l’époque avaient la conscience de vivre dans un système "exotique" ou "expérimental" par rapport à une normalité capitaliste, qu’ils étaient habités d’une sorte de conscience historique de la singularité de leur condition... C’est à la fois extérieur et anachronique. 




    • basile 25 octobre 11:51

      @Opposition contrôlée
       que la destruction du système soviétique est le fait d’une "révolution de palais" et non pas d’un mouvement de la société

      Effectivement, je ne puis "comprendre" puisque je pense exactement le contraire.


    • basile 25 octobre 11:58

      @Opposition contrôlée
      avaient la conscience de vivre dans un système "exotique" ou "expérimental" par rapport à une normalité capitaliste, qu’ils étaient habités d’une sorte de conscience historique de la singularité de leur condition...


      Il se trouve que je suis en train de lire "Le Monde d’Hier" de Stefan Zweig.
      L’auteur a fait son voyage en URSS, façon Gide, mais avec une vision un peu différente des choses.
      Il rapporte justement que tous ses interlocuteurs "étaient habités d’une sorte de conscience historique de la singularité de leur condition" dont ils étaient très fiers.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 12:09

      @basile
      A-t-il déjà trouvé la lettre dans sa poche, là où vous en êtes de la lecture ?


    • basile 25 octobre 12:10

      @Opposition contrôlée
      La propriété privée des moyens de production, pas la propriété privée. Même remarque que plus haut.

      La Chine, c’est comment ?
      Moyens de production ? Le reste ?


    • basile 25 octobre 12:12

      @Opposition contrôlée
      A-t-il déjà trouvé la lettre dans sa poche, là où vous en êtes de la lecture ?

      Oui, et cette lettre me donne raison.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 12:28

      @basile

      Oui, et cette lettre me donne raison.


      Vous vous contredisez. Certainement, jusqu’en 1945 et encore un peu après, il était difficile de ne pas avoir conscience de vivre dans une période de bouleversement historique. Cela dit vous pensez bien que les rencontres de Zweig n’étaient pas le fruit du hasard... Bref, je ne veux pas fuir la discussion mais je sens que ça ne vas pas aller bien loin, comme c’est souvent le cas sur ce genre de sujet.

    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 12:34

      @basile

      La Chine, c’est comment ?

      Moyens de production :
      Secteurs stratégique -> monopole d’état.
      Le reste, selon les secteurs, mixte privé/état. Le 100% privé ne concerne que le "superflu".
      Les terres agricoles sont détenus en commun par les résidents locaux et sous supervision de l’état.

    • JPAGO 25 octobre 12:56

      @mmbbb La Catastrophe de Tchernobyl est effectivement d’une certaine façon symbolique car au départ il s’agissait d’une manip expérimentale de non refroidissement provoqué montée par un grand scientifique de l’Académie des Sciences d’URSS avec des calculs parfaits MAIS qui n’avait pas tenu compte de l’ENORME importance du facteur Humain surtout dans une situation critique ni de petits détails de physiques difficiles à prévoir mais qui peuvent faire tourner à la catastrophe. Cette grande tête pensante n’a jamais reconnu son immense responsabilité. L’homme ne se résume pas à quelques équations.


    • basile 25 octobre 13:23

      @Opposition contrôlée
      Secteurs stratégique -> monopole d’état.

      Donc toute la quincaillerie qui nous inonde, les Aliexpress, Jack Ma, Huawei, les puces ... c’est pas stratégique ?
      C’est pourtant là-dessus que s’excitent les Yankees, en plus du militaire.


    • basile 25 octobre 13:31

      @Opposition contrôlée
      je sens que ça ne vas pas aller bien loin, comme c’est souvent le cas sur ce genre de sujet.

      On peut en rester là, pas de problème.
      Mais je n’oublie pas la mère d’un bon copain qui m’a raconté l’ambiance en classe fin des années 30 en URSS. C’était vraiment spécial, "tous ensemble en avant", sauf quelques gamins suspects du fait de leur famille, de leurs parents.
      Cet état d’esprit s’est atténué par la suite, sans disparaître.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 13:35

      @basile
      Secteurs stratégiques : énergie (pétrole, gaz, charbon, réseau électrique), telecoms nationaux, banque (les "Big Four"), assurance, épargne, transports, médias, défense et santé. 


    • juanyves juanyves 25 octobre 15:10

      @basile
      Fin des années 30 en

      France, c’était le Front Populaire et la préparation de la WW2 avec l’antisémitisme raciste extrême : certaines races porteuses du virus de la variole, certaines races amenant une dégénérescence de l’espèce humaine.
      Aujourd’hui où en est-on avec 6 mois de taule pour un bisou volé dans le cou, le mensonge comme mode d’expression : la décadence.


    • yoananda2 25 octobre 17:10

      @juanyves

      le mensonge comme mode d’expression : la décadence.

      vrai : les religions théistes ont donné le ton (du mensonge comme fondement sacralisé), le reste ne fait que suivre la tendance initiée.


    • mmbbb 25 octobre 19:51

      @basile mon propos est cout et il peut paraitre binaire .

      Tcherno est l exemple de ce que la bureaucratie soviétique avait pu produire

      Bilan au prix de million de morts ! 

      Etange votre hémiplégie cerebrale .

      Eviter de traiter les autres de binaire.

      Deux pays dont le taux d alphabétisation faible et une forte population agraire avec des techniques agraires anciennes et un systeme social moyen ageux le servage et La Chine et la Russie . Le communisme s est installé mais les conditions furent differentes .

      Et ce fut un éléments de propagande des communistes et non sans raison .

      C est Deng Xiao Ping qui a entrepris la ’ NEP Chinoise " mais en preservant le regime autoritaire .

      C est lui qui fut l instigateur " du grand bon en avant " de l economie chinoise .

      Ce les differents régilmes politiques de l URRS n ont pu réaliser .

      Et à noter

      La parution de l Archipel du Goulag de l écrivain audacieux et surtout courageux A Soljenistsyne vint 

      mettre un terme a ces illusions romantiques de la revolution .
      Cet essai a tire un bilan définitif .


    • mmbbb 25 octobre 20:08

      @JPAGO cette technologie avait abandonnée par les occidentaux .

      De surcroit en France quand EDF intervient sur un réacteur , ce dernier est au repos pendant six mois et personne ne peut volontairement le remettre en fonction et le forcer .

      Il est aussi vrai que la securite etait lacunaire .


    • basile 25 octobre 23:34

      @mmbbb
      La parution de l Archipel du Goulag de l écrivain audacieux et surtout courageux A Soljenistsyne

      La rupture Soljenitsyne, c’est surtout chez nous, avec Pivot et les nouveaux philosophes. A noter que l’Archipel a été imprimé pour la 1ère fois en langue russe à Paris, dans l’imprimerie de la famille d’un certain René Goscinny. C’est à la suite de ça que notre université 100% marxiste est devenue 100% anti-marxiste (sourire).
      Chez les Soviétiques, il n’y eut pas vraiment de rupture Soljenitsyne, à notre grand regret (pas de Nuremberg à Moscou). Et cela reste un peu mystérieux : le souvenir que gardent les Russes de la période soviétique, de la répression stalinienne. La guerre  un cataclysme a peut-être tout effacé. On a du mal à les comprendre. 


    • mmbbb 26 octobre 10:01

      @basile Cela peut s expliquer par ceci !

      La Russie a toujours ete une monarchie dont le droit n a pas évolué ou lentement contrairement à nos pays europeens ou les constitutions ont garantie une certaine indépendance de la justice .

      Les pays europeens sont des pays " de vieux droits " .

      Il est aussi à noter que l avènement du communisme est une cause directe de la chute des empires liberaux apres la guerre de 14 18 .

      Le suicide des nations . et une gestion déplorable du monarque Nicolas II 

      Mais il engagea des réformes  Stolypine et ses réformes agraires 

      Quant aux universitaires , que dire rien sinon que ce sont des agités et Mao l avait tres bien compris puisqu il s appuya sur les universitaires afin d imposer sa revolution culturelle 

      Et revolution culturelle pris comme un modèle par nos intellectuels et ces intellectuels qui n ont qu admis qu apres la chute la faillite de ce systeme .

      Sarte fut un philosophe engagé et aveugle comme tant d autres .

      Et cette chute du mur de Berlin n avait pas signe la fin de l histoire mais une nouvelle histoire de l Europe puisqu apres la dislocation de l URRS , la Russie voulait un rapprochement avec l Europe .

      Mais comme cette Europe tant vendue est faible et inféodé aux USA nous avons la guerre et ces mêmes intellos font sciemment l impasse sur cette période et la génèse de cette guerre 

      BHL est a exécré vraiment , et que la fin des intellos français adviennent qu l on change d air et d ere .


    • basile 26 octobre 11:45

      @mmbbb
      BHL est a exécré vraiment , et que la fin des intellos français adviennent qu l on change d air et d ere .

      Ils sont morts.

      BHL a déjà fait son autoportrait : Ce grand cadavre à la renverse.


    • popov 28 octobre 12:29

      @mmbbb
       

      un systeme social moyen ageux le servage et La Chine et la Russie

      Le servage a été aboli dans l’empire russe en 1861 lors de la réforme agraire d’Alexandre II.

      1861, l’année au cours de laquelle éclate la guerre de Sécession aux USA. Et peut-être est-il utile de rappeler que l’esclavage n’y a été aboli par Lincoln qu’en 1865.


  • Étirév 25 octobre 07:52

    La « chute » du communisme, a été voulue par les clans mondialistes.
    Yann Moncomble (1953-1990), dans son ouvage « La Trilatérale et les secrets du mondialisme » nous faisait remarquer « les étranges alliances entre le C.F.R. (c’est-à-dire le « Council on Foreign Relations ou Institut américain pour les Affaires Internationales, véritable « gouvernement de l’ombre » des États-Unis), la « Commission Trilatérale » (fondée en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinsky) et les dirigeants du Kremlin... mais, ajoute-t-il, le public doit ignorer cet état de fait. Il faut qu’il continue de croire à l’opposition farouche Communisme-Capitalisme. ».
    À la fin des années 90, l’ex-président et co-fondateur de la « Trilatérale », Zbigniew Brzezinsky, déclarait à la revue Encounter : « un moment arrivera où il sera possible d’exercer une surveillance sur chacun des citoyens du monde entier » (Proximo Milenio, n°42, décembre 1996, pp. 56-60).
    Né à Varsovie en 1928 (mort en 2017) et diplômé de Harvard, Zbigniew Brzezinsky devint bien vite une créature de David Rockefeller. Théoricien et architecte de la « Commission Trilatérale », il fut aussi l’un des artisans principaux de la révolution informatique et l’« instructeur » du personnage Jimmy Carter dont, après son élection à la présidence des USA, il fut un proche conseiller. Membre des plus fameux cercles mondialistes, il était présent au Bilderberg, au CFR, à l’Institut Atlantique, à l’Institut International d’Etudes Stratégiques, à l’Institut Aspen, aux Conférences permanentes bilatérales russo-américaines de Darmouth, et à l’Institut des Affaires Internationales italien comme personnage de confiance des potentats d’Outre-Atlantique. Il agissait en étroite liaison avec son coreligionnaire Henry Kissinger à l’intérieur d’un cercle exclusif de la Georgetown University, l’un des grands Think-Tank de l’Establishment, le groupe de pouvoir américain.
    Le groupe de Darmouth naquit pratiquement en même temps que la Pugwash (1960), association réservée aux cercles scientifiques qui, tous les deux ans, réunissait, à portes closes, l’élite de Wall Street et des Instituts de Recherche Soviétiques. La Pugwash fut créée à l’initiative du milliardaire canadien Cyrus Eaton à Pugwash (Nouvelle-Ecosse). Eaton était prix Lénine pour la paix et proche parent de Herman Joseph Eaton, ex-président du B’nai B’rith. On y retrouvera entre autres Albert Einstein, « membre fondateur de la Société des amis de la Russie bolchévique » et Georgij Arkadevic Arbatov, ancien conseiller de Gorbatchev, lié aux Rockefeller. Robert Charroux, dans son livre « L’énigme des Andes », au paragraphe intitulé « La conjuration de Pugwash », rappelle que « Le plus coupable des criminels de guerre fut sans doute Albert Einstein qui convainquit les présidents des USA Roosevelt et Truman de faire usage de la puissance nucléaire contre le Japon et, au besoin, contre l’Allemagne. ».
    Quant au groupe de Darmouth, il avait comme but la recherche des moyens de convergence dans le domaine politique, diplomatique, économique et universitaire entre Américains et Soviétiques ; à partir de 1964 les Conférences étaient sponsorisées par le Groupe Rockefeller.
    Le groupe a perdu de l’importance après la « chute » du communisme.
    Précisons au sujet d’Harry Truman, cet ancien vice-président devenu président des USA après le décès de Franklin Roosevelt en avril 1945, qu’il est celui qui ordonna la pulvérisation d’Hiroshima par une bombe à l’uranium le 6 août 1945, et qui, exultant à l’annonce du résultat, s’exclama : « This is the greatest thing in history ! ». Ce « psychopathe » récidiva trois jours plus tard sur Nagasaki, avec une bombe au plutonium « pour comparer ». Harry Truman était une sorte de « docteur Frankenstein » qui, après avoir déclenché la terreur nucléaire, enfanta la monstrueuse CIA ; pour « info », c’est aussi le « zélote »… disons plutôt zélé président américain qui soutint et reconnut l’État d’Israël à peine dix minutes après sa proclamation, le 15 mai 1948.
    NB : À propos du B’nai B’rith (association fraternelle juive fondée en 1843), qui signifie, en langue hébreu, « les fils de l’Alliance », le journal français « Tribune Juive » du 23 décembre 1985, précise que le B’nai B’rith « est en outre représenté au sein de la plus grande partie des organisations internationales comme l’ONU, l’UNESCO (le Conseil de l’Europe, avec fonctions consultatives), en tant qu’organisation non gouvernementale et elle a même ses entrées au Vatican. Son influence pousse les candidats à la présidence des États-Unis à se présenter devant lui (le B’nai B’rith) avant chaque élection. ». René Guénon, lui, écrit (Etudes sur la Franc-maçonnerie et le Compagnonnage) que le B’nai B’rith « n’a rien de maçonnique, contrairement à l’opinion répandue dans certains milieux ; peut-être faudrait-il seulement ajouter qu’il vise quelque peu à imiter la Maçonnerie (l’emploi du mot « Loges », notamment, en est un indice), comme toutes les organisations « fraternelles » d’origine américaine. ».
    Rappelons que le nom « British » qui est composé de « berith » ou « b’rith », alliance, et « ish », homme ou peuple, signifie « le peuple de l’Alliance ». Aussi, le terme « British-Israël » était une croyance répandue du temps d’Élisabeth 1ère d’Angleterre, que les Anglo-Saxons seraient les descendants des dix « tribus perdues » d’Israël, donc les véritables israélites (supercherie déjà tentée au Ier siècle de notre ère).
    Lien


    • basile 25 octobre 11:36

      @Étirév
      Il agissait en étroite liaison avec son coreligionnaire Henry Kissinger


       Le juif allemand et le catholique polonais (Justin Vaïsse  Le Monde).


  • Étirév 25 octobre 09:37

    « La « chute » du communisme, a été voulue par les clans mondialistes. » (Suite)
    Tout comme lors de la Guerre de 1914-1918, qui a permis au communisme de prendre le pouvoir en Russie, la deuxième Guerre mondiale permettra au communisme (de Staline) d’étendre son emprise, avec l’approbation (et le soutien) de la haute finance. Puis, après Khrouchtchev, qui succèdera à Staline et qui sera l’artisan d’une « déstalinisation » de l’URSS (il dénoncera les crimes de Staline au Congrès du PC en 1956), et d’une « Détente » avec les USA, une nouvelle phase débutera au milieu des années 1980 avec l’arrivée, à la Direction du Parti Communiste, de Mikhail Gorbatchev, futur prix Nobel de la Paix (comme Barack Obama) qui, de 1985 à 1987, mettra en œuvre un programme de « réformes » économique et politique, appelé « Perestroïka » (Restructuration), et qui aboutira à la désintégration de l’URSS, conséquence indispensable à la mise œuvre d’une plus grande « efficacité économique » et d’une « démocratisation des institutions »
    Julian Huxley, frère d’Aldous et neveu de Thomas Huxley (un des fondateurs de la « Round Table »), disait : « Pour faire une révolution, l’alternative démocratique est la plus désirable et la plus permanente ; la méthode totalitaire s’autodétruit à la longue. ».
    Ainsi, l’économie soviétique gorbatchévienne se libéralisera grâce aux injections massives de la Haute Finance, et, dans le même temps, l’économie occidentale poursuiva à rythme soutenu sa socialisation.
    Mikhail Gorbatchev, qui démissionnera en décembre 1991, laissera place à Boris Eltsine, évidente « marionnette » intérimaire et fortement alcoolisée, qui sera élu, dorénavant au suffrage universel, Président de la nouvelle « République Fédérative de Russie » (afin de se donner une image de sobriété, Boris Eltsine inaugura son mandat avec une campagne musclée contre la consommation de vodka qui, d’ailleurs, fut l’une de ses mesures les plus controversées). Il tiendra ce rôle jusqu’en décembre 1999, lorsqu’il démissionnera à son tour. Son incapacité pour raison de « santé » (Eltsine sombrait de plus en plus dans l’alcoolisme) et son incompétence, qui seront mises à la disposition des projets des globalistes, permettront de préparer l’avènement et le long règne d’un nouvel acteur politique majeur, et plus « moderne » : Vladimir Poutine.
    C’est ainsi que le 31 décembre 1999, au moment où la guerre en Tchétchénie interdisait tout débat sérieux, quelques oligarques organisèrent une discrète passation des pouvoirs d’Eltsine à Poutine, sans élections à la clé. Pour beaucoup aujourd’hui, Vladimir Poutine est devenu une sorte de « Superhéros » luttant contre le « Nouvel Ordre Mondial », à l’instar de son ex-homologue étasunien et milliardaire, Donald Trump, tant vanté et glorifié, lui aussi, par une dissidence peut-être un peu trop naïve.
    Ancien Officier du KGB, les Services de renseignements soviétiques, et donc issu du « système » (Poutine a passé 17 ans au KGB avant que Boris Eltsine fasse de lui, en 1998, le directeur du FSB, ex-KGB), rappelons que le premier geste de Vladimir Poutine en tant que président fut de signer la loi qui mettait son prédécesseur à l’abri de toute poursuite judiciaire, que ce fût pour des actes de corruption ou pour les assassinats de manifestants en faveur de la « démocratie » commis par l’armée pendant qu’il était au pouvoir.
    De plus, bien que figure centrale de l’exécutif de la nation Russe depuis 1999, rappelons qu’une commission parlementaire britannique a publié en mai 2018 un rapport alertant sur le fait que la « City » serait devenue un centre de blanchiment d’argent pour les hommes d’affaires russes et pour Vladimir Poutine et son entourage, ce qui a valu à la capitale britannique le surnom de « Londongrad ». Enfin, rappelons également, et en parallèle, qu’en hâtant l’effondrement de l’empire américain, Donald Trump (à l’instar de M. Gorbatchev en URSS) agit comme un allié objectif des intérêts globalistes de la « City », cet épicentre du séisme instigateur du « Nouvel Ordre Mondial », dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial. Car précisément, le gouvernement mondial ne pourra voir le jour que sur les décombres des États, tout empires soient-ils.
    NB : Les pays se sont ruinés sans s’en apercevoir. Comme personne n’apporte de solution miracle (c’est impossible au niveau actuel du Plan), les hommes qui sont au pouvoir visible tentent de créer l’illusion que tout va bien. C’est la raison pour laquelle tout a été fait pour corrompre la classe politicienne. Et les peuples continuent de flatter, pour le temps qui leur reste, ceux qui donnent l’impression d’écarter d’eux toutes les calamités. Inutile de vous dire que cette espérance est et sera trompée. Tous les accords de paix dont vous avez entendu parler depuis la « guerre du Golfe », tous les évènements de Russie faisant croire à une nouvelle ère où le Communisme serait renvoyé au cimetière sont des « composantes » du Plan. Pensez-vous réellement que cette « Organisation » qui a financé Lénine, qui a donné la moitié du monde à Staline avec la complicité des dirigeants de l’époque accepterait de tout arrêter alors qu’elle est si proche du but ? Croyez-vous sérieusement que tous les montages secrets qui ont permis au Socialisme d’être planétaire vont s’arrêter là ?
    Comprenez que le Communisme ne sera réellement mort que le jour où son « père nourricier », à savoir le Capitalisme ultra libéral de la Haute Finance, ne sera, lui-même, plus de ce monde !
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  • basile 25 octobre 11:47

    dont le seul objectif est l’avènement d’un gouvernement mondial.

    Vous brassez énormément d’informations avec en arrière plan l’idée d’un monde manipulé par des forces plus ou moins mystérieuses visant l’unité du monde.

    Je crois que la période de démondialisation que nous vivons, d’affrontement entre l’Occident et les puissances montantes contredit votre discours. 


    • yoananda2 25 octobre 12:00

      @basile

      Vous brassez énormément d’informations avec en arrière plan l’idée d’un monde manipulé par des forces plus ou moins mystérieuses visant l’unité du monde.

      et c’est le souhait de beaucoup de "petits", pas forcément des "gros" acteurs. Beaucoup de monde en occident souhaite (ou a été lobotomisé pour souhaiter) un monde unifié...

      et en fait ça peut se comprendre : un monde non unifié c’est le risque de guerre nucléaire.

      Donc oui, des gens veulent unifier le monde mais au fond ça ne nous apprends pas grand chose.

      Je crois que la période de démondialisation que nous vivons, d’affrontement entre l’Occident et les puissances montantes contredit votre discours. 

      toutafé. Non seulement, tout le monde ne souhaite pas "unifier" le monde (Trump s’en contre fou par exemple), mais en plus, les "unificateurs" ne souhaitent pas unifier tous sous la même banière.

      C’est un gros bordel, qui apparaît, vu d’en bas, comme une machination, ce qu’elle n’est pas.

      C’est un système qui évolue de ses propres forces, et les humains n’ont plus tellement leur mot à dire.

      Il faut sortir de la vision anthropomorphique, anthropocentrique du monde pour voir les choses telles qu’elles sont.


    • basile 25 octobre 13:54

      @yoananda2
      les "unificateurs" ne souhaitent pas unifier tous sous la même banière.

      Je ne crois pas que les Chnois soient particulièrement unificateurs. C’est pas dans leur tradition et ils n’ont pas de religion monothéiste. Dominateurs sans doute, mais pas unificateurs (puissance économique oui, mais pas idéologie et façon de voir le monde, notion du temps, culture ...) ;
      Les Russes ont beaucoup unifié des peuples très divers mais ils sont trop petits aujourd’hui pour unifier qui que ce soit.
      Les musulmans ? Ils ne cessent de se mettre sur la tronche, les islamistes ayant une option mais rencontrant tout de même de très fortes oppositions dans le monde musulman même (Egypte).
      Les Africains ? Peut-être par effet de masse (40% de la population mondiale d’ici 100 ans).
      Les Indiens ? Il faudra qu’ils unifient d’abord leurs 50 dialectes.

      Les Yankees restent je crois les seuls "unificateurs" pour un temps encore assez long (fin du siècle ?).


    • yoananda2 25 octobre 14:39

      @basile
      ben voila ...
      les occidentaux, imprégnés de christianisme ont eu assez de masse critique pour "vouloir" ou "espérer" cette unification, mais ça, c’était avant.
      Maintenant, il n’y a plus de dynamique qui aille dans ce sens. Disons, depuis 2008 grosse louche, et ça ne fait qu’empirer.
      L’unification aura peut être lieu, à un certain niveau, mais elle ne sera pas du fait des humains, on n’en est pas capable (et c’est une bonne chose)


  • AmonBra AmonBra 25 octobre 13:14

    Le Président V.V. Poutine a, si j’ai bonne mémoire, plusieurs fois dit que la catastrophe n’était pas idéologique mais démographique, car plus de 25 millions de russes se sont retrouvés minoritaires ethniquement, culturellement et vivant hors de leur patrie.

    L’apartheid que préparaient les ukronazis à leurs concitoyens russophones, en violant leurs propres engagements de Minsk 1 & 2, avec la complicité malveillante des dirigeants allemands et français, obligeant ainsi les russes a intervenir pour protéger leurs compatriotes, en est une des sanglantes et désastreuses conséquences. . .


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 13:18

      @AmonBra
      C’est une catastrophe sur tous les plans, il suffit de voir les courbes : économie, santé, société (violence, prostitution, crime) etc. Ca a produit 10 ans d’anarchie en Russie, de nombreux conflits régionaux, un abaissement sans précédent du niveau de vie des populaltions.


    • AmonBra AmonBra 25 octobre 13:28

      @Addendum :

      Ne serait ce que pour éviter que d’autres ex républiques soviétiques, se comportent comme les nazillons ukrainiens, comme semble s’orienter les fascistes baltes, les russes visent la capitulation pure et simple des actuels dirigeants ukrainiens, est il utile de préciser pourquoi ?. . .


    • AmonBra AmonBra 25 octobre 14:40

      @Opposition contrôlée

      Effectivement sur ces plans pour le commun des russes, mais cela a été un mal pour un bien, car leur permettant de savoir à qui ils avait véritablement affaire, de savoir quelle est nature exacte du prétendu modèle occidental et de la nécessité d’avoir un pouvoir fort assuré par d’authentiques patriotes, capable de nettoyer efficacement les écuries d’Augias.
      Le comportement otanesque n’ayant finalement que confirmé et enraciné profondément, la défiance russe à l’encontre de l’occident dit collectif.
      En tout cas, à ma connaissance, je n’ai jamais entendu le Président de la fédération de Russie se plaindre, ou même déplorer cette période pourtant difficile des années 90, peut être parce qu’il connaissait la capacité de résilience de son Peuple et qu’il a fait sien le propos de Nietzsche : "Ce qui ne me tue me rend plus fort". . .


    • mmbbb 25 octobre 20:20

      @AmonBra si vous additionnez les morts de la guerre civile , les morts des famines , les morts des différentes purges sous Lenine et surtout sous Staline et le lourd tribu de l URRS pendant la guerre de 40 45 , évidemment l URSS et désormais la Russie accusent une depression démographique .

      un ordre de grandeur 45 millions de morts estimation basse et " à la louche "

      et Poutine lance un programme en faveur de la natalite

      et en Europe ceux qui prétendent que Poutine a à dessein l invasion de la Pologne Pays Baltes et j en oublie sont des personnes qui mentent honteusement .

      La dépression démographique de la Russie ne le permet plus

      C est ce que souligne TODD avec pertinence .

      Il en est de même de l Europe pour des guerres de hautes intensités , terme cher à nos généraux .


  • juanyves juanyves 25 octobre 15:03

    Historiquement, aucun empire n’a duré très longtemps. Tous se sont effondrés. Il en a été ainsi avec Babylone,....., Rome, les anglais, l’URSS. Et il en va de même avec les USA. Il est intéressant aussi d’analyser les événements à travers le prisme du plan dialectique (thèse, antithèse, synthèse) qui semble bien déterminer l’évolution du monde à travers des bons successifs pouvant se décrire suivant cette dialectique. Économie de marché vs économie planifiée -> panaché etc...
    De même, on peut considérer USA vs URSS -> BRICS. Action vs Réaction -> Déplacement.


    • Opposition contrôlée Opposition contrôlée 25 octobre 15:09

      @juanyves
      Y’a des empires qui ont duré des siècles tout de même. Et ils ne finissent pas tous de la même manière. L’agonie de l’empire romain a duré des siècles, ont parle souvent de 476 comme la fin, mais c’est surtout pour les manuels scolaires.


  • Mao-Tsé-Toung Mao-Tsé-Toung 25 octobre 16:56

    Je n’ai pas tout lu (loin s’en faut) ni regardé la vidéo !

    Nonobstant je suis persuadé que dégun dans nos GRANDS experts URSS ici présents ne parle peu ou prou, du rôle de la NOMENKLATURA ; épuicétout !

    CQFD

    Comprenne qui pourra


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