vendredi 25 mars 2011 - par kalki

Néolibéralisme : NEET, une jeunesse japonaise

La génération précaire, sous la même politique néo libérale depuis la décennie (comme chez nous avec avec Sarkozy mais en un peu plus avancé) : survit comme elle peut. Ou plutôt survivait, et maintenant ?

 

On peut noter tout comme certains rêvaient de voir s’effondrer 2 tours à New York, et le spectacle a rattrapé le rêve

 

Ici : les Japonais pensaient comme cette jeune dame qui vit comme elle peut : "je me suis déjà dit que ce serait bien qu’un tremblement de terre détruise tout Tokyo"

 

" tout le monde n’a pas besoin de travailler, et travailler autant"

 

... et de souffrir et de mourir, et de vivre non décemment pour ceux qui n’ont pas de travail ...

 

le travail est mort, c’est un rêve américain,

nous sommes tous des américains, nous sommes en Amérique

 

Nous avons tout fait et tout construit

 

QUE RESTE T’IL A FAIRE ?



4 réactions


  • voltmètre voltmètre 25 mars 2011 09:46

    On est malades de cette société pourrie,qu’on nous sert comme étant la seule possible.La décroissance est l’issue qu’il faut absolument emprunter.


    • kalki kalki 27 mars 2011 17:41

      Non la solution n’est ni la croissance, ni la décroissance

      la solution et de savoir ce que l’on veut

      qu’elle société l’on veut

      Dans un monde ou il n’y plus de travail a cause de la technologie ( et non d’une fausse crise économique )

      Dans ce monde là

      il est l’heure de partager

      et de définir un modèle de société, de partage et un maximum geo démographique selon des ressources données ( ce fut recalculé récemment par le cnrs, et les anglais )

      VOIR EGALEMENT ALLOCATION UNIVERSELLE

      et ne pas oublier la liberté politique, dans une démocratie directe


  • Activista 25 mars 2011 09:47

    Merci pour ce rappel,
    en voici un autre, un dossier sur le travail,
    sur et contre...


  • dynamo dynamo 25 mars 2011 10:08

    le pot de terre contre le pot de fer,
    merci pour ce reportage,c’est terrible de réalitées...


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