Nathan Devers ébranle tout un plateau après une intervention magistrale sur le passe sanitaire
Brillante intervention de Nathan Devers sur le plateau de CNews le jeudi 25 novembre 2021. Il n'en est pas à son premier coup de gueule, parfois seul contre tous mais ici, il semble avoir conquis l'assemblée. Une petite recherche sur sa personne mène à "écrivain et philosophe de 23 ans" avec une fameuse tache : Il a été recommandé comme talentueux par BHL en 2020 ! Rappelons-nous que BHL avait ralé de voir le port du masque s'imposer et qu'il est possible que ses critères d'appréciation aient changé depuis mars 2020... Quoi qu'il en soit, BHL aime peut-être les carottes et ce ne serait pas une raison suffisante pour moi de les boycotter.
Alors que la politique sanitaire est terrassée sur le plan cognitif et exposée au fil des fuites, des témoignages et des passages dans la dissidence, la course folle des poules sans tête continue, fidèle à un agenda dystopique qui se voudrait inexorable malgré ou peut-être grace à une multitude de mises-en-garde depuis près d'un siècle (?)
L'obsession maniaque pour piquer les gens et qui peut ressembler à une blague ou à l'intrigue d'une série Z vire au tragique, au drame à mesure qu'elle s'ancre dans la réalité. Cette insistance sourde qui, comme tout harcèlement pousse à bout, a réussi à faire plier un grand nombre mais révèlait simultanément la profonde malveillance qui anime les pervers, devient l'une des première cause de prudence, de méfiance et de colère. Contrairement aux chiffres, aux témoignages et aux documents édifiants dont il sera dit par les fact-checkers que ce sont des faux, les aficionados de la-piquouze-pour-tous offrent par leur incurie et la bassesse de leurs décisions toutes les preuves à charge d'un coup d'état et de leur statut d'opresseurs.
Au plus ils insistent, au plus on se méfie. Ils sont passé de l'argument "solidaire des plus faibles" à tenter d'apâter avec un burger, des frites, une bière, un billet de loterie, une dédicace à la radio, etc. jusqu'à une passe d'une demi heure dans un bordel de Vienne ! Puis vint le chantage, les privations, toujours laissant sous entendre que le choix est libre, avec la stigmatisation des réfractaires et des citations qui feront date, rappelant la célèbre "Quand j'entends le mot culture, je sort mon revolver" que j'éviterai de référencer pour ne pas choquer les âmes sensibles... Puis enfin, l'obligation. Même si ces produits devaient etre sûrs, ce cheminement, parcouru par de nombreuses incohérences, inversions, omissions et mensonges, se suffit à lui-même comme preuve de délire maniaque et de mauvaise foi. Mais en plus, il se trouve que ces produits ne sont ni sûrs ni efficaces et qu'ils avancent chaque jour plus de preuve de leur nuisance !
L'heure est grave, l'obligation entraïne un changement de statut radical pour une part importante de la population et nous en arrivons à l'intolérable. Mobilisation générale !!!