Les veilleurs fiscaux étaient devant Bercy ce 10/10/2013
Comme l'a annoncé le Figaro Magazine du 4 octobre 2013, les veilleurs fiscaux se réunissent désormais tous les deuxième jeudi du mois de 18h à 19h devant le Ministère de l'économie et des finances à Paris. Nous sommes allés à leur rencontre ce 10 octobre 2013, alors qu'ils veillaient pour la deuxième fois, passant de 3 à 9 personnes. Contre-Attaque et le RPF notamment soutiennent cette initiative.
6 réactions
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Pyrathome 14 octobre 2013 13:57
Les mêmes gugusses qu’aux US, pour empêcher que les plus pauvres puissent se faire soigner......
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Les mêmes qui déclarent que le FHaine est le nouveau PC....ah ah ah !!
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Vous avez aimé l’extrême droite ? vous allez adorer l’ultradroite, plus facho, vous mourrez....
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Pauvre Robin, affligeant et pitoyable guignol....-
Konevitsan 14 octobre 2013 14:44La solidarité doit être rendue obligatoire, pour des raisons morales ?"Cet argument, variante éloignée du "la fin justifie les moyens", est sans valeur d’un point de vue moral : il n’est pas moral de forcer les personnes à être "solidaires", pas plus qu’il n’est moral de donner à un pauvre le produit d’un vol (définition du vol : prendre ce qui appartient à autrui sans son consentement).
La solidarité forcée, résultant d’un acte de coercition, ne peut se prévaloir d’une quelconque vertu.
Elle est hypocrite, car elle prétend être généreuse en distribuant le bien d’autrui, en considérant comme égoïste celui qui refuse de se faire prendre ce qu’il a produit. Celui qui est contraint de contribuer le fait sans conviction, celui qui en bénéficie reçoit ce "don" sans reconnaissance, comme un dû. La solidarité étatique, loin de toute prétention éthique, dépouille les uns du fruit de leur travail et installe les autres dans l’assistanat. Elle a aussi pour résultat d’instaurer deux classes distinctes : celle des contributeurs nets, et celle des bénéficiaires nets, d’où une nouvelle forme de lutte des classes qu’elle entretient.Le libéral reconnaît la légitimité de la solidarité, mais il veut choisir pour qui, et dans quelles conditions, il peut faire preuve de solidarité, autrement il ne s’agit que d’une spoliation déguisée."
La solidarité est impossible sans l’État ?Pour les libéraux, la solidarité ne se décrète pas, elle ne peut être que volontaire, sinon toujours spontanée. Tant que l’État ne s’est pas mêlé de décréter la solidarité, celle-ci ne s’est absolument pas traduite par une "non-responsabilité".
Pendant des millénaires, les solidarités familiales, paroissiales, locales, les aumônes, les dons, les fondations des riches (comme des pauvres d’ailleurs) ont permis d’assurer, dans les meilleures conditions possibles compte tenu de l’état des connaissances et des techniques, le soin des malades, la vieillesse de ceux qui y parvenaient, l’éducation des enfants.En France, la Révolution française n’a pas nationalisé tout cela, elle l’a purement et simplement détruit en confisquant les biens dont les revenus permettaient de l’assurer ; d’où un siècle de grande misère des pauvres, d’autant que cent quinze ans plus tard, l’État a de nouveau confisqué les biens d’un grand nombre d’oeuvres caritatives, sous prétexte de laïcité. Puis ce fut l’apparition et la croissance continue de l’État-providence".
Mais "l’État-providence", ce n’est pas la solidarité : c’est l’impôt, sous un nom ou un autre. Et cela décourage la solidarité : à quoi bon donner, puisque d’une part l’État y pourvoit (par l’impôt) et que d’autre part, quand l’État constate que la solidarité a fourni de l’argent pour une bonne cause, il diminue d’autant sa contribution ?L’État n’est pas une condition nécessaire (ni suffisante) à l’exercice de la solidarité, celle-ci existerait même en l’absence de l’Etat, qui ne fait que la confisquer à son profit."
(source : wikiberal)
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Pyrathome 14 octobre 2013 19:04
............il n’est pas moral de forcer les personnes à être "solidaires", pas plus qu’il n’est moral de donner à un pauvre le produit d’un vol (définition du vol : prendre ce qui appartient à autrui sans son consentement).
La solidarité forcée, résultant d’un acte de coercition, ne peut se prévaloir d’une quelconque vertu..........
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Foutaises de l’extrême droite et de l’ultralibéralisme, l’égoïsme comme doctrine, fallait oser la connerie !! .
C’est à vomir !! c’est à cause de gens comme vous aussi abject que le monde est malade, malade de vos imbécillités et de votre idéologie pourrie........
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Emile 14 octobre 2013 17:23
Je pense qu’il faudrait mieux lutter contre l’évasion fiscal, environ 80 milliards €/ans qui ne rentre pas dans les caisses de l’état (et c’est un chiffre à la baisse...). Sur 20 ans cela fait l’équivalent de plus des 3/4 de notre dette national, qui nous coût, elle, 50 milliards d’intérêt par ans... Car si nous avons une dette si énorme ce n’est pas parce-que les dépense augmentes, mais parce-que les recettes baissent et ceux depuis 40 ans.
Donc si nous n’aurions pas accepté de casser la restriction des mouvements de capitaux, nous n’en serions pas là, à taxer la classe moyenne et les petits patrons !! Merci les libéraux, qui nous disent maintenant ce qu’il faut faire !!! Et je ne parle même pas des délocalisations...Pour les septiques regarder ce documentaire ARTE : http://www.youtube.com/watch?v=UUFGkxBbor4 -
Enquête&Débat 15 octobre 2013 10:26
cher Emile, l’évasion fiscale n’est que la conséquence d’un enfer fiscal créé par des politiques qui n’ont jamais créé un seul emploi de leur vie, et prétendent dicter à des gens qui risquent tout pour créer des emplois et de la richesse pour leur pays. A quoi servent les impôts, sinon à payer un Etat obèse, et des privilégiés qui ont l’emploi à vie, et tant d’autres choses ? Pour un aperçu de ces privilèges dignes du clergé de l’Ancien Régime, osez cliquer ici : http://www.enquete-debat.fr/archives/les-100-priorites-pour-la-france-selon-vous-82305
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Emile 15 octobre 2013 17:52
Mr.Robin vous vous doutez que je ne suis absolument pas d’accord avec vous à ce sujet. Si tout le monde payait ses impôts, ceux-ci seraient plus faibles, mais comme les plus riches ont la possibilité de placer, soit leurs capitaux personnels, soit le siège social de leur société dans un paradis fiscal ; tout en continuant à utiliser les infrastructure publiques ; les politique pour répondre aux attentes des électeurs augmentes les impôts, de ceux qui les payent, la classe moyenne et les petits et moyens patrons, peut être certain grands patrons honnêtes et dont la pression des actionnaire lui permet, mais ce sont des poissons volant, ils ne constitues pas la majorité du genre.
Soyez honnête si non n’avion pas ouvert nos frontière au capitaux et autorisé le dumping fiscal, mais au contraire renforcer le corps des inspecteurs des finances par 2000 hommes, nous n’en serions pas là. Si en plus de ça nous avions conservés notre souveraineté monétaire je n’en parle même pas. La France serait endettée d’environs 300 milliards € tout au plus. Nous pourrions financer des services publics dune qualité remarquable, et même étendre ces services publics au domaine de l’agroalimentaire par exemple... Je sais ça vous plait pas la gratuité...Je ne dit pas que des économie ne sont pas à faire, je vous en propose une : instituer un salaire universel et inconditionnel d’environ 1500€. Si vous fait cela vous supprimez le chômage, les APL, toutes les aloc, et aides en générales ainsi que toutes les structure d’Etats et les fonctionnaires qui vont avec, qui sont en charge de la distribution de ces aides... Le rêve non ?Avec ça vous supprimez la propriété privé des moyens de productions ; donc seulement les propriétés lucrative et pas les propriété d’usage ; Toute entreprise devient commune, propriété d’usage de ceux qui y travail, ET NON PUBLIQUE, c’est très important car je vous sens venir avec avec votre insulte préféré : COMMUNISTE !! ^^ Alors que le régime soviétique n’est rien d’autre que du capitalisme d’état dictatorial. Je vous propose un régime de fédération où chacun est propriétaire de ses moyens de production, ou plutôt co-propriétaire d’usage, car en effet il n’a pas le droit de les vendre sans l’accord de ceux qui sont susceptible de les utiliser...Maintenant revenons à notre salaire universel, pour le financer il nous faudra mutualiser la valeur ajoutée de notre travail dans une caisse de salaire qui nous payera nos salaires. Bon si vous le connaissez vous avez bien compris que je parle des thèses de Mr.Bernard Friot Sociologue et économiste. J’aimerais tellement vous voir débattre avec lui, ça ferait des étincelles ^^D’ailleurs il est passé à ce soir ou jamais comme vous, les économistes néo-classiques en face de lui non pas brillés ^^ : http://www.youtube.com/watch?v=sIaDmbJ0fTU&hd=1
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