jeudi 13 mai 2021 - par tchakpoum

Le médecin Gérard Maudrux interroge officiellement le médecin Olivier Veran sur son refus de guérir les malades du Covid avec l’Ivermectine

L’article reprend le recours, signé par 1500 médecins, et l’exposé des motifs édité sur son blog : https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/
Il est suivi de son explication auprès de Xavier Azalbert à FranceSoir.
 

RECOURS HIERARCHIQUE CONTRE UNE DECISION 
DE L’AGENCE NATIONALE DE LA SECURITE DU MEDICAMENT
AUPRES DU MINISTRE DES SOLIDARITES ET DE LA SANTE

Article L.5322-2 du Code de la Santé Publique
Rec A.R.

Monsieur le Ministre,

En date du 31 mars 2021, l’Agence Nationale de la Sécurité du Médicament a rejeté notre demande de Recommandation Temporaire d’Utilisation pour l’Ivermectine. Ce refus représente pour nous une menace grave pour la santé publique, et en application de l’article L.5322-2 du Code de la santé publique nous faisons appel à vous, en tant que ministre de tutelle de cet établissement, mais également en tant que médecin, dans le cadre d’un recours hiérarchique contre cette décision, avant de nous tourner le cas échéant vers le Conseil d’Etat. 

En effet, l’ANSM estime qu’« il ne peut être présumé d’un rapport bénéfice/risque favorable de l’Ivermectine en traitement curatif ou en prévention ». Pour des raisons qui nous échappent, cette décision est une décision purement politique ou financière, alors qu’elle ne devrait répondre qu’à des critères médicaux, à savoir le bénéfice/risque qui est contrairement à ce que dit l’ANSM, favorable.

La présente vous est donc adressée en tant que requérants à la demande RTU qui a été formulée Maître Jean-Charles Teissedre, avocat, auprès de l’ANSM et du juge des référés du Conseil d’Etat. Vous trouverez sous la présente la décision de refus de RTU attaquée (1 et pièce jointe).

En ce qui concerne la prophylaxie :
Alors qu’il existe une douzaine de publications passées sous silence comme celle d’Hector Carvallo (2) en Argentine sur 1 200 soignants au contact du Covid dans 4 hôpitaux avec 100% d’efficacité, et l’expérience de GTFoods, entreprise à risques (viandes) et en permanence touchée, avec éradication totale de l’épidémie après traitement de ses 12 000 employés (3), l’ANSM ne cite qu’une étude, de Bereha, portant sur 41 cas (4), pour dire qu’il n’y a pas d’effet en préventif.

Contrairement à ce que dit l’ANSM, les conclusions de l’étude citée sont pourtant claires : « La prophylaxie à deux doses par l’ivermectine, a été associée à une réduction de 73% de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les travailleurs de la santé pour le mois suivant. La chimio prophylaxie est pertinente pour endiguer la pandémie ». L’ANSM ne retient que la réserve d’usage exprimée quasi systématiquement dans toutes les études : « ils ont souligné la nécessité d’obtenir confirmation par des études longitudinales ou interventionnelles ».

Or, aucune étude au monde est négative en ce qui concerne la prophylaxie, et l’ANSM prétend le contraire sans avancer une seule étude le démontrant.

En ce qui concerne le curatif :
Là encore, au lieu de se poser des questions sur des études comme celle de République Dominicaine (5), avec plus de 3 000 patients, 1 seul décès sur 2 706 patients traités précocement à domicile, 3 décès sur 300 patients traités plus tardivement et hospitalisés, l’ANSM, pour démontrer l’inefficacité de l’Ivermectine, n’avance que 6 études, dont les 3 plus petites, sur une cinquantaine possible. Choix permettant de dire que le nombre de patients est trop petit et qu’il faut plus d’études ! 2 x 67 patients traités au total sur ces 3 études, contre 17 562 patients sur 52 études recensées. Le choix de l’ANSM pour sa démonstration est très orienté !

Le choix de la première étude, Rajter (6) aux Etats Unis, n’est pas sérieux quand on prétend étudier l’efficacité de l’Ivermectine et que l’on vante les études randomisées. 173 patients traités par Ivermectine, 107 avec un « traitement standard ». La décision de prescrire était à la discrétion des médecins, qui ont donné de l’hydroxychloroquine, de l’Azithromycine dans les 2 groupes ! Malgré tout, les auteurs signalent quand même un bénéfice significatif dans le groupe Ivermectine, et l’ANSM ne le retient pas au profit de la formule d’usage « les auteurs préconisent la mise en place d’études randomisées avant d’émettre une conclusion ».

Pour les trois petites, l’ANSM cite Podder au Bengladesh (7), 2 x 30 patients, Chachar au Pakistan (8), 2 x 25 patients, enfin le ridicule ne tue pas : Chaccour en Espagne (9), 2 fois 12 patients ! Ceci pour lui permettre de dire que c’est insuffisant et qu’il faut plus d’études, et éviter au passage de dire que cela marche : réduction de 20% de la durée des troubles pour la première et réduction de la durée de l’anosmie divisée par 2 et de la toux réduite de 30% pour la troisième. Pour la seconde, il s’agit une population très jeune et peu symptomatiques, comment le traitement peut faire mieux quand la maladie guérit toute seule ? 

Ensuite c’est Ahmed et al. Au Bengladesh (10). 72 patients hospitalisés, 3 groupes randomisés : Ivermectine, Ivermectine + Doxycycline, placebo. « Une cure de 5 jours d’ivermectine a entraîné une clairance plus précoce du virus par rapport au placebo (p = 0,005), indiquant ainsi qu’une intervention précoce avec cet agent peut limiter la réplication virale chez l’hôte. Dans le groupe ivermectine de 5 jours, il y a eu une baisse significative de la CRP et de la LDH au jour 7, qui sont des indicateurs de la gravité de la maladie. Il est à noter que la valeur Ct de l’acide nucléique viral (indicateur de la charge virale) a chuté de manière significative par rapport au groupe placebo aux jours 7 et 14. » L’ANSM ne retient pas le résultat, mais la « nécessité d’une étude plus large », formule d’usage utilisée par tous les auteurs.

Enfin cerise sur le gâteau, Lopez Medina en Colombie (11). On est étonné de trouver mise en avant par l’ANSM cette étude peu sérieuse, du niveau de Mehra dans The Lancet. Une population jeune, peu symptomatique, « consultée par sondage téléphonique ». Des patients du groupe témoin ont pu prendre de l’Ivermectine depuis plus de 5 jours (présente 3 semaines dans les tissus !), de l’Ivermectine a été donnée par erreur à la place du placébo, il y a eu changement de protocole en cours d’étude n’arrivant pas à leurs fins, etc. Et on publie, et certains reprennent ! Il y a quand même 1 mort dans le groupe placebo, pas dans le groupe Ivermectine. Des « chercheurs » de l’Inserm qui conseillent l’ANSM encensent cette étude, comme Mme Costagliola ou, le Pr Adnet qui cite une « méthodologie de haut niveau ». On croit rêver devant de telles compétences !

En ce qui concerne le risque :
L’Ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Reconnu comme » sans danger pouvant être utilisé à grande échelle » par l’OMS (12). A titre de comparaison, Vigibase recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine, contre 3 695 décès et 161 147 effets indésirables pour le Doliprane (13).

L’ANSM évoque une inconnue concernant la posologie qui n’a pas de raison d’être : c’est la même que dans les autres pathologies concernées par une AMM dont bénéficie l’ivermectine. Lorsque la prescription est renouvelée, aucune étude ne signale un quelconque problème. Des essais avaient par ailleurs été faits à 10 fois la dose en 2002 par Merck détenteur du brevet à l’époque, sans aucun inconvénient (14). Medincell laboratoire français vient de publier une étude sur la prise prolongée du produit, sans aucun effet (15).

Méta-analyses et scientifiques indépendants (16 à 23) :
L’ANSM balaie d’un revers la demi-douzaine de méta-analyses que nous avions transmis, refusant de les lire et d’en tenir compte, au prétexte qu’elles n’ont pas fait l’objet d’une validation par un comité de lecture, et comportant des études avec des insuffisances méthodologiques (celle de Kory, relue deux fois, vient d’être publiée). En ce qui concerne la relecture, quelles sont les compétences des membres de l’agence s’ils n’ont pas la capacité de lire et d’analyser ces études ? Et quand on voit les insuffisances méthodologiques des études avancées par l’ANSM, selon cette vieille expression française, n’est-ce pas l’hôpital qui se moque de la charité ?

La dernière méta-analyse en date (19), que n’avait pas l’ANSM, vient de la Mayo Clinique, 38 études, plus de 15 000 patients, réduction de 80% de la mortalité.

Pourquoi ces méta-analyses sont ainsi écartées ? Parce qu’elles arrivent toutes aux mêmes conclusions qui ne sont pas celles voulues par l’ANSM ? Ce qu’elles disent est simple : l’utilisation de l’Ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité de la Covid, et dans 80% des cas les troubles disparaissent deux fois plus vite. Vous trouverez ci-joint la plupart de ces méta analyses. Si on peut discuter du niveau d’efficacité selon la manière dont on interprète ces différentes études, la présomption d’efficacité elle est indiscutable, et il est trop facile de faire semblant d’ignorer ces résultats en se cachant derrière une méthodologie.

L’ANSM cite ensuite la position de l’Agence Européenne du Médicament qui est politique, n’ayant pas statué : elle reconnaît dans un communiqué ne pas avoir été saisie du dossier et ne cite qu’une étude, in vitro, alors qu’ici il est question des études et de l’utilisation chez l’homme. 

Citons au passage le premier paragraphe de la conclusion du rapport de Andrew Hill pour l’OMS : « Cette méta-analyse de 18 ECR portant sur 2282 patients a montré une amélioration de 75% de la survie, un délai de récupération clinique plus rapide et des signes d’un effet dose-dépendant de la clairance virale chez les patients recevant l’ivermectine par rapport au traitement témoin. » Réponse de l’ANSM : aucun effet.

Nous avions également proposé à l’ANSM de contacter les spécialistes qui en France connaissaient le mieux l’Ivermectine pour avoir travaillé le sujet. Le laboratoire Medincell qui prépare un dossier avec des études pour une AMM concernant une forme à action prolongée, avec une grosse publication sur la sécurité du médicament faite par Jacques Descotes, professeur émérite à l’Université Claude Bernard à Lyon, Jean-Pierre Changeux de l’Académie des Sciences, professeur honoraire au Collège de France et à l’institut Pasteur, et Pierre-Jean Guillausseau de l’Université de Paris Sorbonne, auteur d’un gros travail d’analyse des études étrangères. Aucun n’a été consulté, pas plus qu’il n’est fait état des constatations très positives faites dans deux Ehpads en France en début d’épidémie et portées à la connaissance des autorités. Aucun médecin prescripteur n’a été contacté pour évoquer son expérience, alors que ce sont ces remontées de terrain qui ont permis au Baclofène d’avoir une RTU dans l’addiction alcoolique, sans aucune étude clinique, montrant qu’il existe d’autres moyens que les études étrangères pour évaluer l’efficacité d’un médicament.

La non-transparence :
La révision de cette décision est d’autant plus nécessaire que la Loi n’a pas été respectée. La volonté d’indépendance et de transparence de ces décisions, ayant conduit à la création de l’AFSSAPS suite à l’affaire du sang contaminé, devenue ANSM suite à l’affaire du Médiator, a été ignorée. Pour accéder à cette transparence, le Docteur Maraninchi, premier directeur de l’ANSM, avait décidé que les commissions décisionnelles seraient enregistrées et disponibles au public, ce qui avait été transposé dans les textes : Article L1451-1-1 du code de la Santé publique créé par la Loi n°2011-2012 du 29 décembre 2011 – art 1 (24). Cet article concerne la transparence et les liens d’intérêts, et précise :« A cette fin sont prévus : 1° L’enregistrement des débats et la conservation de ces enregistrements ». Nous avons donc demandé à l’ANSM de nous fournir ces documents afin de savoir ce qui a été défendu et par qui. Vous trouverez ci-joint leur réponse : de tels documents n’existent pas ! Le contenu de cette réponse semble montrer que pour accepter ou refuser une RTU (et probablement une ATU), il n’y a pas de discussion, pas de réunion officielle, et on est en droit de se demander si des médecins ont participé à cette décision. 

Le non-respect de cette procédure de transparence et décisionnelle est susceptible d’être sanctionnée par le Conseil d’Etat.

Conclusions :
Pour accorder une RTU, la loi n’évoque que deux conditions : une présomption d’efficacité et un minimum d’effet indésirables afin d’établir un rapport bénéfice/risque favorable. Ces deux conditions sont totalement remplies, et quand on voit dans quelles conditions ces critères ont été ignorés pour valider certaines thérapeutiques ces derniers mois, on peut s’étonner des motifs conduisant à ce qui est au-delà d’un « deux poids deux mesures ».

Monsieur le Ministre, nous faisons appel au médecin que vous êtes et capable de juger de ces études par vous-même. Sur le plan médical, au vu de toutes ces études, en votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ? Nous souhaitons une réponse claire à cette question.

Entre le Doliprane, préconisé, et l’Ivermectine, qui ne l’est pas, bien que 100 fois moins toxique et avec présomption d’efficacité que n’a pas le Doliprane, pourquoi ne pas laisser les médecins choisir librement, sans contraintes. C’est ce que viennent de faire, entre autres, des ministères de la santé de l’Inde (25) et du Brésil (26), l’introduisant dans les protocoles de traitement précoce. Tout retard apporté à une extension des indications se chiffre par un nombre conséquent de décès pouvant engager la responsabilité des responsables de ce retard. Pourquoi refuser de traiter pour éviter une aggravation et une hospitalisation ?

Vous trouverez ci-joint la liste arrêtée à 1 500 médecins signataires, qui vous demandent de revoir cette position, en vous basant uniquement sur des considérations médicales et non politiques ou financières. Cet échantillon est représentatif, issu de 100 départements, majorité de généralistes, et des retraités actifs ou non, voulant s’exprimer après 40 ans d’expérience. Ils réclament également plus largement que la liberté de prescription concernant les traitements précoces, l’Ivermectine n’étant pas le seul pouvant venir compléter les vaccins, soit clarifiée et élargie. Les macrolides sont également très efficaces pour diminuer les risques. La vie de milliers de nos citoyens dépend de ces médecins. Vous trouverez également ci-joint une sélection de leurs commentaires déposés avec leur signature.

Nous vous demandons donc, avec l’ensemble des signataires et Me Jean-Charles Teissedre, d’annuler la décision de l’ANSM du 31 mars 2021 et de demander à l’ANSM d’élaborer en urgence une RTU en faveur de la molécule ivermectine contre la maladie Covid-19″.

Veuillez agréer, Monsieur le Ministre et cher confrère, l’expression de nos salutations confraternelles et respectueuses.

Requérants de la demande de RTU : Drs Gérard Maudrux (30), Eric Menat (31), Jean François Lesgards (13), Gérard Guillaume (75), Michel Angles (12), Christian Lagasse (82), Vincent Reliquet (59), Claude Chiche (75), Pierre Maugeais (30), Bernard Taillefer (75), Marie Christine Detourbe (21), Marc Arer (42), Vincent Manns (46), Beatrice Rambeaud (74), Christian Latriche (61), Elisabeth Wissler-Koening (57), Gérard Simler (67) Claire Delval (77), Joke Panneels (71), le Syndicat des médecins d’Aix (13), l’AMSIB (80), l’Association BonSens.org (67) et 1500 médecins signataires.
Pour les requérants, le 7 mai 2021
Dr Gérard MAUDRUX
Courriers :
Me Jean Charles TEISSEDRE

Bibliographie :
1)Refus RTU ANSM
https://ansm.sante.fr/actualites/lansm-publie-sa-decision-sur-la-demande-de-rtu-pour-livermectine-dans-la-prise-en-charge-de-la-maladie-covid-19
2)Hector Carvallo et al. RESULTADOS POSITIVOS DEL PROTOCOLO IVER.CAR 

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ENLA PROFILAXIS DE LOS AGENTES DE SALUD
http://www.pharmabaires.com/1739-resultados-positivos-del-protocolo-iver-car-en-la-profilaxis-de-los-agentes-de-salud.html
3)COVID-19 Prevention in the Workplace : a Real World Experience out of Brazil
https://covexit.com/covid-19-prevention-in-the-workplace-a-real-world-experience-out-of-brazil/

4)Priyamadhaba Behera et al. Role of ivermectin in the prevention of SARS-CoV-2 infection among healthcareworkers in India : A matched case-control study
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0247163
5)José Morgenstern et al. The use of compassionate Ivermectin in the management of symptomatic outpatients and hospitalized patients with clinical diagnosis of COVID-19 at the Medical Center Bournigal and the Medical Center Punta Cana, Rescue Group, Dominican Republic, from may 1 to august 10, 2020
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.10.29.20222505v1.full
6)Juliana Cepelowicz Rajter et al. Use of Ivermectin Is Associated With Lower Mortality in Hospitalized Patients With Coronavirus Disease 2019
https://journal.chestnet.org/article/S0012-3692(20)34898-4/pdf
7)Chinmay Saha Podder et al. Outcome of ivermectin treated mild to moderate COVID-19 cases : a single-centre, open-label, randomised controlled study
http://imcjms.com/registration/journal_abstract/353
8)Khan Chachar et al. Effectiveness of Ivermectin in SARS-CoV-2/COVID-19 Patients
https://www.ijsciences.com/pub/article/2378
9)Carlos Chaccour et al. The effect of early treatment with ivermectin on viral load, symptoms and humoral response in patients with non-severe COVID-19 : A pilot, double-blind, placebo-controlled, randomized clinical trial
https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(20)30464-8/fulltext
10)Sabenaa Ahmed et al. A five-day course of ivermectin for the treatment of COVID-19 may reduce the duration of illness
https://www.ijidonline.com/article/S1201-9712(20)32506-6/fulltext
11)Edouardo-Lopez Médina et al. Effect of Ivermectin on Time to Resolution of Symptoms Among Adults With Mild COVID-19A Randomized Clinical Trial
https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2777389
12)OMS. Ivermectine en Afrique
https://www.who.int/apoc/cdti/ivermectin/fr/
13)Database OMS
http://www.vigiaccess.org
14)Cynthia Guzzo et al. Safety, tolerability, and pharmacokinetics of escalating high doses of ivermectin in healthy adult subjects
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12362927/
15)Médincell. Montpellier. Clinical trial conducted by MedinCell confirms the safety of continuous administration of ivermectin
https://www.medincell.com/wp-content/uploads/2021/04/CP-IVM-Phase1-avril2021_EN_vf-ok.pdf
16)Pierre Kory (USA) : Review of the Emerging Evidence Demonstrating the Efficacy of Ivermectin in the Prophylaxis and Treatment of COVID-19 
https://journals.lww.com/americantherapeutics/fulltext/2021/00000/review_of_the_emerging_evidence_demonstrating_the.4.aspx
17)Tess Lawrie (GB ) : Ivermectin reduces the risk of death from COVID-19 – a rapid review and meta-analysis in support of the recommendation of the Front Line COVID-19 Critical Care Alliance. 
https://b3d2650e-e929-4448-a527-4eeb59304c7f.filesusr.com/ugd/593c4f_8cb655bd21b1448ba6cf1f4c59f0d73d.pdf
18)Andrew Hill et al (GB) : Meta-analysis of randomized trials of ivermectin to treat Sars-Cov-2 infection
https://www.researchsquare.com/article/rs-148845/v1
19)Vikas Bansal, et al (Mayo Clinic et Université Inde) : A Meta-analysis of Mortality, Need for ICU admission, Use of Mechanical Ventilation and Adverse Effects with Ivermectin Use in COVID-19 Patients
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.30.21256415v1
20)Pierre Jean Guillausseau (France)
https://horizons-therapies.com/covid-19/ivermectine-et-covid-19/
21)Andrew Bryant et al (GB) : Ivermectin for Prevention and Treatment of Covid-19 Infection : a Systematic Review and Meta-analysis.
https://www.researchsquare.com/article/rs-317485/v1
22)Pasquale Nardelli et al (Italie) : Crying wolf in time of Corona : the strange case of ivermectin and hydroxychloroquine. Is the fear of failure withholding potential life-saving treatment from clinical use ?
https://oss.signavitae.com/mre-signavitae/article/20210312-306/pdf/SV2021022602.pdf
23)Morimamasa Yagisawa et al (Japon) : Global trends in clinical studies of ivermectin 
http://jja-contents.wdc-jp.com/pdf/JJA74/74-1-open/74-1_44-95.pdfArticle L1451-1-1 du code de la Santé publique https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000025071406/
24)Article L1451-1-1 du code de la Santé publique https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000025071406/
25)Protocole Ministère de la Santé, Inde.
https://www.icmr.gov.in/pdf/covid/techdoc/COVID19_Management_Algorithm_22042021_v1.pdf
26)Déclaration du Ministre de la Santé Marcelo Queiroga, Brésil.
https://diariodonordeste.verdesmares.com.br/ultima-hora/pais/ministro-da-saude-cogita-cloroquina-e-ivermectina-em-protocolo-de-remedios-contra-covid-19-1.3076873?fbclid=IwAR3dufyMWNf-OWy4LNtZWGIFALzEE3dRfj0xfhDLJXr-Y719NfLG5Zazjxk

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Son explication auprès de Xavier Azalbert pour FranceSoir :

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/cest-un-refus-de-traiter-le-dr-maudrux-tres-critique-envers-les-instances

 



15 réactions


  • sls0 sls0 13 mai 2021 14:20

    La seule revue médicale qui n’est sponsorisée par des labos, qui a fait preuve d’une forte indépendance, qui est souvent lanceur d’alerte c’est la revue prescrire.

    Et que dit la revue prescrire après analyse des études ? Ca ne marche pas.

    Les hôpitaux universitaires de Genève ont aussi contrôlé les études, le résultat est ci-dessous.

    https://www.hug.ch/sites/interhug/files/structures/coronavirus/documents/ive rmectine-et-covid-19.pdf

    1500 médecins sur 226900 ça fait 0,66% des médecins.

    Le médecin Veran répondra qu’il n’y a pas de preuve valable au sujet de l’efficacité de l’invermectine.

    Au sujet de la liberté de prescrire, un médecin est libre de prescrire ce qu’il veut si c’est dans le cadre de la notice d’un médicament, il est couvert sauf s’il a fait une grosse erreur de diagnostic.

    S’il fait du hors piste vis à vis de la notice du médicament c’est sous sa responsabilité, il n’est plus couvert en cas de problème.

    Il y a 1500 médecins qui veulent faire du hors piste mais veulent que ce soit d’autres qui prennent la responsabilité en cas de problèmes.


    • GMX38 13 mai 2021 14:45

      @sls0

      Que pensez vous de la méthode de prescrire qui utilise des études qui montrent que cela marche, pour dire que cela ne marche pas ? https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/02/14/livermectine-attaquee-malhonnete/ 

      Tout est décrit ici


    • sls0 sls0 13 mai 2021 15:18

      @GMX38
      J’explique que dans la vidéo le monsieur dit n’importe quoi et vous m’envoyez sur son site, il faut oser.

      Une phrase relevé dans le lien :
      175 208 effets indésirables pour l’Aspirine, 159 824 pour le Paracétamol et 4 614 pour l’Ivermectine.
      Je connais plus de gens qui ont mal au crâne que de personnes qui ont la gâle.
      Que des conneries ou arguments de ce genre que nous pond le Maudrux.


    • Vulpes vulpes Vulpes vulpes 13 mai 2021 15:42

      @sls0
       

      sls0 2 août 2020 

      J’aime bien modéliser, comprendre.

      Comme le nombre de cas ou d’infectés ne sont pas fiables, je me base sur le nombres de morts pour avoir le nombre de cas X jours avant ce qui me permet d’avoir le taux d’erreur.

      Pour cela il me faut le X jours le plus fiable possible. C’est que j’en ai lu des études observationnelles pour avoir ce X.

      Le chiffre moyen trouvé est de 14 jours, je regarde 2 semaines avant, ça me suffit pour avoir le taux d’erreur à peu près correct.

      A force d’avoir cest chiffres devant les yeux, quand j’ai vu les courbes Kaplan-Meier, la majorité des morts du groupe témoin dans les 5 premiers jours ça ne passait pas. J’écrivais à ce moment là : je ne dit pas qu’elle est fausse mais je ne la sens pas cette étude.

      Ensuite j’ai vu l’écart de 9 ans, la première étude que je voyait avec un aussi gros écart, franchement anormal et biaisant, c’est la dessus que j’ai développé.

      C’est une fonction cubique l’influence de l’âge, on ne peut pas se permettre de l’écart d’âge > à un an, dans l’étude c’est 9 ans.

      Une étude doit être randomisée pour être valable, ici il y a eu un trie. Employer l’argument du risque cardiaque de l’HCQ pour évacuer les cas à risques vers le groupe témoins est :

      Faux, car on demande un suivi en cas d’antécédants cardiaques et non de ne pas donner le médicament.

      Comique, car implicitement ça montre que l’HCQ est à risques.

      Cela dit, l’éminent professeur pose bien pour la photo, il fait sérieux et on oublie pas le symbole d’autorité qu’est la blouse blanche.

       

    • sls0 sls0 13 mai 2021 15:55

      @Vulpes vulpes
      C’est gentil vulve de montrer que je sais analyser une étude.
      Ca veut aussi dire que je comprend l’analyse des études faite par les hôpiyaux universitaires de Genève.


    • sls0 sls0 13 mai 2021 15:57

      @sls0
      Pas la bonne touche, hôpitaux et non hôpiyaux.


    • Vulpes vulpes Vulpes vulpes 13 mai 2021 16:15

      sls0 : Ca veut aussi dire que je comprend l’analyse des études

       

      sls0 21 mars 2020 

      Ce virus je le nique au vinaigre ou au soleil.

       

    • Pyrathome Pyrathome 14 mai 2021 14:42

      @Super Cochon

      sls0 avait affirmé que les Professeurs Raoult et Perrone étaient des CHARLATANS

      Pas à une imbécilité près le bOzO, on les comptes même plus..., accusation inversée c’est le vieux truc des petits crypto-fascistes, si vous voulez voir les vrais charlatans, ils ont tous phagocyté le mille feuilles des "autorités sanitaires", je ne cite pas ces "cabinets" car trop nombreux , ils s’en sont même créé spécialement pour eux-mêmes où ils peuvent se gaver en royalties de toutes sortes, bigpharma est généreux avec ses "souteneurs" !

      En prime toute cette "engeance" est payée par vous, moi, tout le monde pour se faire enfumer, pas poubelle la vie ?

      La vraie science ?? Ils s’en tapent, dès l’instant où ça rentre dans le porte-monnaie....


  • JL 13 mai 2021 18:12

    Quand les points de vue s’affrontent et sont contradictoires, une solution : s’en remettre aux faits. Les faits plaident en faveur des traitements qui ont fat leurs preuves partout où ils ne sont pas interdits.

     

     Nous savons tous maintenant que le refus des traitements est politique : il s’agit de justifier les AMM conditionnelles qui visent à injecter à un maximum de gens leurs potions génétiquement modifiées.

     

    Le Pr Montagnier disait : « si vous vaccinez un porteur du virus, vous le tuez » Et de fait, on a vu paradoxalement des gens en bonne santé décéder après vaccination. Je suppose que celles qui ne sont pas infectées s’en sortent bien.

     

    Qui sont les porteurs sains qui se font vacciner, sinon les personnes dotées d’un système immunitaire performant qui leur a permis de résister au virus, vu que les autres contaminées ont développé la maladie et, se pensant immunisés ne sont donc pas candidats au vaccin ?
     
    Le scandale monumental de cette vaccination massive, le grand danger donc, c’est de ne pas s’assurer que les personnes qu’on vaccine sont ou non, porteurs du virus.

     
    Les enfants qui ont tous un système immunitaire performant, sont tous porteurs sains potentiels sinon déjà infectés, les spots TV nous le disent et redisent en boucle. La vaccination des enfants dans les régions fortement contaminées pourrait tourner à la catastrophe.

     

    Est-ce pour éviter que ça se voit trop au débute des campagnes de vaccination que tous ces gestes barrières et ces confinements nous sont imposés ?

     

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/deces-post-vaccination-le-droit-de-savoir


  • Vulpes vulpes Vulpes vulpes 13 mai 2021 21:37

    Merci pour l’article et pour toutes les informations !

     

    Malheureusement le chemin à suivre est tracé d’avance et cela depuis longtemps !


  • ahtupic 13 mai 2021 22:12

    Nuremberg et passage par les armes. Excellente solution pour les mondialistes et assassins.


  • Tchakpoum 14 mai 2021 12:10

    @GMX38

    Merci de votre rappel sur les corrections apportées aux articles de Prescrire et de l’Hôpital Universitaire de Genève, devenues des classiques contre l’ivermectine. Vous êtes malheureusement tombé sur le borné du site, qui n’est pas venu pour s’informer et évoluer, mais pour rappeler tous les jours ses opinions coulées dans le béton.

     

    @Vulpes vulpes

    Oui, et Maudrux n’est pas dupe de lui-même. Pour le moins, c’est un grain de sable jeté en espérant qu’il tombe dans un rouage essentiel :

    • Informer les médecins de l’existence de ce médicament, car c’est à eux soigner, même hors AMM, pour guérir les malades et reprendre au minimum le contrôle sur cette épidémie.
    • Les médias, qui font la pluie et le beau temps, pourraient relayer l’information, au moins savoir que l’ivermectine soigne réellement.
    • Si par la suite, il y a judiciarisation du plan (anti)sanitaire, Olivier Véran sait qu’il a perdu le prétexte de ne pas savoir, avec ce recours de médecins qui s’adressent à un confrère présentant les preuves que ce médicament guérit.
    • Enfin, c’est un renfort pour le public informé, ainsi que les assos, pour continuer à sensibiliser la partie incertaine de la population concernant le mensonge du tout vaccin comme seule possibilité prophylactique.

    @JL

    Malheureusement, on a toutes le peines du monde à savoir ce qu’il en est réellement du nombre des morts et handicapés consécutifs aux vaccins. C’est tellement facile de freiner et compliquer les remontées d’informations. Et pourtant, cela devrait être le travail impérieux des essais en phase III. La Food And Drug Administration, celle qui déclenche l’ouverture des portes des autorités sanitaires de l’otanie vient d’étendre l’autorisation de vacciner les adolescents de 12 / 15 ans.

    https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use

    Et on sait déjà que les réactions risquent d’être pires, avec des systèmes immunitaires plus vigoureux pouvant surréagir. En attendant les effets à long terme. En France, c’est Pannier Runacher qui a lancé le bal médiatique https://www.europe1.fr/sante/covid-19-faut-il-vacciner-les-enfants-4037805

     

    @Djam

    Ce sont les articles de Maudrux qui m’ont éclairé sur la solution ivermectine contre le covid, ainsi sans doute que la plupart des français informés là-dessus. Je suis tous ses articles de son blog, ainsi que les infos de FLCCC Alliance, devenue mondialement connue avec l’audition de Pierre Kory au sénat étatuniens.

    Ce qui ne veut pas dire que l’ivermectine est la seule solution, il y a même de nouveaux candidats intéressants. Et il y a des solutions locales. Le gouvernement indien a enfin recommandé le droit à utiliser l’HCQ et l’ivermectine le 28 avril, que certains états utilisent déjà (l’Uttar Pradesh étant le pilote). Les débats sont en cours pour reconnaitre la place de la médecine ayurvédique, qui agit aussi, au moins partiellement, et que de nombreux indiens préfèrent au vaccin rendu obligatoire. Les scènes dans les villages où l’on chasse avec des cailloux et des bâtons les soignants qui arrivent avec les vaccins sont devenues des classiques. Malheureusement, l’Inde utilise beaucoup le remdesivir, mutagène, car elle récupère les stocks des pays d’Europe qui n’arrivent plus à les épuiser.


  • Hijack ... Hijack ... 15 mai 2021 16:56

    Dommage, il y avait une vidéo qui avait été proposée à la publication par Super Cochon et moi-même (je crois le 13/05)... où le Pr Montagnier argumentait sur le fait que les vaccinations sont à l’origine des variants ... mais, sur signalement sur mon article, il m’est indiqué que la vidéo du Pr Montagnier n’est plus disponible ... après vérification, c’est vrai, la vidéo a bel et bien disparu à l’heure qu’il est. 

    .

    À la place, il y a cet article : Le Pr Montagnier apporte son soutien à la plainte pour l’arrêt de la vaccination de masse en Israël  :

    dont extrait :

    Je voudrais résumer les dangers potentiels de ces vaccins dans une politique de vaccination de masse.

    1. Effets secondaires à court terme : ce ne sont pas les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quelle vaccination, mais les réactions sérieuses mettent en jeu la vie du destinataire comme les chocs anaphylactique lié à un composant du mélange vaccinal, ou des allergies graves ou une réaction auto-immune jusqu’à l’aplasie cellulaire.

    2. manque de protection vaccinale :

    2.1 induction d’anticorps facilitant - les anticorps induits ne neutralisent pas une infection virale, mais au contraire la facilitent selon le destinataire. Ce dernier peut avoir déjà été exposé au virus de manière asymptomatique. Un faible niveau d’anticorps induits naturellement peut rivaliser avec les anticorps induits par le vaccin.

    2.2 La production d’anticorps induits par la vaccination dans une population fortement exposée au virus conduira à la sélection de variants résistants à ces anticorps. Ces variants peuvent être plus virulents ou plus transmissibles. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

    3. Effets à long terme : Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain. En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes avec la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. Bien qu’il s’agit d’un événement rare, on ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et sa transmission aux générations futures.

    « Face à un avenir imprévisible, il vaut mieux s’abstenir. » 

    Professeur Luc Montagnier



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