mardi 3 mai 2022 - par
On est donc avec l'énorme problème qu'est la consommation effrénée de viande et de produits issus de l'élevage.
Le règne animal est à-présent dominé par l'alimentation humaine et la planète est à raison de 98% modelée par l'homme, contre 2% de sauvage, de naturel. Le milieu de la bidoche n'est pas tendre, n'aime pas être dérangé dans ses activités lucratives et la demande est de toute façon énorme. Les recherches ont étés menées pour produire de la viande synthétique et ces produits commencent à se répandre sans qu'on connaisse les effets sur le long terme de ce genre d'artefact alimentaire voué à côtoyer les OGMs et les larves d'insectes.
Le film que les organisations environnementales ne veulent pas que vous voyez
Ceci est un film reportage/enquête de Kip Andersen (usa-sous-titres français) de 01h30 qui soulève une montagne dans un silence absolu depuis huit ans.
Il existe essentiellement un gros problème écologique sur cette planète et une grande quantité de problèmes seconds, voire mineurs. Mais ce gros, gros problème là semble n'intéresser personne parmi ceux et celles qui s'engagent dans la lutte écologique, dont celle dite "pour le climat" qui s'est transformée en chasse au CO2.
L'énorme problème se ramifie dans tous les domaines les plus sensibles. Ceux qui soulèvent de grande inquiétude avec, pour certaines causes, de grands efforts déployés, ciblent les problèmes seconds sans jamais s'attaquer au principal. Arrêtons-là le suspense : Il s'agit de l'élevage intensif : Veaux vaches cochon couvée....
Coté CO2, gazs à effet de serre, il est responsable de 51% des émissions au niveau mondial, ce qui équivaut à toute la circulation routière + maritime + aérienne + l'industrie + la production d'électricité + le chauffage et la cuisine des ménages, etc... Ce qu'on appelle "les pets des vaches" rend dérisoires, vains, et totalement infondés les efforts demandés aux particuliers pour "aider la planète", pour "sauver le bébé climat". (Actuellement, Greenpeace reprend l'élevage derrière l'appellation générique "agriculture" comme menace écologique)
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Coté CO2, gazs à effet de serre, il est responsable de 51% des émissions au niveau mondial, ce qui équivaut à toute la circulation routière + maritime + aérienne + l'industrie + la production d'électricité + le chauffage et la cuisine des ménages, etc... Ce qu'on appelle "les pets des vaches" rend dérisoires, vains, et totalement infondés les efforts demandés aux particuliers pour "aider la planète", pour "sauver le bébé climat". (Actuellement, Greenpeace reprend l'élevage derrière l'appellation générique "agriculture" comme menace écologique)
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Pour ce qui est de l'eau qui se raréfie, dont le prix monte en flèche, une énorme quantité est vouée au bétail. Produire un litre de lait demande 2.500 litres d'eau ! Imaginez ce que représente l'industrie laitière, fromagère, puis la production de viande qui tient de proportions encore plus délirantes (1 burger = 9.500 litres d'eau). L'élevage de bovins et de porcs produit aussi des tonnes d'excrément par seconde, qui finissent par souiller les nappes phréatiques puis les océans, la poubelle du monde, là où meurent les poissons pendant que leur monde s'éteint. Mais les organismes voués à garder l'eau comme "patrimoine universel à préserver" dont chacun/e ne devrait jamais être privé, pour protéger les océans, etc, personne n'est prêt à mettre en avant l'élevage intensif et le gouffre qu'il représente.
On a aussi comme y disaient "les poumons de la Terre" : la forêt amazonienne qu'on rase à hauteur d'un terrain de foot par seconde pour y caser... des boeufs ! C'est la première vocation de ces défrichages ! Pourtant, les organismes de défense de la foret amazonienne s'attaquent à tout sauf à ça, ils s'indignent des pertes, de l'usage qui est fait du bois, du triste sort des animaux dont c'est le milieu naturel. La source du problème est la vente de ces territoires aux éleveurs et les activistes brésiliens qui ont tenté d'intervenir sont tous morts par balle (2.500 personnes en 20 ans) !
On est donc avec l'énorme problème qu'est la consommation effrénée de viande et de produits issus de l'élevage.
Le règne animal est à-présent dominé par l'alimentation humaine et la planète est à raison de 98% modelée par l'homme, contre 2% de sauvage, de naturel. Le milieu de la bidoche n'est pas tendre, n'aime pas être dérangé dans ses activités lucratives et la demande est de toute façon énorme. Les recherches ont étés menées pour produire de la viande synthétique et ces produits commencent à se répandre sans qu'on connaisse les effets sur le long terme de ce genre d'artefact alimentaire voué à côtoyer les OGMs et les larves d'insectes.
Je ne suis pour ma part pas végétarien, l'expérience que j'ai fait de ce coté il y a vingt ans s'est interrompue après six mois mais m'a permis de contrebalancer par la suite mon alimentation avec parfois des protéines végétales plutôt qu'animales. J'ai depuis une vingtaine d'années mitigé ma consommation de viande et de poisson tant par la fréquence que par la quantité, mais elle est restée dominante. Non pas que je me sente coupable car je suis un "petit mangeur" qui se repaît de 100 gr de protéines par jour, mais cette balance doit s'inverser. Il est de toute façon préférable de s'orienter volontairement vers le végétarisme (ni viande ni poissons) ou le véganisme (aucun produit animal) que d'y être soumis financièrement ou devant des pénuries, comme par-exemple : celles qui nous pendent au nez !