La situation sanitaire à Gaza
Vidéo D'Hugo Décrypte du 19 juillet 2024 : Le virus qui menace les Palestiniens
Une crise sanitaire menace les Palestiniens dans la bande de Gaza qui fait face à des montagnes de déchets, où la quantité d’eau est loin d’être suffisante, et où la présence du virus de la polio, une maladie virale hautement contagieuse, a été détectée ce jeudi 18 juillet 2024. Les actus du jour, résumées et expliquées !
Dans cette histoire sordide, où la situation se compare aux camps de concentration nazis, où le typhus se développait, la France ne fait pas part d'impartialité, puisque pour les JO, elle refuse la participation des Russes, mais accueille et sur-protège les Israéliens.
Le ministère de la Santé du Hamas a annoncé lundi que 70 Palestiniens avaient été tués dans des opérations israéliennes à Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza, soumis à d'intenses bombardements. Dans un communiqué, l'armée israélienne a affirmé avoir "éliminé des terroristes dans la région".
Le 22 juiilet 2024
Gaza : 70 Palestiniens tués dans des opérations israéliennes à Khan Younès (Hamas)
3 réactions
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howakhan
25 juillet 2024 05:37
L’humain ne survivra pas à gaza..
quelque chose x énorme va se passer..
car dans le fond de chacun nous ne voulons rien changer du tout, chacun veut juste plus de pognon..
le veau d’or c’est nous en fait c’était une prédiction..
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Equus zebra
25 juillet 2024 12:20
@howakhan
Merci pour votre réaction, il faudrait un miracle divin pour que cela revienne à la normale à Gaza.
J’ai lu l’histoire de la bande de Gaza, cela remonte à 35 siècles tout de même.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bande_de_Gaza
Il y a un lien avec le discours de Ratisbonne sur cette page.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_Ratisbonne
La violence qu’exerce Israël à Gaza est d’autant plus étrange que cela rappel cruellement des méthodes du nazisme, d’ailleurs cela se passe de manière pire que dans les camps de concentration.
Polio, typhus
https://fr.wikipedia.org/wiki/Camp_de_concentration_de_Theresienstadt
Système de soins En raison du manque d’hygiène qui règne dans le ghetto et des carences en eau propre, en médicaments et en nourriture, de nombreux prisonniers tombent malades. En 1942, 30 % des prisonniers sont catégorisés comme malades — de scarlatine, de fièvre typhoïde, de diphtérie, de poliomyélite ou d’encéphalite ; en outre, en automne de la même année, le temps froid aggrave le problème des poux. Des hôpitaux de fortune, où agissent surtout des infirmières, sont organisés dans chaque baraquement pour les cas les plus graves. La plupart des infirmiers et infirmières n’ont guère de formation et doivent accomplir l’ensemble des tâches, y compris nettoyer les pièces, évacuer les déchets, servir les repas et tenir compagnie aux patients. Même si les infirmiers, à cause de leur sous-effectif, sont protégés des déportations jusqu’en octobre 1944, ils s’exposent au danger de contracter les maladies et doivent travailler chaque jour pendant 18 à 20 heures. Après les déportations de 1944, le nombre de soignants chute drastiquement et chaque infirmier doit s’occuper de 65 prisonniers, voire davantage.
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