mercredi 5 septembre 2018 - par Liberté

La cheptelisation des masses françaises

Voici un texte de Günther Anders, un penseur autrichien, disciple de Heidegger : "L’Obsolescence de l’homme", écrit en 1956, qui trouve un écho singulier dans la période que nous vivons, en France, en particulier. 

 

Merci à Edouard Piely, qui a publié ce texte sur sa page Facebook, et m’a donné l’occasion de le redécouvrir. D’une brûlante actualité et d’une vérité criante sur une époque, la nôtre, où une minorité s’est accaparée le pouvoir de chepteliser, capriniser, boviniser les masses humaines. Je me fais un devoir de le faire connaître ou redécouvrir.

 

Toute comparaison avec la société française, telle que la rêve Macron, est bien évidemment fortuite et involontaire. 



3 réactions


  • Liberté Verdi 5 septembre 2018 17:18
    De bonne foi, j’ai attribué ce texte à Günther Anders, mais il n’en est apparemment pas l’auteur. Il semble en effet que l’auteur soit Serge Carfantan, qui s’est inspiré de Aldous Huxley et Günther Anders. 
    Je vois qu’il a été publié sur le site "Philosophie et Spiritualité, dans la leçon « Sagesse et révolte ».
    Je présente mes excuses à Serge Carfantan et aux visionneurs d’Agoravox. 

    Verdi

  • le celte 6 septembre 2018 10:14

    Merci pour le rattrapage et pour votre contribution à l’éclairage public. smiley


  • Pierre Régnier 27 novembre 2018 14:44

    A propos, je suis surpris de ne pas voir les partisans de la décroissance tenter d’élargir en ce moment la diffusion de leurs thèses.

    Bien sûr ils ne peuvent pas espérer les voir mises en lumière par les médias dominants, lesquels sont principalement occupés à maintenir "le troupeau" dans le "bonheur conforme" (1). Mais ils pourraient essayer de les faire mieux connaître et partager sur des sites comme Agoravox.

     

    (1) allusion au livre de François Brune Le bonheur conforme, publié en 1985 chez Gallimard, et réédité en 1992 aux éditions de Beaugies où il est aujourd’hui disponible. Ce livre me semble être un excellent complément au texte lu ici par Verdi.

    Éditions de Beaugies :

    http://www.editionsdebeaugies.org)


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