vendredi 2 janvier 2015 - par
Il n’y a pas d’alternative économique, mais un monde économique à détruire
Il y a des gais savoirs.
Cette proposition suppose qu’une science peut s’estimer en qualité.
Voilà qui suciterait l’incompréhension de tous nos scientistes, nos producteurs de vérités.
Si il existe de tels savoirs, alors il existe des sciences tristes.
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Car la science ne relate pas le monde, elle le construit. Il est urgent que le monde se déleste de celles qui l’enlaidit. Premier monstre à détruire - l’ Economie
Chapitre 1
Chapitre 2