vendredi 3 juillet 2020 - par Alexandre Berger

Femme Mode d’Emploi - Incompréhension et mise à jour Red Pill

Les femmes sont compliquées ? Difficiles à comprendre ? Pour y remédier, il convient d'abord de comprendre certaines des différences clés dans nos esprits respectifs, afin de pouvoir utiliser la grille de lecture appropriée. Nos instincts présentent certains contrastes fondamentaux, car ils sont eux-mêmes grandement tributaires, à la base, de nos approches distinctes du fait reproductif. A cet égard, important également de situer combien au gré de l'évolution de nos ancêtres, se sont encrés des rôles singuliers et complémentaires au sein de la communauté en fonction des genres. Cela a contribué, au fur et à mesure, à accentuer certains contrastes fondamentaux, notamment une psychologie et une approche de la communication légèrement différente.

Un audio basé sur l'introduction du livre Femme Mode d'Emploi, la Révélation Red Pill, qui tente là de définir certaines raisons fondamentales à cette incompréhension universelle.

 



15 réactions


  • louis 3 juillet 2020 20:23

    Un jour je disais a ma femme que malgrè les années je n’avais pas encore comment elle fonctionnait , elle m’a répondu avec un grand sourire que c’était très bien comme cela , j’ai supposé qu’elle voulait garder encore un peut de mystère  smiley


    • Le Gaïagénaire 3 juillet 2020 22:53

      @ged252 3 juillet 20:33

      Un autre livre intéressant

      Esther Vilar : l’Homme subjugué.

      Par N. B. Publié le 26 mai 1972 à 00h00 - Mis à jour le 26 mai 1972 à 00h00

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      Pour Esther Vilar, médecin et sociologue allemande, la " moyenne des femmes " sont stupides, cupides, incultes, insensibles et préoccupées d’une seule pensée : trouver et garder le bailleur de fonds légal qui lui permettra de mener la seule vie dont elle rêve, celle de parasite.


    • Le Gaïagénaire 3 juillet 2020 22:55

      @Le Gaïagénaire

      @ged252 3 juillet 20:33

      Un autre livre intéressant

      Esther Vilar : l’Homme subjugué.

      Par N. B. Publié le 26 mai 1972 à 00h00 - Mis à jour le 26 mai 1972 à 00h00


      Pour Esther Vilar, médecin et sociologue allemande, la " moyenne des femmes " sont stupides, cupides, incultes, insensibles et préoccupées d’une seule pensée : trouver et garder le bailleur de fonds légal qui lui permettra de mener la seule vie dont elle rêve, celle de parasite.


    • PLACIDE2 4 juillet 2020 08:29

      @louis
      Si au lit cela fonctionne bien nous pouvons nous estimer heureux ; nous sommes trop exigeants pour le reste.


    • Alexandre Berger 4 juillet 2020 11:10

      @louis

      Une règle d’or pour mieux les comprendre : s’en tenir à leurs actes, et non à leurs dires. smiley 


    • Alexandre Berger 4 juillet 2020 11:12

      @PLACIDE2

      Autant se contenter d’une poupée gonflable dans ce cas, non ? Ils font des trucs très réalistes de nos jours. smiley


    • Alexandre Berger 5 juillet 2020 11:18

      @ZardoZ

      Bien sûr, mais ça vaut doublement pour les femmes ! 


    • medialter medialter 5 juillet 2020 13:41

      @Le Gaïagénaire
      "Pour Esther Vilar, médecin et sociologue allemande, la " moyenne des femmes " sont stupides, cupides, incultes, insensibles et préoccupées d’une seule pensée : trouver et garder le bailleur de fonds légal qui lui permettra de mener la seule vie dont elle rêve, celle de parasite"
      *
      Merci pour la réf de ce livre que j’ai lu et que je cautionne, à la fois en expérimentateur et en observateur, dans les différentes couches sociales où j’ai pu naviguer. A de rares exceptions près, où il existe un Amour profond, désintéressé, et inconditionnel rare reflet du féminin authentique dans toute sa divinité que la plupart des poulettes ont pollué à mort , ce qui caractérise la relation homme/femme dans la grande majorité des cas, c’est un contrat implicite, inavoué, non-dit mais truffé de sous-entendus, où l’homme s’oblige à prendre le rôle de pourvoyeur de sécurité et de matérialisme à minima, de soldat familial, de caricature sociale et relationnelle, de machine à assumer toutes les coercitions civilisationnelles, le tout sous la chape du code de conduite imposé par mémère, et où la femme, tant que cette rente lui est assurée, accepte le rôle de pute privée, quoiqu’encore dans certaines limites, obligeant souvent son héros à certains écarts extérieurs pour ce qui sort de la déontologie qu’elle lui a imposée. Ce contrat sordide identifié et dénoncé, s’engage ensuite un rapport de force dont l’issue est généralement fatale. Aucune union saine, et encore moins initiatique, ne peut exister dans ce cadre qui n’est finalement que temporel et culturel, et que les modalités d’époques ont encore renforcé dans une religion de la martyrologie et la prêche victimaire du pauvre sexe faible
      *
      Quelques extraits de ce superbe ouvrage :
      *
      "Dès sa jeunesse, on lui apprend [à l’homme] à respecter celle qui est sa mère, celle qui sera sa compagne et la mère de ses enfants. La femme se sert de son sexe pour le dominer. Elle satisfait les appétits charnels de l’homme pour qu’en échange, il la nourrisse, l’entretienne et “élève les petits de sa femelle”. Il faut donc, désacraliser la femme, la voir telle qu’elle est : spécialisée dans la prostitution légale, dans l’artifice et la rapacité"
      *
      "Comme la femme répartit toutes les tâches en « viriles » et « féminines », « supérieures » et « humbles », elle leur confère des valeurs sentimentales auxquelles, après quelque temps, personne ne peut plus se soustraire ; elle échappe ainsi à tout contrôle et se procure, dans le domaine où elle exerce son pouvoir, une liberté d’agir et de parler qui évoque celle des anciens bouffons de cour [...] L’analyse de ce cercle infernal est simple : la femme invente des règles qui lui servent à dresser l’homme afin de pouvoir le subjuguer. Ces règles, elle les ignore dès qu’il s’agit d’elle. L’honneur masculin, par exemple, est l’un des systèmes inventés par la femme ; elle-même, s’en dégageant a priori, ne respecte aucune sorte d’honneur pour manipuler d’autant mieux les hommes"
      *
      "L’accentuation de ses caractères sexuels secondaires la rend désirable à l’homme, et sa mascarade la voile d’un mystère grâce auquel elle devient pour lui le sexe étrange, chatoyant, l’« autre » sexe, si bien qu’il se soumet encore plus volontiers à elle. À l’aide du vaste éventail de possibilités de transformation dont elle dispose, une « vraie » femme a chaque jour un aspect légèrement différent, et chaque fois, elle surprend l’homme une fois de plus, frappe son imagination. En outre, elle gagne du temps : pendant qu’il peine pour redécouvrir la femme d’hier sous son apparence nouvelle, elle peut en toute tranquillité réaliser ses projets, manœuvrer, acculer l’homme si possible dans l’impasse d’où il ne sortira plus, détourner son attention de l’odeur de putréfaction que dégage, sous un masque séduisant, un esprit en constante décomposition. Par conséquent, vis-à-vis d’une autre femme, une femme se considère seulement comme une matière première : ce n’est pas le matériau qui compte, mais ce qu’on tire de lui. Sans maquillage, sans coiffure et sans parure, les femmes n’existent pratiquement plus"


    • Alexandre Berger 5 juillet 2020 21:23

      @medialter

      Remarquable contribution. Il y a du vrai c’est évident, mais c’est aussi complètement unilatéral et assez réducteur, voir même porté sur une victimisation exagérée des hommes. « L’honneur masculin, un système inventé par la femme », ça c’est simplement ridicule, à moins de placer à la base de façon inappropriée les femmes sur un piédestal céleste. Les hommes ont aussi leur responsabilité dans tout cela tant qu’ils se laissent pigeonner avec tant d’engouement et qu’ils demeurent si joyeusement dénués de toute forme de connaissance et de sagesse en la matière. Combien en redemandent ? On ne peut blâmer seulement les femmes de ce point de vue.

      Qu’elles se servent du pouvoir que leur vagin (et leur qualité reproductive) leur donne sur les hommes, et donc sur le monde, c’est logique et ça fait partie de la règle du jeu. C’est aussi aux hommes d’apprendre à manœuvrer intelligemment car il s’agit là d’un rapport de force incontournable. La Vie est aussi une impitoyable garce dans le fond, car sinon les choses n’avanceraient pas. La vie, le bon dieu, se moquent éperdument de nos petits ego individualistes et de nos idéaux en carton, car eux ne valent pas une cacahuète en termes de survie dans le temps.

      Le jour où les hommes retrouveront leurs couilles, leur tête et leur dignité, les femmes suivront naturellement le mouvement, c’est aussi simple que ça.


    • medialter medialter 6 juillet 2020 00:42

      @Alexandre Berger
      "c’est aussi complètement unilatéral et assez réducteur, voir même porté sur une victimisation exagérée des hommes. « L’honneur masculin, un système inventé par la femme », ça c’est simplement ridicule, à moins de placer à la base de façon inappropriée les femmes sur un piédestal céleste ... il s’agit là d’un rapport de force incontournable

      "
      *
      Je pense qu’il y a complète symétrie dans ce rapport de force, que je nommerais plutôt un rapport de prédation. La femme aussi peut se retrouver victime à ce jeu, car dans le monde matérialiste, c’est bien un jeu qui ne dit pas son nom. A prédateur, prédateur et demi. L’homme peut très bien trouver son compte à entretenir une femelle pour en faire sa pute privée, et s’il ne se saigne pas à l’achat de ce rôle, c’est plutôt tout bénef. Il ne peut donc pas y avoir de victimisation, ni d’un côté, ni de l’autre, car chacun danse de plein gré avec ses propres armes, même si les règles sont secrètes. Un jeu destructeur, j’en conviens, mais dans le profane, la dégénérescence est telle que les manipulations les plus sordides sont permises. Sur le plan sacré, il en va autrement, car l’homme et la femme sont intrinsèquement faits pour être ensemble et procéder à de puissants échanges de courants énergétiques, mais rien n’est possible tant que ce rapport de prédation n’est pas dépassé ou dissout. C’est bien pour ça qu’il faut se mettre au dessus des modalités d’époques, conventionnelles ou culturelles, sinon elles absorbent le couple dans cette spirale mortelle. Mais qui sait faire ça aujourd’hui ?


  • ETTORE 3 juillet 2020 20:48

    Vous ne vous êtes jamais demandés pourquoi les femmes portaient des talons hauts ?

    Parce que si l’homme bas du front, mets son intelligence à la place de son sexe, la femme mets l’artificiel à la même hauteur.

    C’est une forme de recherche en égalité.


  • ahtupic 4 juillet 2020 08:49

    "Femme mode d’emploi" Un trop pas du tout réussi qui assimile la femme à un objet.

    C’est bien la Femme qui a été le principal facteur de la pérennité de l’humanité. Naturellement, l’homme était là pour subvenir à ses besoins car, comme cela est dit, elle ne pouvait le faire seule.

    Le féminisme a tout dévoyé. L’homme et la femme sont complémentaires.

    Petite digression sur la parité, une imbécilité de notre époque : Le nouveau premier ministre a promis de respecter la parité ; comment respecter la parité pour la présidence de la ripoublique ou le poste de premier ministre ? En nommant 2 personnes à ces postes ? Que nenni, on a trouvé mieux. Il faut mettre un bisexuel à ces postes.

    C’est bien ce qui nous arrive comme président. Pour le 1er ministre, c’est le même chose vu qu’il doit bouffer à tous les rateliers  smiley


  • Étirév 4 juillet 2020 12:13

    À l’Ecole Pythagoricienne, on enseignait l’unité de la nature féminine, dont le principe de vie ne se divise jamais : c’était le nombre 1. Et la dualité de la nature masculine dont le principe de vie se divise en deux parties : l’une pour être conservée et l’autre pour être donnée à la génération : d’où le nombre 2.
    L’unité féminine était appelée la Monade, parce que la femme est l’être indivisé, d’où le mot individu.
    La dualité masculine était la dyade. En latin, on disait homo duplex pour désigner la contrariété du cœur et de la raison, la duplicité (le double), suprême mystère de l’existence de l’homme.
    Ce grand mystère, c’est la loi des sexes.
    « Je ne pourrais entrer dans la discussion du fameux symbole de Pythagore, un-deux, sans dépasser de beaucoup les bornes que je me suis prescrites, écrit Antoine Fabre d’Olivet ; qu’il me suffise de dire que, comme il désignait Dieu par 1 et la matière (l’homme) par 2, il exprimait l’Univers par le nombre 12 qui résulte de la réunion des deux autres : un, deux, « en, duo ». C’est le même symbole de Fo-hi, si célèbre parmi les Chinois, exprimé par une ligne entière — 1 (Yang) et une ligne brisée - - 2 (Ying) ».

    NB : Mystère de l’Immaculée-Conception
    Dans toutes les Écritures antiques, la Maternité est considérée comme immaculée et les Déesses-Mères sont dites Vierges-Mères.
    Ce cas n’est pas une exception, il s’applique à la généralité des femmes.
    C’est que, dès cette haute antiquité, on connut la loi du Sexe féminin, et ce qui le prouve, c’est qu’elle est expliquée dans tous les Livres sacrés.
    Quand on parle devant des libres-penseurs de l’Immaculée-Conception, ils s’esclaffent et répondent : « Quelle bourde ! comment peut-il y avoir une conception immaculée, c’est-à-dire opérée autrement que par les procédés des modernes ? »
    Cette réponse prouve qu’ils ne connaissent pas la loi des sexes, pas plus du reste que l’évolution des langues. S’ils connaissaient cette dernière évolution, ils sauraient que le mot Vierge signifie intégrité de l’Esprit. La première religion ne s’occupait que du plan spirituel. C’est dans les religions masculinistes qu’on a mis la psychologie féminine sur le plan sexuel, et alors le mot virginité est devenu intégrité du sexe.
    La question n’est donc pas de savoir si la femme, vierge ou non, est plus ou moins sexuée, mais de savoir qu’elle est autrement sexuée, et c’est ce que toute l’antiquité théogonique savait.


  • albert123 4 juillet 2020 18:28

    il n’y a rien à comprendre (ni même à espérer sur le moyen / long terme) chez une catégorie rendue à la fois irresponsable par les autorités et portée au pinacle par une idéologie débilitante.

    Retirez toute responsabilité à des individus pas plus talentueux que les autres tout en en faisant la 12 ème merveille du monde et vous obtenez des êtres médiocres et nuisibles au reste de la société


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