vendredi 29 novembre 2019 - par
En marche vers le soulèvement
"Je comprends qu’Emmanuel Macron ait peur. Il avait mille fois la possibilité d’arrêter de durcir ce rapport de force. Il semblerait que ce soit trop tard. Il semblerait, à la veille de cette journée de lutte et de convergence du 5 décembre, que nous soyons à un moment de bascule. Entre soulèvement et asservissement."