mercredi 18 décembre 2019 - par gregoslurbain

En 2013, Gugusse Jean-Paul Delevoye met 690 000 signatures à la poubelle

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La loi organique du juin 2010 relative au CESE "a ouvert la possibilité pour les citoyens de le saisir par voie de pétition. Pour que ce débat démocratique ait lieu, 500 000 signatures doivent être réunies"

Certains ont cru à la sincérité de cette loi...

En 2017, fin de l'arbitrage de cette affaire par le conseil d'Etat : " Saisi d’un pourvoi par M. Brillault, le Conseil d’État infirme la solution de la cour. Il estime que la « décision par laquelle le bureau du CESE statue, en application des dispositions citées ci-dessus, sur la recevabilité d’une pétition dont le Conseil est saisi sur le fondement du troisième alinéa de l’article 69 de la Constitution, en vérifiant si les conditions posées par l’article 4-1 de l’ordonnance organique du 28 juin 2010 sont remplies, a le caractère d’une décision administrative susceptible d’un recours pour excès de pouvoir ».

La leçon à retenir de ce charabia, c'est le mépris complet de ce régime pour les pétitions comme pour les référendums.



1 réactions


  • ETTORE 19 décembre 2019 11:49

    Minable mercenaire de l’état .

    Vendu au plus vicieux, et de surcroît implanté comme un morpion dans tous les relais politiques qui peuvent servir l’ascension de son maître chien.

    Dans les temps anciens.... aurait été condamné au carcan, et exposé jusqu’à mort s’en suive aux crachats du peuple.

    On découvre, histoire pourrie après histoire pourrie, tout le fondement moral de cette engeance politique

    A quand, la remise en service de Cayenne ?

    Autant utiliser les taxes pour rouvrir ce camp de " vacances "(vacances pour nous) pour VIP politiques.


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