mercredi 19 mars - par Géopolitique Profonde

Elles sont partout, chez vous, dans la rue et vous empoisonnent : le danger des LED | GPTV

Le 15 mars à 9h, Guillaume Brun, lanceur d’alerte, est l’invité de Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Un danger invisible pour la santé

Les ampoules LED ont envahi notre quotidien sous prétexte d’écologie et d’efficacité énergétique. Pourtant, derrière cet argument fallacieux se cache un danger sanitaire largement sous-estimé. Leur scintillement à haute fréquence, souvent imperceptible à l’œil nu, est détecté par le cerveau et peut provoquer des maux de tête, de la fatigue chronique et même des troubles neurologiques. On estime que 7 à 10 % de la population est particulièrement sensible à ce phénomène, avec des risques accrus pour les personnes épileptiques ou souffrant de migraines.

Les nourrissons et les jeunes enfants sont encore plus vulnérables. Exposés en permanence à cette lumière artificielle agressive, ils subissent une pollution lumineuse qui peut affecter leur développement neurologique. Certains chercheurs établissent même un lien entre l’exposition aux LED et une augmentation des cas de troubles du spectre autistique. Malgré ces alertes, les autorités persistent à imposer ces ampoules sous couvert de normes environnementales, ignorant les conséquences sanitaires dramatiques qu’elles engendrent.

Une influence alarmante sur le comportement

Au-delà des effets physiologiques, les LED ont un impact direct sur notre comportement et notre bien-être mental. La lumière bleue qu’elles émettent perturbe la production de mélatonine, hormone essentielle à la régulation du sommeil et des émotions. Privés d’un repos de qualité, de nombreux individus, notamment les jeunes, développent irritabilité, stress et agressivité accrue.

Des études récentes suggèrent même une corrélation entre l’éclairage LED omniprésent et l’augmentation des troubles de l’attention et de l’hyperactivité chez les enfants. Ce phénomène, loin d’être anodin, interroge sur les véritables motivations derrière cette transition énergétique forcée. Les écoles, les hôpitaux et les espaces publics sont désormais illuminés par ces ampoules toxiques, exposant la population à un stress lumineux permanent. Pourtant, aucune étude d’impact sérieuse n’a été menée avant leur déploiement massif.

Une catastrophe écologique déguisée

Publicité

Les LED sont présentées comme une révolution écologique, mais la réalité est tout autre. Certes, elles consomment moins d’énergie que les ampoules traditionnelles, mais à quel prix ? Leur fabrication repose sur des terres rares et des métaux lourds, dont l’extraction est une catastrophe environnementale. De plus, leur recyclage est extrêmement complexe, générant des déchets toxiques en masse.

Mais l’impact le plus dévastateur se situe au niveau de la biodiversité. La lumière bleue intense des lampadaires LED perturbe profondément les écosystèmes nocturnes. Les insectes, attirés par ces sources lumineuses artificielles, sont désorientés et meurent en grand nombre, mettant en péril les chaînes alimentaires et la pollinisation. De nombreuses espèces animales, dont les oiseaux et les chauves-souris, voient leurs cycles biologiques perturbés, entraînant un effondrement progressif de la faune nocturne.

Une imposition industrielle aux motivations douteuses

Si ces ampoules sont si nocives pour la santé et l’environnement, pourquoi sont-elles devenues la norme ? La réponse réside dans les intérêts industriels et financiers colossaux qui entourent leur production. Contrairement aux anciennes ampoules à incandescence, les LED ont une durée de vie limitée et leur obsolescence programmée garantit un renouvellement constant du marché. Les grandes multinationales de l’éclairage tirent profit de cette dépendance forcée, au détriment du bien-être des populations.

Pire encore, la transition vers les LED s’inscrit dans un agenda plus large de contrôle énergétique. En équipant les villes de lampadaires connectés et en imposant des ampoules « intelligentes » dans les foyers, les autorités et les industriels renforcent la surveillance numérique sous prétexte d’efficacité énergétique. Derrière l’illusion du progrès se cache un système où chaque source lumineuse devient un outil potentiel de contrôle et de gestion à distance.

Enquête explosive ! Ce que les médias ne vous disent pas sur l’oligarchie… découvrez en cliquant ici :

Revue-Mensuelle-Geopolitique-Profonde-22-Mars 2025-Trump-Poutine-OTAN-Israël-OMS

Cliquez sur l’image !

 

 

https://geopolitique-profonde.com



5 réactions


  • Gollum Gollum 19 mars 12:45

    Pétard le nombre de conneries par ligne c’est colossal ici... smiley

    Notamment ça : 


    Contrairement aux anciennes ampoules à incandescence, les LED ont une durée de vie limitée et leur obsolescence programmée garantit un renouvellement constant du marché.

    C’est bien évidemment l’exact contraire : 

    https://www.futur-habitat.info/quelle-est-la-duree-de-vie-des-ampoules-led/

    Mais on est sur GP ceci explique cela.. smiley


  • Étirév 19 mars 13:08

    Son et lumière… bleu.
    Depuis plus de soixante-dix ans, une puissante révolution a pris forme sans parti politique, sans discours électoraux, et même sans manifeste idéologique pour énoncer les buts et objectifs des nouveaux révolutionnaires.
    Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une profonde révolution sociale, économique, morale et culturelle a choisi de proclamer son radicalisme par la musique, les Chansons et les stars du Rock and Roll.
    Au départ, tout cela n’a pas été pris au sérieux, car tous s’imaginaient que c’était une mode de plus qui finirait bien par passer comme l’avaient déjà fait le Charleston, le Boogie-Woogie et le Twist. Toutefois, le phénomène socio-culturel du Rock and Roll, apparu au début des années 50, allait déferler sur le monde tel une vague de fond mêlée de boue, de scories, de sang et de sacrifices humains.
    Les conséquences de l’audition de la musique Rock se rapportent aux cinq thèmes majeurs de l’univers Rock and Roll : le sexe, la drogue, la révolte, la fausse religion et l’influence diabolique.
    L’intelligence, la volonté, le libre arbitre et la conscience morale subissent un tel assaut par la voie de tous les sens que leurs capacités de discernement et de résistance sont fortement diminuées, parfois même neutralisées. Dans cet état de confusion morale et mentale, la voie est complètement ouverte aux défoulements les plus violents des pulsions refoulées telles que la haine, la colère, la jalousie, la vengeance et la sexualité.
    La meilleure formation morale et spirituelle ne peut résister longtemps à l’érosion inévitable de la conscience, du cœur et de l’esprit, que produit l’audition quotidienne et habituelle de la musique « Rock ».
    Ajoutons à tout cela, les agressions subliminales qui sont de véritables viols de la conscience et manipulations du libre arbitre.
    Rappelons que ce terme de « Subliminal » se dit d’un message qui atteint une personne juste en-dessous du seuil de la conscience, soit dans son subconscient. Ce message échappe donc ainsi à tout dépistage des facultés conscientes de la personne humaine.
    Parmi les agressions subliminales, nous trouvons entre autres :
    1. Le message subliminal verbal (« backward masking process » ou « enregistrement à rebours camouflé »).
    2. Le « Beat » et son effet subliminal (le « Beat » peut-être conçu de façon à exaspérer les instincts sexuels à favoriser la réaction du système nerveux et du cerveau aux diverses drogues ou exaspérer les instincts de violence, de meurtre et d’émeutes).
    3. Le signal subliminal à fréquence ultra-sonique (comparable au sifflet muet pour les chiens).
    4. La stroboscopie Quand on combine l’effet de la musique rock avec le jeu du stroboscope, toutes les barrières du jugement moral s’affaissent. La personne perd alors ses réflexes automatiques et ses mécanismes de défense naturels. Sans même s’en apercevoir, elle se laisse aller aux suggestions des messages subliminaux contenus dans les disques. Rappelons que depuis l’émergence de la musique « Disco » dans les années 1970, les jeux de lumière ont toujours été un élément essentiel de la culture de la discothèque et des événements de danse en général.

    Au sujet des effets de la lumière sur l’être humain, faisons remarquer que ce que l’on appelle actuellement VLC (Visible Light Communication) constitue un sous-ensemble des technologies de communications optiques sans fil. Dans les télécommunications, la communication par lumière visible (VLC) consiste à utiliser celle-ci comme support de transmission. Dans cette technologie, une place centrale est dédiée aux luminaires électroniques, LED (Light-Emitting Diode). La LED a envahi la planète et pose de grosses difficultés en matière de pollution lumineuse. Sa méthode de fabrication la plus rentable économiquement consiste à combiner une diode émettant simultanément des rayonnements bleus (lumière bleue) et jaune pour produire de la lumière blanche. Or, la lumière bleue est particulièrement connue pour perturber l’horloge interne des vivants (plus grave encore est son effet sur les enfants et sur les yeux). On comprend mieux aussi l’importance, aujourd’hui, de la fibre optique introduite partout. La lumière bleue semble être une pièce maîtresse de la connectivité et de l’hybridation machine-vivant. Serait-ce la raison pour laquelle la téléphonie allemande s’appelle « Blau », le système mail de Swisscom est « bluewin », les réseaux sociaux sont tous rhabillés de bleu, etc... sans parler du « blue-jeans », cet uniforme international du jeune dansant sur des sons syncopés, régressifs, hypotiques, ou des projets « Blue Book » relatif aux OVNI/UFO et « Blue Beam » concernant la projection d’hologrammes dans le ciel ? La lumière bleue associée à la fibre optique desservie dans les maisons peut être une arme neuro-cognitive puissante. Elle peut à tout le moins désorganiser le fonctionnement d’un cerveau et faire perdre le bon sens à n’importe quel être vivant. La fibre optique a permis la mise en place de l’« optogénétique », un concept développé à la fin des années 1970. L’optogénétique est basée principalement sur une protéine, la channelrhodopsine qui possède la propriété d’être activée par la lumière bleue. Des cellules neuronales exprimant cette protéine peuvent alors elles-mêmes être activées par la lumière bleue, apportée par une fibre optique.
    « Bite » Génération Et les Adversaires de l’Harmonie


    • Gollum Gollum 19 mars 13:24

      @Étirév

      La lumière bleue associée à la fibre optique desservie dans les maisons peut être une arme neuro-cognitive puissante.

      Mais quelle confusion là encore ! La fibre optique sert à transmettre l’information. AUCUN rapport avec la lumière bleue mais alors AUCUN ! smiley

      Ce sont les écrans qui fournissent cette lumière bleue et pas besoin de fibre optique pour ça... En bref, pas besoin d’être relié à internet..

      Là encore Etirev manifeste son incompétence notoire, et habituelle, dans le domaine technique et scientifique.. 

      Mais on a l’habitude.. smiley

      Quant à la nocivité de cette lumière bleue elle est reconnue au niveau médical il n’y a là aucun mystère ni complot... Suffit juste d’aller faire autre chose que passer sa vie devant un écran (n’est-ce pas Etirev ??)


  • JPAGO 19 mars 14:35

    Les lampes à incandessecence émettent avec un TRES mauvais rendement énergétique un spectre lumineux continu avec un maximum dans les infra rouges. Pour reproduire la lumière du soleil il faut pousser en température et alors les filaments ont une durée nettement réduite de vie. On a essayer de limiter cet effet avec les lampes remplies de Krypton . 

    Aussi depuis près de 100ans on a diffusé au maximum les éclairages dit au néon où un flux de plasma argon néon dans un tube émet un spectre discontinu de raies lumineuses qui sont converties par de la poudre luminescente déposée sur la paroi du tube qui produit une nouvelle lumière AUSSI en spectre de raies utlisable pour éclairer. Les lampes à diodes luminescentes émettent par principe AUSSI une lumière à spectre de raies. Les deux procédés émettent en partie vers les UV


    • JL 21 mars 09:00

      @JPAGO
       
       ’’ Pour reproduire la lumière du soleil il faut pousser en température et alors les filaments ont une durée nettement réduite de vie.’’
        >
       Comme vous le savez, plus la température de la lampe est élevée et plus le rendement est mauvais.
       C’est l’avantage des Led de produire une lumière froide, et c’est pour cela qu’elles consomment peu d’électricité.


Réagir