mercredi 30 septembre 2015 - par mat-hac

Demain, une culture scientifique commune ?

Les Mardis de l'Espace des sciences avec Hélène Langevin-Joliot, physicienne nucléaire, directrice de recherche émérite au CNRS.

 



11 réactions


  • mat-hac matthius 30 septembre 2015 17:20

    C’est de la pédagogie, pour ceux qui veulent comprendre ce que recherchent les scientifiques.


    • la mouche du coche 30 septembre 2015 18:38

      Cette femme est une apôtre de la doctrine officielle complètement fumeuse.
      Elle est dans le mythe contemporain des "avancées de la science" parce qu’elle n’ose pas dire qu’elle ne trouve plus rien tout simplement parce qu’elle ne sait plus observer. Elle est bourrée d’idéologie ce qui l’empêche de voir le réel (même si elle voit bien qu’’elle n’arrive plus à apporter la preuve scientifique sur quoique ce soit). Toutes les découvertes dont elle parle ne sont que des découvertes techniques et non scientifiques. On pourrait les avoir faites dans une société totalement différente de la notre.


    • mat-hac matthius 30 septembre 2015 19:10

      @la mouche du coche
      Qu’avez-vous trouvé vous ?


    • la mouche du coche 30 septembre 2015 19:36

      @matthius

       smiley moi j’ai fais de grandes découvertes. J’ai trouvé que tout ce qu’on nous a dit est faux. Les américains ne sont pas allé sur la lune, ce ne sont pas 2 avions qui ont fait tomber les tours, et l’homme ne descend pas du singe. C’est énorme quand on y songe. smiley


  • DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 30 septembre 2015 19:44

    Mouais ... Dame Hélène Langevin-Joliot n’a manqué de flair en choisissant cette erreur qu’est la physique nucléaire ... je m’explique :

    Le nucléaire comment "çà" marche ? ... Le nucléaire est de la matière très agitée qui chauffe beaucoup et très très longtemps. Une centrale nucléaire fonctionne en mettant de l’uranium, de la matière nucléaire concentré en barre dans de l’eau, ceci afin de chauffer l’eau, ce qui crée de la vapeur d’eau. Cette vapeur d’eau est mise sous pression afin de faire tourner une turbine à vapeur, qui elle crée de l’électricité, voilà le principe d’une centrale nucléaire !
    .
    Nos monstres leaders ont choisi la matière la plus dangereuse de la planète rien que pour faire chauffer de l’eau, et faire tourner une turbine à vapeur ... la honte ! ... C nucléaire C une machine à vapeur qui brule les matières les plus dangereuses de la planète ...
    .
    A Tchernobyl, pour approcher les barres d’uranium en fusion, les russes y avait envoyé leurs robots de l’espace téléguidés et hyper solide. Ces robots n’ont pas tenu + de 5 min près de la source nucléaire. C dire le niveau de nocivité du nucléaire, même les robots n’y résistent pas ...


  • joelim joelim 30 septembre 2015 20:05

    J’ai arrêté à la 14e minute. Aucun intérêt (sinon de constater la faillite de cette façon de faire de la science). Cette descendante du couple Curie et épouse d’un descendant de Langevin (ce sur quoi l’intervieweuse insiste comme si la compétence passait par les gênes ou même la culture familiale... plutôt malsain) a été présidente de l’Union Rationaliste qui après un coup d’oeil rapide s’avèrent être de bons Charlies bien peignés. 


    Que dit-elle (qui m’a fait arrêter) ? Qu’il y a un climat de défiance dangereux entretenu par les médias et internet qui poussent par exemple à des refus de vaccination. Diandre. Quelle originalité. Quelle hauteur de vue. Je préfère de loin écouter Mioara Mugur-Schächter, physicienne spécialisée en mécanique quantique fondamentale, théorie des probabilités et théorie de l’information, qui, même si elle est dure à suivre, propose des idées pas loin d’être passionnantes.

  • janequin 1er octobre 2015 08:42

    Il me semble que même en science fondamentale, on évite actuellement d’aller aussi loin qu’on le pourrait en utilisant les connaissances déjà acquises.

    J’ai ainsi assisté à un colloque à la maison de la chimie où un biochimiste, fort brillant d’ailleurs, a énoncé, sans que l’assistance ne réagisse, le fait que l’on ne sait toujours pas comment agit le paracétamol.
    Et pourtant, en croisant toutes les connaissances récentes concernant la chimie des réactions inflammatoires et celles de la chimie classique, on peut comprendre comment il agit. Mais comme on entre alors dans un domaine qui remet en cause la compréhension purement biologique pour aller au fond des choses grâce à la chimie, on sent bien les réticences, à moins qu’il s’agisse d’incompétence des biologistes en chimie, biologistes qui sont toujours sur le devant de la scène médiatique et qui font le pluie et le beau temps...


    • lemi lemi 1er octobre 2015 16:17

      @janequin
      de la façon dont fonctionne le paracétamol,

      est-il possible qu’il n’agisse pas sur tout le monde, ou dans certains cas ?


    • janequin 1er octobre 2015 17:47

      @lemi

      Cela dépend, je le pense, de la capacité des maladies à faire apparaître les peroxynitrites (oxydants) (se forment à partir du monoxyde d’azote et de l’ion superoxyde). Ce sont ces oxydants qui sont synthétisés par les macrophages pour éliminer les protéines étrangères.

      Tout est au final une question de quantité. Parfois cette quantité est si importante que le paracétamol (un phénol) est incapable de bloquer tout ces oxydants, et donc le paracétamol devient insuffisant.


  • janequin 1er octobre 2015 17:48

    NB : Ces peroxynitrites sont le facteur déclenchant de la formation des molécules de la douleur (prostaglandine)


    • lemi lemi 2 octobre 2015 08:47

      @janequin
      Merci, ça me donne envie d’en savoir plus.

      C’est apaisant la science, ça se prête moins aux délires que les sciences sociales.


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