samedi 7 janvier 2017 - par flolenigo

De la peinture au divin

Atteinte d’une maladie rare, Frédérique Lemarchand joue l’équilibriste entre la vie et la mort. Plusieurs expériences au contact du divin lui ont pourtant donné une force et une sensibilité hors-du-commun…
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https://lemarchand-peintre.com/accueil-frederique-lemarchand/

 



4 réactions


  • psychorigide Psychorigide 7 janvier 2017 16:33

    Oui, mais quand on est jolie comme elle, c’est facile d’entrer en contact avec le divin ... Et, pour les autres, les moches par exemple  smiley


    • Debrief 7 janvier 2017 17:37

      @Psychorigide
      Je plussoie, elle est très belle ! Et aussi ce qu’elle dit.


    • Qaspard Delanuit Qaspard Delanuit 7 janvier 2017 22:01

      @Psychorigide
      "Oui, mais quand on est jolie comme elle, c’est facile d’entrer en contact avec le divin ... Et, pour les autres, les moches par exemple"


      Ben, les moches qui ne peuvent pas entrer en contact avec le divin , elles peuvent toujours entrer au couvent.   smiley


    • Arnaulde Schwarzandgueguerre L’Equatorien 7 janvier 2017 22:59

      @Qaspard Delanuit
      Sa page wikipédia vaut le détour, extrait :

      ^^

      Fusain réalisé par Frédérique Lemarchand la veille d’une transplantation cœur-poumons après des années d’attente, elle confie :
      Modèle:Trop de citation « Je termine le fusain de cette femme portant un enfant dans son cœur. Le mien m’échappe. Ma poitrine s’est rompue, je dessine le silence dans le noir.
      Le jour de ma greffe, je m’aperçois que tout ce que je n’avais pas osé vivre jusqu’au bout m’assaillait. Cette unique existence qui me soit confiée veut voir son fruit mûr avant de se dissiper. Je porte en moi l’essence de la vie éternelle, à moi de la libérer et de redonner vie à ma vie.
      Mon expérience de foi est de vaincre la mort aujourd’hui même. La démesure me paraît être la juste mesure de la vie parfaite. Je ne devrais pas être en vie, quelqu’un m’a sauvée. Consciente de ce miracle, minuscule devant l’immensité inouïe, je puise au plus profond de moi l’extrême gratitude. Envie de vivre et de se réjouir de l’existence.
      L’alliance de l’esprit et de la science est l’essence de feu de ce que l’être humain peut avoir de meilleur en lui, autant dans l’espérance qu’au cœur de son intelligence, ainsi la grande vie passe à travers notre modeste vie ennoblissant l’âme du monde. »


      .

      Sans l’épée de Damoclès plus présente encore sur elle que sur la tête de nous tous, condamnée à mort dès le départ ça laisse peu d’espoir de devenir centenaire, elle serait peut être devenue une quelconque Claudia Schiffer ou une sacrée salope grâce à son physique avantageux, allez savoir, elle n’est, après tout, comme chacun de nous, qu’un paramètre de l’humanité.

      ^^

      Cette injustice qui fait que d’instinct nous préférons les beaux que les moches, ce manque d’amour, voire même cette absence d’amour que reçoivent les moches, juste à cause de ce quoi ils sont et non font. C’est assez sordide quand on y pense. Alors que des beaux, tout de suite sont mieux acceptés socialement parlant, ils ne connaîtront jamais les joies d’avoir été une tête de turc dans leurs enfances, jamais connu le bonheur de collectionner les râteaux, puisqu’ils étaient eux, dans la grande distribution de cet article de jardinage pour le sexe opposé, paradoxalement, ces machos sûrs d’eux mêmes et dominateurs envers la gent féminine vengeaient par leurs actions de gros Casanovas peu scrupuleux, les moches qui eux, subissaient l’inverse des conquêtes d’un soir de ce bellâtre aux yeux envoûtants et aux muscles saillants et encore en étant optimiste, je parle des unique occasions qui se présentent, non tarifées, vous savez, quand les moches ont la chance une fois chaque 6 ans de pouvoir tirer un coup sur un malentendu et beaucoup d’alcool judicieusement placé dans le verre de l’hypothétique conquête de beuverie. Plaisir rare et luxueux que ne connaîtra pas le beau mâle, ou la belle femme, que celle de la misère du désir, surtout quand en plus, les moches ne sont pas très argentés. Suprême tare.

      ^^

      Cet élitisme animal varie cependant selon les époques et les critères de richesse du moment, ainsi les femmes obèses étaient très courtisées il n’y a pas si longtemps car à cette époque pas si lointaine, bourrelets = dollars et diamants, en plus d’être garantie de se vautrer dans une vie plus que confortable en perspective, ce qui n’empêchait pas le gentilhomme d’apparat de sauter dans le foin la jolie domestique ou fermière voisine, pauvre mais rudement plus canon que la grosse génisse qui n’avait de charme que le poids conséquent de son porte monnaie jamais affamé.

      ^^

      Les femmes girafes de certaines tribus sauvages peuvent nous paraître tuent l’amour et cause de nombreuses débandades, alors qu’elles sont considérées comme des top models dans leurs milieux, en plus très pratique pour s’en débarrasser il suffisait de leur ôter leurs annaux du coup pour que celui ci, privé de toute musculature, se brise sous l’effet radical de la gravité. Ce qu’elle peut être raciste cette gravité.

      ^^

      Donc cette jolie peintre a donc su cultiver sa sensibilité de condamnée à mort sans avoir commis d’autre délit que de naître avec cette obsolescence programmée, qui nous marque tous de son empreinte mais avec des fourchettes de temps différentes, pour les exprimer en toiles qui valent bien tous les Dali et autres Van Gogh du monde. Mais si elle n’avait pas bénéficier d’un milieu financièrement aisé pour trouver son sursit, que serait elle devenue ? Comme quoi la beauté seule n’est rien, comme la richesse seule n’est rien, l’alliance des deux, permet parfois d’accomplir de petits miracles qui servent aussi parfois, à faire rêver ceux qui n’ont ni l’un, ni l’autre.





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