Curiosité culturelle de notre époque : une entité "GenderFuck" ou "FtX" qui aime "semer le trouble"
"J'essaie de voir jusqu'où je peux aller"
France TV , ou lorsque vos impôts financent ces mises en scène extrêmes afin d'exacerber les divisions....
9 réactions
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Belenos 20 décembre 2018 01:52Je dirais même plus, une fois :
http://imagesanalyses.univ-paris1.fr/v4/wp-content/uploads/magritte_ceci_n_est_pas_une_pipe.jpg
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sls0 19 décembre 2018 17:41Il faut de tout pour faire un monde et comme on est 7 milliards il y a de la différence.
Là elle explique, elle ne revendique rien, elle n’impose rien. Elle est différente c’est tout.
J’ai toujours eu un grand respect pour les femmes.
Le bouche à oreille à fait que j’avais de très bonnes relations dans le milieux lesbien. Oui il y en a qui marche à la voile et à la vapeur. Que de bons souvenirs.
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Le Celte 20 décembre 2018 09:00Nous courrons tous vers une néo-monarchie européenne, un pouvoir politique menant ses extravagances à terme et dont l’autorité absolue fait le lit du grand marché économique mondial. Par ce biais oligarchique le phénomène de l’argent roi restera bien présent dans la gestion sociale des masses car c’est une méthode politique universelle, qui a été modernisée le cas échéant et importée de pays surpuissant souvent totalitaires.
...Je ne sais plus qui disait : "Qui domine l’Europe, domine le monde", nous avons là dans la vidéo un des fruits de leur labeur.
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Qirotatif 21 décembre 2018 08:40Personnellement, aujourd’hui je me sens tapis roulant horizontal. J’aime cultiver l’ambiguïté et quand on est tapis roulant, personne n’est en mesure de dire où je commence et je finis et ça, ça me plait. Contrairement à un escalier où il y a un haut et un bas (enfin... pour les plus cis-genronormés d’entre vous), et même contrairement au tapis roulant vertical qui est déjà trop genré à mon goût, ma condition du jour me permet de me confronter à l’altérité des semelles qui me marchent dessus quotidiennement. D’ailleurs qui pense à ma souffrance quand des croquenots dégueulasses me piétinent, hein, qui ?
Demain, oui, parce que demain est un autre jour, je me sentirai lame de motoculteur, voire même hélice de bateau. Dans tous ces cas, là encore, impossible de dire où commence la lame puisqu’elle est circulaire. J’aime cette ambiguïté, me confronter au regard oppresseur de l’autre. Je pense que le surlendemain, je serai roue de tracteur puis le jour d’après rond de serviette mais il faut que j’y réfléchisse. Oh j’entends bien ça et là les cis-genrés se moquer... mais que voulez-vous... la différence leur fait peur.