C’est une histoire de haute trahison, l’incroyable escroquerie de la dette publique française !
Loi de 1973 - Quand la France a perdu sa souveraineté financière.
La vidéo suivante vous raconte l'énorme escroquerie de la dette publique française qui est liée à la loi du 3 janvier 1973 ainsi à la convention qui a été ajouté le 17 septembre 1973 ! C'est cette extension de la loi, qui est comparable à une goupille d'une grenade, et qui a fait exploser la dette publique française à partir de la fin d'année 1973.
La loi n° 73-7 du 3 janvier 1973, communément appelée loi « Pompidou-Giscard-Rothschild », est une législation française qui a fondamentalement changé la manière dont l’État finance ses déficits au grand profit des banques privées.
Extraits d’une biographie de Georges Pompidou
Georges Pompidou fit parti du cercle restreint des proches du général de Gaulle, et cette proximité lui valut d’être nommé chef de son cabinet d’avril 1948 à 1953.
En 1953, il entra à la banque Rothschild, où il occupa rapidement les fonctions de directeur général et d’administrateur de nombreuses sociétés. Ce fut pour lui l’occasion de participer à la vie économique du pays, d’accroître le champ de ses compétences et d’établir un éventail plus large de relations.
3 janvier 1973, réforme de la Banque de France
Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d’avance au trésor :
« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. »
Ce qui signifie que l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêts.
Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin.
Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens.
L’accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là.
Précision importante concernant la deuxième partie de la loi du 3 janvier 1973, la convention, laquelle a été associé le 17 septembre 1973 !
Il faut prendre connaissance de la convention qui a été ajouté plus tard dans l’année pour pouvoir l’interpréter correctement et de comprendre la portée.
L’auteur du livre « Enquête sur la loi du 3 janvier 1973" de Pierre-Yves Rougeyron, qui avait quand même profondément enquêté sur les causes de l’endettement abyssal de la France, bien plus que les journalistes du journal « Le Monde », qui rejettent le fait que l'endettement de notre pays repose bel et bien sur cette loi, incluant son extension, la convention, et qui classent ce fait dans la rubrique de FAKE NEWS.
Dans le livre de Pierre-Yves Rougeyron, sur la page 35, est marqué :
Or, la deuxième partie de la loi du 3 janvier se joue avec la convention qui lui est associé. En effet, la convention du 17 septembre 1973 approuvée par la loi du 21 décembre 1973, limitera la possibilité des avances à 20.5 milliards de francs (3.13 milliards €), donc 10.5 milliards de francs (1.6 milliards €) ne donnant pas lieu à rémunération (les 10 autres milliards sont donc soumis à intérêts).
Vous voyez l’astuce ?
D’abord ils ont dit que cela ne changerait rien, mais discrètement ils ont ajouté une limite aux montants que l’État pouvait s’emprunter à lui-même, via la banque de France. Et le reste..., à qui allait-on l’emprunter à votre avis ? Aux banques privées, lesquelles prennent des intérêts et parasitant ainsi notre économie.
Le tour a été joué en toute discrétion et personne ne s’en est rendu compte, même pas les journalistes, ceux du journal « Le Monde » ne font pas exception !
Une citation du journal « Le Monde » datant du 18 avril 2012 :
« Étrangement, des personnalités aussi différentes que Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen et Jacques Cheminade se sont tous retrouvés sur une même solution miracle : abolir la loi du 3 janvier 1973. Cette loi interdit, selon eux, au Trésor public de s’endetter auprès de » sa « banque, la Banque de France. »
Conclusion :
En forçant l’État à emprunter sur les marchés, la loi de 1973 permet aux banques de réaliser des profits importants en prêtant à l’État à des taux d’intérêt élevés. Par exemple, les taux d’intérêt réels (taux nominaux ajustés de l’inflation) sur la dette française étaient souvent supérieurs à 5 % dans les années 1980. Il s'agit d'un parasitage de notre économie et de notre pouvoir d'achat !
Il faut abolir la loi du 3 janvier 1973 ainsi la convention qui a été ajouté le 17 septembre 1973 pour pouvoir sortir de la spirale infernale de la dette publique française, du surendettement croissant ! Il est aussi nécessaire de voter des budgets en équilibre !