mercredi 26 mars - par eau_du

C’est une histoire de haute trahison, l’incroyable escroquerie de la dette publique française !

Loi de 1973 - Quand la France a perdu sa souveraineté financière.
La vidéo suivante vous raconte l'énorme escroquerie de la dette publique française qui est liée à la loi du 3 janvier 1973 ainsi à la convention qui a été ajouté le 17 septembre 1973 ! C'est cette extension de la loi, qui est comparable à une goupille d'une grenade, et qui a fait exploser la dette publique française à partir de la fin d'année 1973.

La loi n° 73-7 du 3 janvier 1973, communément appelée loi « Pompidou-Giscard-Rothschild », est une législation française qui a fondamentalement changé la manière dont l’État finance ses déficits au grand profit des banques privées.

Extraits d’une biographie de Georges Pompidou

Georges Pompidou fit parti du cercle restreint des proches du général de Gaulle, et cette proximité lui valut d’être nommé chef de son cabinet d’avril 1948 à 1953.

En 1953, il entra à la banque Rothschild, où il occupa rapidement les fonctions de directeur général et d’administrateur de nombreuses sociétés. Ce fut pour lui l’occasion de participer à la vie économique du pays, d’accroître le champ de ses compétences et d’établir un éventail plus large de relations.

3 janvier 1973, réforme de la Banque de France

Dans la loi portant sur la réforme des statuts de la banque de France, nous trouvons en particulier cet article 25 très court, qui bloque toute possibilité d’avance au trésor :

« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. »

Ce qui signifie que l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêts.

Autrement dit : auparavant, l’État français avait le droit de battre monnaie, et avec cette nouvelle loi, il perd ce droit qui est du même coup légué aux banques privées, qui en profitent pour s’enrichir aux dépends de l’État en lui prêtant avec intérêt l’argent dont il a besoin.

Cette décision correspond à une privatisation de l’argent et ramène la nation au même rang que n’importe lequel de ses citoyens.

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L’accroissement sans fond de la dette publique trouve son origine précisément là.

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Précision importante concernant la deuxième partie de la loi du 3 janvier 1973, la convention, laquelle a été associé le 17 septembre 1973 !

Il faut prendre connaissance de la convention qui a été ajouté plus tard dans l’année pour pouvoir l’interpréter correctement et de comprendre la portée.

L’auteur du livre « Enquête sur la loi du 3 janvier 1973" de Pierre-Yves Rougeyron, qui avait quand même profondément enquêté sur les causes de l’endettement abyssal de la France, bien plus que les journalistes du journal « Le Monde », qui rejettent le fait que l'endettement de notre pays repose bel et bien sur cette loi, incluant son extension, la convention, et qui classent ce fait dans la rubrique de FAKE NEWS.

Dans le livre de Pierre-Yves Rougeyron, sur la page 35, est marqué :

Or, la deuxième partie de la loi du 3 janvier se joue avec la convention qui lui est associé. En effet, la convention du 17 septembre 1973 approuvée par la loi du 21 décembre 1973, limitera la possibilité des avances à 20.5 milliards de francs (3.13 milliards €), donc 10.5 milliards de francs (1.6 milliards €) ne donnant pas lieu à rémunération (les 10 autres milliards sont donc soumis à intérêts).

Vous voyez l’astuce ?

D’abord ils ont dit que cela ne changerait rien, mais discrètement ils ont ajouté une limite aux montants que l’État pouvait s’emprunter à lui-même, via la banque de France. Et le reste..., à qui allait-on l’emprunter à votre avis ? Aux banques privées, lesquelles prennent des intérêts et parasitant ainsi notre économie.

Le tour a été joué en toute discrétion et personne ne s’en est rendu compte, même pas les journalistes, ceux du journal « Le Monde » ne font pas exception !

Une citation du journal « Le Monde » datant du 18 avril 2012 :

« Étrangement, des personnalités aussi différentes que Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen et Jacques Cheminade se sont tous retrouvés sur une même solution miracle : abolir la loi du 3 janvier 1973. Cette loi interdit, selon eux, au Trésor public de s’endetter auprès de » sa « banque, la Banque de France.  »

Conclusion :

En forçant l’État à emprunter sur les marchés, la loi de 1973 permet aux banques de réaliser des profits importants en prêtant à l’État à des taux d’intérêt élevés. Par exemple, les taux d’intérêt réels (taux nominaux ajustés de l’inflation) sur la dette française étaient souvent supérieurs à 5 % dans les années 1980. Il s'agit d'un parasitage de notre économie et de notre pouvoir d'achat !

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Il faut abolir la loi du 3 janvier 1973 ainsi la convention qui a été ajouté le 17 septembre 1973 pour pouvoir sortir de la spirale infernale de la dette publique française, du surendettement croissant ! Il est aussi nécessaire de voter des budgets en équilibre !



2 réactions


  • Étirév 27 mars 07:46

    Jimmy Goldsmith disait, avec raison : « Le succès d’une nation ne se mesure pas exclusivement en terme économique. Le relèvement national n’est pas seulement le résultat de la croissance économique. Un des défauts de la culture moderne est qu’elle fait croire que tout problème, quel qu’il soit, est réductible à l’analyse chiffrée et par conséquent peut être mesuré. Lorsque la mesure, plutôt que la Sagesse, devient l’outil privilégié, cela peut conduire à de graves erreurs. ».
    À partir de juillet 1944 (accords de Bretton Woods), le dollar américain devient à la fois monnaie nationale et monnaie mondiale de référence. Cependant, les « puissances d’argent » de la City de Londres soutenaient une autre option : celle d’une monnaie mondiale conçue comme un « panier » de monnaies.
    Rappelons avec Valérie Bugault, et son ouvrage « Les raisons cachées du désordre mondial - Analyses de géopolitique économique, juridique et monétaire », que les fondamentaux sur lesquels repose la viabilité d’une monnaie sont, d’une part, l’adossement à des richesses réelles, tangibles ; d’autre part, que celle-ci doit être émise en quantité suffisante pour pouvoir être utilisée dans tous les échanges (nationaux et internationaux).
    En 1967 toute la stabilité du Système Monétaire International basé sur les accords de Bretton Woods allait être vivement secouée en raison, en grande partie, de l’importante dévaluation de la Livre Sterling qui faisait suite à l’effondrement de l’économie britannique lié à « l’histoire secrète du pétrole ».
    Rappelons qu’en 1967, le président de la République Française déclarait : « La guerre du Vietnam et celle du Proche-Orient sont étroitement liées ». On sait aujourd’hui que la guerre des Six Jours fut largement une guerre du pétrole. On sait moins que la guerre du Viêt-Nam en est une autre. Dans leur ouvrage « La guerre secrète du pétrole », Jacques Bergier et Bernard Thomas rappellent que « Malgré les liens privilégiés qui les unissent, les Britanniques ont toujours été de dangereux rivaux pour les États-Unis. Les grands “Maîtres du pétrole” des deux pays (Standard Oil “Chevron-Mobil-Exxon”, Texaco, Gulf, Royal Dutch-Shell, British Petroleum, etc.) se sont de tout temps livrés une guerre acharnée. ».
    Pour la petite histoire, c’est en août 1859, le 27 précisément, qu’un aventurier de Pennsylvanie, Edwin L. Drake, allait découvrir le premier puits de pétrole du monde. Aussi, notons que depuis 1859 le monde a été secoué par deux guerres mondiales dont la seconde a élargi ses fronts à la terre tout entière. Durant ces deux guerres mondiales, des conflits larvés, des guerres civiles, des coups d’État, aux conclusions curieuses, ont régulièrement déchiré les pays riches en ressources énergétiques. Tout cela ne signifie pas que la course à ces ressources est seule à l’origine de tant de malheur dans le monde depuis près de deux siècles. Néanmoins, sous couvert d’idéologies diverses, elle est l’une des raisons réelles de tous les conflits et les coups d’États. Le pétrole est le sang de notre civilisation ; Georges Clemenceau disait : « une goutte de pétrole vaut une goutte de sang ».
    Rappelons encore que c’est au moment où la Royal Dutch-Shell prenait pied au Sahara, en 1954, que la rébellion allait naître en Algérie.
    Dans la foulée de l’effondrement de l’économie britannique à la fin des années 60, allait également commencer la lente agonie du Dollar avec la désastreuse guerre du Vietnam.
    En 1971, les USA n’ayant plus suffisamment d’or pour garantir l’intégralité des dollars en or, survient la fin de sa convertibilité dans ce métal précieux. Aussi, à partir de cette date, le dollar américain, en tant que monnaie mondiale sera désormais adossé au pétrole ainsi qu’à la seule force de l’économie américaine (via son dynamisme économique intérieure). Concrètement, à partir de ce moment-là, la valeur du dollar ne repose quasiment plus que sur la force brute des USA, c’est-à-dire leur capacité à faire militairement et monétairement respecter leur hégémonie dans les pays tiers.
    Au niveau international, il résulte de cette situation la substitution de la notion d’« ordre juridique » par un retour à la « loi du plus fort ».
    Le début des années 1970 sera aussi le début d’une grande dérégulation financière. Alors surviendra la « fabrication artificielle des actifs » (Subprimes, CDS ou « Credit Default Swaps », etc.), ainsi que la captation des réserves monétaires des pays tiers, c’est-à-dire les pays dits « alliés », les membres de l’U.E., etc., véritables « colonies » financières. On comprend alors, en partie, le pourquoi de la mise en place, en France, de la loi du 3 janvier 1973, dite « loi Pompidou-Giscard-Rothschild » (et aggravée depuis par l’article 123 du TFUE, Traité sur le Fonctionnement de l’Union Européenne), qui modifie les statuts de la Banque de France et donne le coup d’envoi d’une dette qui augmentera incessamment et vampirisera toutes les richesses nationales produites.
    Mais la France n’est nullement un cas isolé. Les dettes de tous les Etats, aidées par la conjuration de toutes les élites économiques (« sous influence ») des différentes nations, sont devenues des océans impossibles à écluser et les nations sont ficelées au bon vouloir d’institutions financières privées, de plus en plus arrogantes et gourmandes.
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  • Étirév 27 mars 07:47

    Commençons par rappeler que la monnaie, dans le régime masculin, contribua à changer complètement les mœurs, On créa le régime que Fabre d’Olivet appelle « Emporocratique », mot nouveau pour exprimer une idée nouvelle. Il est tiré du grec et signifie « marchand » et « force », c’est-à-dire la prédominance des intérêts économiques considérés comme mobiles de gouvernement. C’est le régime dans lequel tout se vend ; l’homme est un marchand, il se vend lui-même, c’est-à-dire vend ses services et vend tout ce dont il peut disposer. Notons au passage que les pays d’Europe où l’Emporocratie a dominé ont été successivement l’Italie, les Pays-Bas et l’Angleterre.
    Les auteurs qui ont envisagé l’origine de la monnaie n’ont envisagé que cet aspect de la question. Ils font tout commencer au régime masculin et ne nous disent rien du régime antérieur. Cependant, tout existait déjà avant ce régime, et faisait partie des lois naturelles, « Jus naturale », qui contiennent l’explication de toutes les origines. Sans ces lois, nous ne pouvons pas comprendre le premier régime économique.
    Le premier pays à avoir intégré la caste des « puissances d’argent » en tant que nouvel acteur politique est l’Angleterre. Le choix d’Oliver Cromwell (1599-1658) de développer l’Empire britannique en adossant la puissance des armes à celle des banques a créé un nouveau paradigme politique. Dire cela ne signifie pas que l’Angleterre porte l’acte de naissance de cet acteur géopolitique nouveau, anonyme. Sa naissance est plutôt à rechercher dans les Républiques commerçantes de Gênes, de Florence ou de Venise.
    Après l’Italie, l’acte de naissance de ces « puissances d’argent » est aussi à rechercher dans le premier État à avoir donné une réalité institutionnelle à ces banquiers, la Hollande, via la création en 1609, de la banque d’Amsterdam. Rappelons qu’au Moyen Âge, les Pays-Bas sont au cœur de l’élite commerçante, dite ligue hanséatique. Cette ligue, composée d’associations de commerçants, a prévalu en Europe à l’époque précédent l’avènement de l’Empire britannique. Cette précision permet de donner un aperçu du rôle des Pays-Bas dans l’évolution du système de l’impérialisme financier.
    À toutes fins utiles, notons que, Hollandaise en 1626, la colonie de la Nouvelle-Amsterdam sera rebaptisée « New York » par les Anglais lors de son acquisition en 1664. Cette colonie ne deviendra définitivement anglaise qu’en 1674 avec le traité de Westminster.
    Si, donc, l’Angleterre de Cromwell n’est pas, stricto sensu, à l’origine du développement de ses « puissances d’argent », elle est néanmoins à l’origine du paradigme consistant à adosser les velléités impériales à la puissance financière naissante des banquiers ; ce phénomène a, mécaniquement, généré l’avènement d’un nouveau modèle de référence dans lequel la puissance politique et militaire est intimement liée au développement de la banque.
    Dans les étapes ultérieures, les banquiers se sont internationalisés dans le même temps qu’ils ont commencé à se centraliser par l’instauration du système des banques centrales. Le cartel des banques centrales représente le monopole ultime. Il jouit d’un monopole sur le crédit des gouvernements, et son but est de convertir ce monopole en un monopole, exclusif sur tout : la politique, la culture, l’économie, la religion etc.
    Ces institutions sont nées sous le signe de l’imposture : présentées comme des banques d’État, elles disposaient à ce titre de la garantie de l’État (c’est-à-dire des contribuables de l’État) alors que ses capitaux restaient dans des mains privées. L’appropriation par des intérêts privés est le vice initial du concept de banques centrales. C’est ainsi que la banque d’Angleterre (1694), la Banque de France (1800), la Réserve Fédérale américaine (FED, 1913) la Gosbank de l’Union Soviétique (1923) qui est devenue la Banque centrale de la fédération de Russie (1991), la Banque des Règlements Internationaux (B.R.I., 1930), le Système Européen de Banques Centrales (dit SEBC, décidé par le traité de Maastricht en 1992 et entré en vigueur en 1999) reflètent, toutes, un désengagement des instances politique de l’État dans la gestion centralisée des masses monétaires en circulation.
    Les banques centrales sont aujourd’hui l’élément pivot, fondamental, du système monétaire mondial. En prenant le contrôle des monnaies, ces « puissances d’argent » ont pris le contrôle des économies puisqu’elles étaient en mesure de décider, en toute autonomie et de façon discrétionnaire, de l’affectation des ressources monétaires ; le petit nombre d’hommes, de « Familles », « maîtres » absolus de l’argent et détenteurs de cet énorme pouvoir économique discrétionnaire, distribuent en quelque sorte le sang à l’organisme économique dont ils tiennent la vie entre leurs mains, si bien que, sans leur consentement, nul ne peut survivre.
    Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois ».
    Et Napoléon Bonaparte disait : « Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. ».
    Les banques centrales, c’est-à-dire leurs actionnaires cachés derrière l’anonymat, « fabriquent » autant qu’ils veulent, des dollars des €uros, etc. Cet argent est prêté aux différents gouvernements en échange d’obligations qui servent de sécurité à ces banques. Ces obligations sont entre les mains des banquiers privés qui en touchent annuellement des intérêts.
    Rappelons qu’en 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d’environ 1.070.241 millions de $. La Réserve Fédérale américaine, la « FED », récolta environ 115.800 millions de $ d’intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains. Le capital de ces intérêts va tout droit dans les poches de la « FED », donc dans celles des banquiers privés internationaux. En 1992, les obligations possédées par la « FED » étaient d’une valeur d’environ 5.000.000 millions de $ et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment (en 2024, la dette des USA dépasse la somme de 35.000 milliards de dollars). C’est la « FED » qui a créé tout ce capital en prêtant de l’argent au gouvernement américain et en touchant des intérêts élevés, elle n’a eu qu’à payer les frais d’impression d’une « monnaie de singe » qui rapporte néanmoins de très gros intérêts. Eustace Mullins disait de la FED qu’elle n’était ni « Fédérale », ni une « Réserve », mais simplement un « Syndicat du crime ».
    « Cœur nucléaire » du dispositif monétaire international, le système des banques centrales est une escroquerie institutionnelle ; il est une véritable association de malfaiteurs, « faux-monnayeurs », et la plus grande duperie de l’histoire financière des temps modernes. Fin de la remarque
    La captation monétaire par les banquiers a historiquement permis à ces derniers de générer de gros conglomérats économiques : les grandes entreprises, elles-mêmes devenues « groupes d’entreprises ». Ces « groupes d’entreprises » sont contrôlés par des personnes privées et disposent, aujourd’hui comme hier, de la force de canon étatique, laquelle évolue de plus en plus souvent, au rythme de la décadence étatique, en milices privées : citons, présentement, la PMC (Private Military Company) « Academi » précédemment connue sous le nom de « Blackwater ». Le poids des PMC et ESSD (Entreprise de Services de Sécurité et de Défense), surtout anglo-saxonnes, a été croissant depuis les années 1990.
    Notons qu’une organisation paramilitaire de type PMC a été créée en Russie le 1er mai 2014 : il s’agit du « Groupe Wagner ».
    L’armée et la monnaie sont les deux mamelles de la domination de l’oligarchie mondialiste.
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