mercredi 20 juin 2018 - par crow

Au royaume des champignons | ARTE

Encore un doc ARTE allez-vous me dire, je sais... mais côté science, et plus précisément biologie, cette chaine a souvent de bons réflexes en question de nouveautés.

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Un clin d'oeil à l'intelligence de l'Homme et à sa conception d'être unique...Bon visionnage.

 

 

C’est un royaume étonnant, qui s’avère être l’une des clés de la vie sur Terre. Premiers organismes apparus sur notre planète il y a un milliard d’années, les champignons, aussi appelés mycètes, semblent inclassables : ni plantes ni animaux, ils constituent un règne en soi. Si les comestibles nous sont les plus familiers, la variété des mycètes a de quoi surprendre : entre les levures et les organismes pluricellulaires, il existerait des millions d’espèces. À travers d’impressionnantes images macro en accéléré et des animations en 3D, ce film très documenté remonte le fil de l’évolution, montrant comment les champignons ont façonné l’écosystème que nous connaissons, et fait le point sur les recherches scientifiques les plus récentes dans le domaine de la mycologie. Production d’alcool ou de pain, propriétés médicinales (notamment d'antibiotiques ou d'anti-inflammatoires), décomposition des déchets… : la science s'intéresse aux innombrables vertus des champignons. Et se penche également sur les infections fongiques parfois mortelles, comme celle provoquée par le cryptococcus, un mycète qui se développe à la faveur du réchauffement climatique…

Réalisation : Annamária Tálas Pays : Australie / Canada Année : 2017

Source : https://www.youtube.com/channel/UCGVMjcISQGuC2FD9FVCPgGw



22 réactions


  • Ozi Ozi 20 juin 2018 20:02
    "Encore un doc ARTE allez-vous me dire, je sais..."
    Ne te décharge pas de poster du Arte quand certains nous gavent de Bfm, Tvliberté, ER, ou de toutes les poubelles du Net recyclables Américano/Russe...  smiley

    Excellent documentaire soit dit en passant !


    • julien58 julien58 20 juin 2018 20:11

      @Ozi

      Je confirme, excellent documentaire, j’y ai appris pas mal de choses. Cependant il y aurait encore à dire sur les scientifiques qu’on voit dans le reportage.


    • le celte 20 juin 2018 21:17

      @Ozi

      Merci !....Par anticipation et effet d’annonce j’ai souhaité tarir le sujet, mais bon, ce n’est pas gagné !...

      Existe t-il une corrélation entre "prendre de la hauteur" et "aller en profondeur" ? smiley


    • Le fou de T'chou Le fou de T’chou 20 juin 2018 22:44

      @le celte

      Une corrélation entre "prendre de la hauteur" et "aller en profondeur" pourrait bien être établie... smiley notamment au regard des premières lignes du Tchouang-tseu, que tout sinophone connait bien...

      Il est dans les brumes de l’océan Septentrional un immense poisson, long de je ne sais combien de milliers le lieues, nommé K’ouen. Le K’ouen se métamorphose en un oiseau appelé P’eng, dont le dos mesure des milliers et des milliers de lieues. Le P’eng, dans un élan furieux, prend son essor, déployant des ailes plus vastes que les nuages qui flottent dans le firmament.

      L’histoire continue avec des moineaux qui discutent et qui se moquent de Peng... ce serait trop long pour en parler. L’extrait ci-dessus "serait" un récit mythique transmis de manière orale, et qui a été consigné par écrit dans le Tchouang-tseu vers le IIIè av. J-C.

      On peut donner de multiples interprétations à cette histoire.

      De manière synthétique, on peut s’accorder à dire que le récit symbolise avant tout une transformation intérieure. On précise bien qu’il finit par s’élever car animé par "la fureur" ou "la colère", qui peut renvoyer à la libération des mécanismes pernicieux du pouvoir (tant exercés par autrui que par l’intériorité même de l’individu). Et, ça enchaîne sur un voyage merveilleux... smiley 


    • le celte 21 juin 2018 08:02

      @le celte
      En me relisant j’ai constaté un manque de finesse de ma part, la formule "ce n’est pas gagné" ne vous était pas adressée mais faisait référence à l’article que j’ai publié précédemment sur les arbres dont le sujet principal des com. était assez porté sur ARTE.

      Je faisait également référence à votre dernière publication, l’article "Prendre de la hauteur".


    • le celte 21 juin 2018 08:09

      @le celte
      Commentaire destiné à @Ozi ...


    • le celte 21 juin 2018 08:48

      @Le fou de T’chou

      On pourrait aussi s’accorder à dire que l’humain prend conscience de sa peur, peur qu’il aurait cristallisé autour de symbolismes affables, des histoires lissées par le temps mais basées sur des faits réels. En partant du principe qui est le mien que l’homme n’invente rien mais pique des idées, le Tchouang-tseu pourrait très bien relater l’histoire d’une irruption volcanique bien réelle ?... Par Belenos ! je ne dénigre absolument pas le niveau philosophique de cette époque, j’essaie juste d’aller un peu en profondeur ! smiley


    • Le fou de T'chou Le fou de T’chou 21 juin 2018 12:21

      @le celte

      Oui, c’est un mythe, chacun peut avoir son interprétation smiley

      Selon la tradition, le dragon sans corne (jiaolong, un animal éminemment mythique) est capable de « faire voler les poissons à travers les airs » (Shuowen jiezi).

      J’ai une interprétation personnelle aussi, qui veut que Kun le poisson du début, soit en fait Gun, le père de Yu, ce dernier étant considéré par la tradition comme le premier vrai roi de la Chine (de l’époque). C’est lui qui aurait réussi à canaliser les eaux suite à une catastrophe naturelle (de là vien gouverner en chinois, zhi,canaliser les eaux) ce qui aurait nécessiter une main d’oeuvre extraordinaire (début du despotisme ?). Son père, Gun, lui, a été tué par l’ancien souverain car il "aurait échoué" à canaliser les eaux. Gun est pourtant décrit comme un demi-dieu, et certaines versions nous dit qu’il n’a pas exécuté sa mission car il ne voulait tout simplement pas agir de la sorte. Quoiqu’il en soit, la tradition nous dit qu’après avoir été crucifié en gros, son coeur ou je ne sais plus quelle partie de son corps s’est transformé en Ours pour certains, en Poisson pour d’autres...


      Donc Gun = Kun = celui qui essaye de faire sortir la conscience humaine de la matrice ? smiley 


      Mystère et boule de gomme.


  • Le fou de T'chou Le fou de T’chou 20 juin 2018 21:44

    Intéressant ! Le monde des champignons est abyssal... smiley

    Ça me fait penser à une vieille émission de meta-tv " Les champignons pour sauver le monde" avec un intervenant très sympathique : ici
    Le rapport entre l’homme et les champignons, à travers l’histoire, est aussi un sujet passionnant. En Chine, on pense très vite au célèbre Ganoderma Lucidum (Líng Zh ? ; ?? ) (wiki), qui a fait coulé beaucoup d’encre (comme champignon d’immortalité...).
    La symbolique picturale rattachée à la peinture lettré chinoise est aussi relativement méconnue de nos jours — la tradition de la peinture lettrée a décliné à partir du XVIIIè environ pour une peinture mercantile. Prenons un exemple concret, La nymphe de la rivière Luo. Ce récit et rouleau (texte+image) relate la rencontre romantique entre un mandarin et la nymphe de la rivière en question (en clair, c’est un esprit de la rivière). Celle-ci lui fait un cadeau, avant de lui faire ses adieux. Le mandarin est tombé raide dingue de la nymphe forcément etc... La peinture de Gu Kaizhi et le poème qui va avec est un poncif en Chine, ultra connu, mais mis à part une poignée infime de chercheurs téméraires, personne ne veut pas admettre que la petite végétation qu’on voit notamment au début du rouleau (à droite), mais qui est présente partout après, a la forme exacte du Lingzhi...

    Une réplique de l’original de la dynastie Song (960-1279) :ici



    • Le fou de T'chou Le fou de T’chou 20 juin 2018 23:48

      Une aparté, en marge du doc. Vers la minute 30, on parle du rôle de la fabrication d’alcool (et du rôle occupé par les champignons) au début de la sédentarisation, qui aurait pu avoir un rôle non négligeable dans l’essor de l’agriculture. C’est drôle, car cela reprend une idée qui n’a pas si bonne presse, à ma connaissance, en archéologie.

      Il existe grosso modo trois modèles explicatifs majeurs qui peuvent expliquer la sédentarisation et à l’essor de l’agriculture à la fin du Mésolithique. 


      1/ Les arguments les plus souvent avancés par les archéologues pour justifier l’adoption du mode de production agraire invoquent la combinaison d’une démographie croissante couplée aux pressions exercées par le climat, telle que la rareté des ressources au cours de la période hivernale.


      2 / Le deuxième schéma explicatif (à contre courant su 1er) met en avant le fait que, pendant cette première phase du Néolithique, la démographie des groupements humains n’était pas encore très élevée, mais surtout que l’optimum climatique introduit par l’Holocène avait favorisé les conditions d’une abondance certaine des ressources naturelles comparé aux époques antérieures. Dans ce cadre, l’essor de l’agriculture serait lié à la recherche d’une amélioration des conditions de vie.


      3/ Enfin, le dernier modèle met en jeu les relations interpersonnelles au sein de la communauté et les dynamiques de groupe, où l’agriculture a pu être encouragée au regard de la notion de prestige. La production de biens de consommation a pu être, dans ce cadre, rendue nécessaire pour une utilisation réglée au sein de pratiques rituelles, ou bien servir indirectement à la conception d’objets, ou de boissons avec l’alcool de riz, vecteurs de prestige social.


      Cette dernière piste, bien que connu depuis longtemps par les anthropologues, est dure à confirmer par des preuves matérielles, et il faudrait pouvoir comparer plusieurs foyers de cultures distincts, mais elle pourrait s’avérer particulièrement éloquente pour expliquer les débuts de la civilisation...

      Qu’en pensez-vous ?

       Les preuves matérielles ne permettent tout du moins pas de se prononcer de façon catégorique. Une combinaison de tous ces facteurs bien qu’entrant en contradiction apparente entre eux est (à vérifier) l’hypothèse actuelle considérée la plus probante afin d’expliquer la généralisation du passage, lors de cette période, à un mode de production agraire.


    • le celte 21 juin 2018 07:50

      @Le fou de T’chou
      Je vous ai lu avec beaucoup d’attention, j’adore la Chine et c’est toujours un plaisir de découvrir ce pays. 

      Petite question : les Celtes polythéistes vouaient majoritairement leurs cultes à des dieux, certes légendaires, mais ayant réellement existé, des hommes élevés au rang de Dieu pour être plus précis. Est-ce le cas en Chine ?

      Concernant l’alcool et la sédentarisation je n’ai malheureusement pas de réponse objective à vous donner, les avis divergent (verge !) sur ce sujet, mais d’après moi il est vachement plus pointu que ça et je "soupçonne" même les champignons, contenus ou non dans l’alcool d’être très coercitifs ! ...En imposant leur suprématie, ils sont à l’origine de l’évolution des espèces donc forcément des transformations du métabolisme humain, par déduction élémentaire ils sont à l’origine de la fabrication de notre conscience et de notre méthodologie, donc ils peuvent à notre insu, par toutes sortes d’influences chimiques ou interactions organiques, entraver notre vision du monde, nous faisant voir un univers tel que nous pensons le percevoir et le concevoir, à leur image en quelque sorte ??...les hallucinogènes existent ! smiley


    • Baston Labaffe Gaston Lagaffe 21 juin 2018 10:37

      @le celte
      C’est bientôt la saison des psilos (psilocybes) aussi... Tous dans les (jamel de) bouses de vaches... Faut oser mettre les mains dans le cambouis pour ouvrir les portes de la perception smiley


    • Le fou de T'chou Le fou de T’chou 21 juin 2018 12:01

      @le celte

       smiley Je balance trois grosses tartines, et vous en redemandez ? Vous avez été élevé au martinet ? smiley

      Pour rester dans le sujet, avant de répondre. Il y a un point de la culture chinoise qui peut paraître bien curieux pour un occidental moderne "cartésien". Tout être vivant est censé pouvoir se transformer en humain au fil de l’évolution. Par être vivant on entend aussi bien les pierres (cf. Le rêve dans le pavillon rouge, par exemple, l’un des quatre plus grands romans chinois, qui raconte l’histoire d’une pierre devenu jeune aristocrate), les végétaux que les animaux. Tout le monde a tendance à oublier les champignons, qui forment un règne à part. Mais là aussi, rien de plus naturel dans la croyance traditionnelle qu’un champignon puisse devenir humain, on a même une désignation spécifique pour cela.

      Petite question : les Celtes polythéistes vouaient majoritairement leurs cultes à des dieux, certes légendaires, mais ayant réellement existé, des hommes élevés au rang de Dieu pour être plus précis. Est-ce le cas en Chine ?

      Ce que vous décrivez, c’est le culte des ancêtres. Le rôle prépondérant qu’il tient dans la culture chinoise est bien connu, bien qu’il reste encore relativement inconnu (ou à découvrir) pour certains aspects. Le sujet est extrêmement vaste, c’est mission impossible de vous faire un topo honnête en trois ou quatre lignes. Essayons tout de même...

      Pour répondre à la question donc, oui. Il faut bien différencier deux branches distinctes du panthéon chinois (et de bien d’autres, sinon tous ?), entre les divinités humaines et les divinités naturelles. En gros, au début de l’histoire en Chine, c’est-à-dire à partir de l’apparition de l’écriture vers 1250 av. J.C. (sic, les connaissances actuelles), on peut déceler à travers ces documents — à contenu oraculaire et sur carapace de tortue ou bovidé — que le culte des ancêtres/ héros du passés donc (anciens rois/reines, ancêtres civilisateurs etc.) prennent progressivement le pas sur les cultes rendues aux divinités naturelles (on vénère aussi les monts, les fleuves, le soleil, le vent, les étoiles, les points cardinaux etc.).

      Ce qui se passe — et c’est un processus qui ne se limite pas à la Chine — c’est qu’à partir des environs de l’an 1000 jusqu’au début de notre ère, on anthropomorphise les divinités naturelles. Tout le but du culte des ancêtres c’est de nourrir par des offrandes et sacrifices ses ancêtres défunts, afin que ceux-ci puissent continuer à vivre comme esprit sur Terre, et les aider à plaider la cause des vivants auprès des divinités naturelles, considérées toutes puissantes et difficilement influençable directement... Le culte de ces héros sert donc à légitimer la prise de pouvoir de la Terre par les humains. Ils mènent aussi bien une guerre aux peuplades voisines qu’au monde des esprits.

      On pourrait avancer l’hypothèse que ce processus va se transformer (transfigurer ?) ensuite, en Chine et en Europe, avec les cultes des Saints à partir des débuts de notre ère (ils sont mi-humain, mi-naturodivin)...

      La question du culte des ancêtres est cependant plus complexe, car on peut être enclin à penser que dans les cultures du néolithique moyen (env. 5000 av. J.C.), ce même culte des héros fondateurs a pu avoir une signification totalement différente selon la culture considérée.

      Les phases anciennes et intermédiaires de la culture de Y ?ngsháo indiquent que les morts étaient essentiellement vénérées de manière collective, en contraste par exemple avec les pratiques de la culture de Dàwénk ?u (4300- 2600 av. J.-C.) plus à l’est, située aux alentours du cours inférieur du fleuve Jaune, où le type de sépulture suggère que le culte aux ancêtres était plus individualisé ; au sein d’une communauté où la stratification sociale était aussi plus développée.

      La suite de l’histoire, on la connaît smiley

      La culture de Dawenkou, plus hiérarchique, et s’appuyant plus sur ses rituels ancestraux individualisés, a disparu. Et la culture suivante, celle de Hongshan a mené cette logique a son paroxysme, avec des temples somptueux, mais a fini par disparaitre dans l’étrange cataclysme de la fin du IIè millénaire avant notre ère.

      La culture de Yangshao, plus communautaire, est celle qui s’est révélée la mieux adaptée, et celle-ci a donné naissance au coeur de la civilisation chinoise qu’on connaît aujourd’hui...


    • le celte 21 juin 2018 12:09

      @Gaston Lagaffe

       smiley !

      Forcément, elles ne s’ouvrent pas sans clés !...après, sont-elles les bonnes ?...pas sûr.


    • le celte 21 juin 2018 12:58

      @Le fou de T’chou

      Je balance trois grosses tartines, et vous en redemandez ? Vous avez été élevé au martinet ?

      Non heureusement ! mais avec un microscope comme jouet ! smiley

      Il y a un point de la culture chinoise qui peut paraître bien curieux pour un occidental moderne "cartésien".

      D’où l’idée de découvrir ! smiley

      Merci pour toutes ces précieuses infos, z’avez un sacré bagage de connaissances sur la Chine ! de mon point de vue et de manière moins fournie, il semble qu’un tournant important a eu lieu lors de cette "élévation" spirituelle, qu’un cap fût franchi, un degré de plus dans la hiérarchie des croyances en inventant un Dieu universel mono-machin et intouchable, invisible et pourtant partout, punissant le moindre écart communautaire ou de libre arbitre, bref, le poids de l’abandon total.


    • frugeky 22 juin 2018 10:20

      @le celte

      Permettez moi d’objecter qu’à mon avis, les champignons n’entravent pas notre vision du monde mais au contraire l’augmentent, nous faisant retrouver notre vision enfantine d’avant notre conditionnement. La différence, avec l’âge de l’enfance, c’ est notre capacité à poser des mots sur ces sensations retrouvées.


    • le celte 22 juin 2018 12:01

      @frugeky
      J’accepte humblement votre objection ! je me suis mal exprimé, le terme entraver n’est effectivement pas juste dans le contexte puisque les champignons ont effectivement la capacité à saisir l’amélioration d’une combinaison par une méthode d’échanges symbiotiques, donc le terme est complètement inadapté, merci de l’avoir relevé.

      "...nous faisant retrouver notre vision enfantine d’avant notre conditionnement"

      Pas évident de vivre normalement et sereinement son enfance d’adulte dans un monde dirigé par des enfants mutants !


  • Baston Labaffe Gaston Lagaffe 21 juin 2018 10:35
    C’est la saison des chanterelles et des bolets, levez vous le cul de vos chaises et allez sur le terrain plutôt que vous contenter d’images sur un écran...
    .
    Allez hop, tous avec moi dans la forêt, qui m’aime me suive...


    • mmbbb 21 juin 2018 12:30

      @Gaston Lagaffe non il vaudrait mieux que les citadins restent dans leur béton A l époque de la cueillette dans certains endroits de France , il s agit désoramais de veritables razzias Je pense que le législalteur devra intervenir afin de cadrer la collecte des champignons Il en est toujours ainsi L escargot de Bourgogne est desormais proteger Sans réglemantion helas le citoyen se comporte comme u, con et je vous ne parle pas des dechets plastiques laisses


  • Baston Labaffe Gaston Lagaffe 21 juin 2018 10:42
    Super intéressant documentaire... ça change des sujets habituels politico-économico-stratégico-religieux...



  • Baston Labaffe Gaston Lagaffe 21 juin 2018 11:37
    Deux choses, le doc valide donc la météorite qui a décimé les dinosaures et le réchauffement climatique, est ce que ces théories sont elles vraiment avérées ou ne sont encore que des hypothèses ?

    .
    Je ne parle pas de la théorie de l’évolution de Darwin qui est ici présentée comme une évidence, ça ne me pose pas de problème particulier personnellement mais est ce que cette théorie est elle aussi validée concrètement ou toujours sujette à caution ?
    .
    Bon vais aux champis, pas pour fabriquer des antibiotiques mais pour la sauce et mes futures croûtes aux champignons...
    .
    A+




    • le celte 21 juin 2018 13:22

      @Gaston Lagaffe
      Je trouve que le doc s’avance sur les pentes un peu glissantes du royaume de big-pharma et ça sent un peu le gaz tout ça, bref passons, ...oui il me semble bien que les théories dont vous faites allusion soient toujours officielles...Bonne récolte !


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