Assault on Wall Street, un film à tiroirs
Petit montage sur des détails d'un film étonnant.
Montage sur les passages où la télévision et les fréquentations participent indirectement a la radicalisation dans ce film.
Il vas de soi que cette vision ne correspond absolument pas a l’idée d’ensemble que le film essaye de donner, et ne peut aucunement être utilisé, ou perçu dans un but de légitimer une quelconque action légalement répréhensible. L’auto radicalisation est propre idéologiquement aux héros solitaires américains qui sont montrés comme luttant seul contre des événements où un état corrompu ou laxiste ne peut intervenir. Ces héros interviennent généralement pour de bonnes raisons(ou présenté comme telle), mais violemment et hors des Lois. Ces héros ne sont ni d’esprit démocratique, ni d’esprit républicain.
Le milieu ambiant, le contexte social, les médias peuvent influencer les réflexions. Soyez conscient de l’importance de l’anodin et du routinier. Interrogez ce qui vous interpelle, cherchez a comprendre. Ne soyez pas une foule de veau !
Les médias sont un instrument de socio-ingénierie et de manipulation de masses qui est maitrisé, connu et reconnu comme étant redoutablement efficace.
Informez, luttez contre la désinformation, résistez !!
http://tristesclones.forumgratuit.o...
4 réactions
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Jean Qirigole
23 janvier 2014 10:58
Dommage !
Il manque la scène ou Dominic Purcell dézingue une cinquantaine de traders dans l’open space de la salle de marché de la compagnie financière qui dans le film s’appelle... « Huxley » !-
Daniel Q.
23 janvier 2014 14:20
Je ne souhaitais pas montrer trop de la violence du film et je n’ai donc laissé que le moment ou la force légale est employé.
Il y as en effet beaucoup d’autres détails dans ce film qui méritent d’être remarqué. Je me suis concentré sur l’histoire que la télévision racontait en arrière plan, le point de vue médiatique qui se déroulait durant l’évolution de la vie du héros.
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Jean Qirigole
23 janvier 2014 14:59
Je plaisante ! Cette scène a au moins l’avantage de ruiner la devise du trader : « Face tu gagnes, pile tu ne perds rien, surtout lorsque l’argent n’est pas le tien ! ».
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erQar
23 janvier 2014 20:36
Il y a incontestablement des vérités dans ce film, cependant, ils ne sont que des soldats de haut vol du système.
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Ce système est une drogue et pour arrêter, il faut un autre substitut. Seulment certains son tellement dépendant du système qu’ils vont jusqu’à se battre pour le préserver.
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http://www.youtube.com/watch?v=uxat0lJqdCc
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Il manque la scène ou Dominic Purcell dézingue une cinquantaine de traders dans l’open space de la salle de marché de la compagnie financière qui dans le film s’appelle... « Huxley » !