Ariane Walter à Claude Askolovitch au sujet des "Merdias"
Entendre Askolovitch s’étonner de ce nom insolent "les merdias" m’a évidemment beaucoup amusée. Vient-il seulement de le découvrir ? J’ai donc voulu, en me basant sur l’effroyable propagande que ces merdias répandent sur le cas Poutine, par exemple, lui montrer le ridicule d’une propagande à la Goebbels ("Plus c’est gros , plus ça passe", ) qui ne marche plus actuellement. Hé oui, comme le disait Bzrezinski :
" Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, les peuples sont politiquement éveillés. C‘est la nouvelle réalité. Où que vous alliez, la politique est une préoccupation des gens. Conscients des injustices des inégalités, du manque de respect et de l’exploitation. Ils sont devenus difficilement gérables y compris pour les US. "
Je finis sur une citation de Simone Weil : "Croire l’histoire officielle, c’est croire des criminels sur parole."