lundi 2 décembre 2019 - par Nigari

APPRENEZ À VOIR #3 - Ce que les médias ne vous disent pas sur l’affaire Epstein [PART 1]

Troisième volet de la série Apprenez à voir. L'industrie de la mode pourrait bien être le levier ouvrant la boîte de Pandore que sont les abo-minables pratiques de contrôle mental s'appuyant les états dissociatifs et les amnésies traumatiques...



10 réactions


  • sls0 sls0 2 décembre 2019 14:34

    Bel exemple de projection cette Nigari.

    Assez bizarre ce qu’elle a entre les deux oreilles.

    On peut me reprocher de n’avoir pas regardé la vidéo. Je ne l’ai pas regardé.

    J’ai bien deux étudiantes en psychologie qui pourraient donner leur avis sur la vidéo mais je devrais traduire en anglais ou espagnol et ce serait faire perdre du temps pour rien.


    • Nigari Nigari 2 décembre 2019 15:38

      @sls0 dit Assez bizarre ce qu’elle a entre les deux oreilles.

      Je comprends bien que cet outil particulier, débridé, customisé et boosté, soit considéré par d’autres outils conventionnels, d’envergure inférieure, comme "bizarre", faute de ne pouvoir appréhender toute l’étendue de son fonctionnement. L’outil inférieur, bien souvent frustré de ne pouvoir accéder à l’entièreté des raisonnements d’ordre supérieur, se cantonne alors à un rôle secondaire de détracteur, généralement par inversion accusatoire et psychiatrisation. Le schéma est classique et récurrent.

      Sophistiquement vôtre smiley


    • Le Peps 3 décembre 2019 11:51

      @sls

      "On peut me reprocher de n’avoir pas regardé la vidéo. Je ne l’ai pas regardé."

      Ben oui, reproches, évidemment ! :) Zéro crédibilité le comm derrière, normal !

      Pourquoi, mais pourquoi ne pas regarder et commenter quand même, pourquoi donc ???

      (a pas comprendre moi)


    • bob87 3 décembre 2019 17:37

      @sls0
      Pas de chance, cette vidéo est très bien montée et elle se base sur des chose la plus part du temps passé dans un média difficilement assimilable à des conspirationnistes. C’est plus le syndrome de l’info qu’on entend "qu’une fois" ou plus clairement qui ne sont pas reprises en cœur par tout les médias...


    •  Saladin Saladin 4 décembre 2019 11:43

      Merci @Nigari et des imbéciles il y en aura toujours.


  • V_Parlier V_Parlier 2 décembre 2019 21:24

    Que le sujet soit géopolitique ou touchant aux "citoyens du monde" progressistes intouchables, les médias feront toujours tourner le détail insignifiant en boucle plutôt que de raconter le sujet principal de l’histoire. En fait c’est une censure plus efficace que s’il n’en parlaient pas, parce-qu’on croit qu’ils en parlent et qu’ils ont tout dit.

    (Les emails de Clinton, l’affaire ukrainienne de Biden, l’affaire Epstein, etc...)


    •  Saladin Saladin 4 décembre 2019 21:36

      @alanhorus Très drôle, surtout quand on sait qu’Elvis n’est pas mort.


  • Claire29 Claire29 5 décembre 2019 11:55

    Apprenez à voir derrière ces dérives criminelles le rôle de la psychiatrie rarement dénoncé dans tous ces articles et vidéos aux titres accrocheurs sur la pédocriminalité !
    Comment par exemple ne pas établir de lien entre ce qui se passe dans l’Eglise catholique avec les prêtres pédophiles et ce qui a commencé il y a des décennies, lorsque de jeunes prêtres et religieuses étaient utilisés comme cobayes sexuels sous prétexte de « science ”Par une profession“ de guérison ”qui a elle-même le taux le plus élevé d’abus de patients mineurs. (Au moins 10% des 650 000 psychiatres et psychologues du monde reconnaissent avoir abusé sexuellement de patients. Les psychiatres et les psychologues ont également le taux de drogue, de divorce et de suicide le plus élevé parmi les médecins.)
    En 1940, le psychiatre britannique John Rawlings Rees exposa son plan stratégique pour la santé mentale (décrivant littéralement les grandes lignes d’une guerre), dans lequel il exposait en détail son projet de prise en charge par la psychiatrie des domaines de l’éducation, du droit, de la médecine et de l’église : La vie publique, la politique et l’industrie devraient toutes faire partie de notre sphère d’influence ... Nous avons lancé une attaque utile contre un certain nombre de professions. Les deux plus faciles d’entre eux sont naturellement la profession d’enseignant et l’église. "
    Son collègue, le psychiatre canadien G. Brock Chisholm, a souscrit à la remarque de Rees dans un discours de 1945 appelant à l’éradication des concepts traditionnels du juste et du faux, affirmant que « la psychiatrie doit maintenant décider de ce qui sera l’avenir immédiat de la race humaine. Personne d’autre ne le peut.
    La psychiatrie et ses sujets soeurs, la psychologie et la psychanalyse, ont fait sentir leur présence dans les décennies qui ont suivi la formation de la Fédération mondiale de la santé mentale en infiltrant, en diluant et en fin de compte empoisonnant les enseignements de la religion. La moralité, la cohésion familiale et la fréquentation de l’église ont toutes diminué, à mesure que les subventions accordées à la psychiatrie, ainsi que les statistiques sur la criminalité, la violence et la consommation de drogue, montaient en flèche.
    En 1964, l’une des subventions de l’Institut national de la santé mentale a permis de financer une expérience de trois ans sur deux douzaines d’ordres religieux catholiques. « L’étude » s’est achevée deux ans plus tard, 300 des 560 religieuses présentes dans un couvent ont demandé à Rome de se soustraire à leur engagement au cours de la première année. Des décennies plus tard, l’un des deux psychiatres impliqués a admis avoir « corrompu tout un ensemble d’ordres religieux dans les années 1960 », affirmant que ce que l’on appelait « l’éducation sexuelle » était en réalité une « expérience sexuelle ».
    Le psychiatre William Coulson a admis que les techniques psychologiques utilisées sur le clergé visaient à « provoquer une épidémie d’inconduite sexuelle parmi le clergé et les thérapeutes ».

    http://www.cchrstl.org/documents/religion.pdf


Réagir