lundi 5 mai - par phan

Anne-Laure Bonnel / Conflit Russo-Ukrainien : "On est dans la m*rde totale !"

"En décembre dernier, Éric Morillot recevait Anne-Laure Bonnel pour une discussion autour du conflit russo-ukrainien. À l'heure où Donald Trump continue d'œuvrer pour la paix, l'Union européenne prépare, quant à elle, un nouveau paquet de sanctions contre la Russie. Dans le même temps, Vladimir Poutine a annoncé un cessez-le-feu de 72 heures à compter du 8 mai. Dans cet entretien, la journaliste revient également sur son parcours et sa vocation. L'épisode explore sa vision du journalisme actuel, l'importance de l'investigation et les effets de la médiatisation, notamment la censure et l'autocensure. Anne-Laure Bonnel aborde le wokisme et les accusations de propagande, tout en discutant de la liberté d'expression et des controverses au Canada. Elle partage son intérêt pour le Donbass, analyse la politique occidentale et la perception des actions russes. La conversation s'étend sur l'évolution du conflit, le risque de guerre nucléaire et la position de la France, tout en critiquant la manipulation médiatique et l'ostracisation des voix dissidentes."

 



2 réactions


  • phan phan 5 mai 12:00

    Désolé, le titre exact de la vidéo : 

    ANNE-LAURE BONNEL / CONFLIT RUSSO-UKRAINIEN : "ON EST DANS UNE M*RDE FOLLE !" (VERSION INTÉGRALE)

  • Roturier 6 mai 11:08

    NON MAIS !

    Cette séquence vidéo dure 1H36…. Donc 96 minutes….

    Qui s’engagerait sur une telle dépense du temps de la journée dans l’ignorance de la valeur du discours prononcé ?

    Dans un tel cas il faut opter pour l’écrit : rédiger le contenu de l’entretien de manière à respecter le client, en l’occurrence le lecteur : lui permettre la maitrise du temps, à savoir la possibilité de lire en « accéléré », sauter des paragraphes à volonté ou bien, au contraire, s’appesantir sur certains passages qui lui semblent le mériter.

    Naturellement c’est impraticable avec une séquence enregistrée. En l’état on passe 1H36 et on ignore pourquoi ; alternativement, on refuse d’entrer dans la vidéo.

    Ce qui est mon cas.

    Faites des écrits donc pour des lecteurs lettrés ; cessez de diffuser des vidéos interminables. Au-delà de cinq minutes, personne ne prend la peine d’aller jusqu’au bout quel que soit l’intérêt (supposé) du sujet.


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