Anne-Cécile Robert : élire la constituante dans les quartiers ?
Les préparatifs se poursuivent pour fêter dignement les 12 ans de la forfaiture de Lisbonne, qui a eu lieu à Versailles au château bien au chaud. C'est le 4 février que députés et sénateurs godillots s'étaient assis sur la volonté populaire exprimée trois ans auparavant.
Et c'est aujourd'hui Anne-Cécile Robert, membre du directoire du Monde diplomatique, qui y voit la conséquence d'un problème institutionnel en France. Mais pour une fois - et c'est pour cette raison que je relaye cette vidéo - son analyse va plus loin que celle du berger Bellon.
En effet, elle semble s'être rendue compte que l'élection de masse n'est pas un moyen adapté pour désigner des représentants, et qu'il faut commencer à se poser la question : quel suffrage ?
Car après tout, et si le problème était moins dans les institutions que dans la manière de désigner les gens qui nous y représentent ?
1 réactions
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wendigo
27 janvier 2020 12:31
Ha ha ha ha ha haaaaaaa....
Comme si ils allaient vous laisser faire, sans faire la bagarre !!
Bon aller je suis sympa, je vais vous donner un petit truc, soyez patient , leurs conneries du capital vont bientôt leur exploser à la face, c’est quand la bête immonde sera touchée au nerf financier que vous pourrez tenter quelque chose (de toute façon à ce moment là ce seront les flics qui leur feront la bagarre).
Mais restons lucide, avec des psychopathes à politique scyzophrènique, il ne faut pas s’attendre à une révolution pacifiste, ces gens là ont des guerres, des génocides, du terrorisme comme du passe temps, pour eux le mot pacifisme se traduit par arnaque et gros revenus. Ils en sont au stade de la "guerre humanitaire" alors voir le bétail tenter de contrôler l’abattoir, c’est un coup a leur donner envie de flinguer tout le troupeau.
N’oubliez pas que l’esclavage est à l’origine du capitalisme !