AME, RSA, APL : ces aides sociales augmentent encore et encore
On l'a vu dans une vidéo précédente, l'aide sociale est une drogue dure qui déstructure les plus courageux d'entre nous.
En France, les impôts augmentent, ce qui appauvrit la population et in fine provoquent des arrivages massifs dans les filets de l'assistance sociale.
Ce ne sont pas moins de 556 millions d'euros supplémentaires versés par l'Etat sous forme d'AME (aide médicale d'État), de RSA, d'hébergement d'urgence et d'APL (aide au logement).
Ces dépassements sont le produit du nombre sans cesse croissants de personnes qui sombrent corps et bien dans cette dépendance tragique.
Mettons fin à ce cauchemar. Les français méritent mieux que ça. Redonnons la liberté aux gens, permettons leur de subvenir à leur besoin, libérons le travail.
63 réactions
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Joe Callagan 17 novembre 2014 11:37
La maison brûle mais les Oliderid et autres Erwanet nous demandent de regarder ailleurs...
On aimerait que ces deux clowns dénoncent par exemple TOUS les méfaits des grands groupes :-Diktat imposé en vue de détruire ou absorber le tissu des PME.-Impôts et cotisations sociales ("charges patronales", pardon les mecs !!!) non réglés-Grasses subventions.Liste non exhaustiveAucun crédit à accorder à ces deux imposteurs qui érigent un dogme égoïste et darwiniste en vertu, mentent parfois éhontément et font mine d’oeuvrer dans l’intérêt collectif. -
erQar 17 novembre 2014 11:47
Ce qui est étrange c’est que olired ne parle pas des LTRO et autre aide accordé et l’endettement pris en charge par l’ensemble de la société en 2008....encore un incohérent, quand on dénonce....il faut aller jusqu’au bout du raisonnement et ne pas montrer qu’une frange de la population.
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Ce que vous faites est de la manipulation-
erQar 17 novembre 2014 17:19
moi je vous parle de l’aide de l’état français pour renflouer les banques françaises, notamment en 2008.
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Si vous étiez vraiment libéral à la shumpeter, vous auriez dénoncer cette aide. -
1871-paris 18 novembre 2014 16:03
Ce que tu proposes comme système a été appliqué purement et simplement en France au niveau économique durant la période de 1764 et 1775 les physiocrates tes ancêtres a penser avec leur leader aux commandes du pouvoir que fut Turgot... Aaaah les belles paroles !
Lorsqu’il subit 2 crises majeur du a la famine provoqué par la spéculation des bourgeois sur les denrées alimentaires et du a la totale dérégulation de l’état dans les affaires économique, celui-ci éluda le faits en invoquant des troubles "émotionnels" de la part de la population !
Ah ils sont beaux les libéraux, une bande de d’escrocs a la petite semaine comme les autres épiciers de la politique au service du Capital et de la rente.
Cela ne les empêchas pas de revenir en 1789 de demander par l’intermédiaire de Cambon, une fois de plus à l’état, de rendre le plus grand des services à la nation en ne se mêlant pas des affaires économiques, a la belle aubaine pardi ! L’agiotage sur les denrées alimentaires pouvait repartir de plus belles, ignoble théorie !
et actuellement depuis la création du mont Pelerin vous ne cessez de gagner par tromperie des batailles democratique en endormant les gens a coup de LIBERTE, LIBERTE, LIBERTE, sans rien y entendre reellement. seule la liberté economique vous incombe, celle des dividendes de la rente et de la thésaurisation !
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lupus 17 novembre 2014 11:51
"libérons le travail"
en commençant par livrer les mistrals à la Russie liberté enchainée par le grand pays libéral que sont les US.
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oliderid 17 novembre 2014 16:01
Les US le plus grand pays libéral ? Mouarf :))) Va falloir sérieusement plancher sur les idéologies, etc. et arrêtez de vous limitez aux pensées prémachées des médias.
Enfin ceci on lit aussi qu’Hollande pratique une politique libérale sur agoravox,
. En gros dès que vous n’aimez pas quelque chose c’est libérale . Si vous le détestez alors c’est carrément néo/ultra libérale. :)
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lupus 17 novembre 2014 20:52
mouarf
oh facile comme défense le libéro pauvre petite victime. Tu peux vendre le modèle que tu veux, du communisme au libérale , c’est toujours un échec au bout du compte : corruption, abus de pouvoir, indécision du pouvoir, compromis,injustice, exploitation , aliénation, discrimination ...... c’est les tares de l’homme , nez de bœuf, libéralisme, révolution ou pas à la fin le schéma est toujours le même. Fantasme sur tes principes et retombe sur terre gamin.
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oliderid 17 novembre 2014 21:32
Soit Lupus mais dire que les USA sont un Etat libéral, c’est comme dire que la chine est un état communiste. Si on a un peu d’honnêté intéllectuel, on sait que c’est faux pour les deux. Et je ne vais même pas parler des libertés sociales, restons sur l’économique.
l’un est une infame bouille de corporations liée à l’état, l’autre est du capitalisme mené par une dictature d’un parti, un groupement de personnes c-a-d une mafia légale .
Pour la petite histoire l’état Suisse, considéré comme le plus libéral d’Europe a grosso modo le % du PIB de l’état français début des années 70.
Vous auriez qualifié l’état français début des années 70 d’ultralibéral ? Evidemment que non.
On est tellement englué dans le collectivisme que toute traces de libertés deviennent tout simplement extraordinaire . Certains se sentent obligé d’utilise (abuser ?) de superlatif néo/ultra/etc..
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Pyrathome 17 novembre 2014 12:13
Allez, au lit Derid
Va te coucher !!
500 millions ??
Pas grand chose au regard des 80 milliards d’évasion fiscale/an par "optimisation".....c’est même pas 0.5 %....
L’aide sociale est une drogue dure, oui pour les banksters qui se gavent avec les imprimantes de biffetons des BC, ils ne peuvent plus s’en passer, les junks !!
Quand le doigt d’un idiot me montre la lune, je regarde toujours celle-ci en disant à l’idiot de se le mettre directement dans son fondement....
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Joe Callagan 17 novembre 2014 13:11
Ces deux crapules (se présentant faussement vertueux) ont l’indignation sélective...
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oliderid 17 novembre 2014 16:24
Eh bien vous voyez que l’on peut être d’accord :)
Supprimons les banques centrales, librérons la monnaie ! Que les gens puissent travailler où ils veulent, quand ils veulent, avec qui ils veulent, choisissent la monnaie dans laquelle ils veulent être payés et puissent jouir entièrement du fruit de leur travail de la manière qu’ils le désirent.
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Ozimandias 17 novembre 2014 12:19
La bêtise dans toute sa splendeur, (Oliderid/Erwanouille) oubli de préciser que :
_Sauvetage des banques : 2000 milliards (oui là on ne parle plus de millions)
_Aide aux entreprises et niches fiscales : 110 milliards/ans
_Exil fiscal : 80 milliards/ans
_Fraude fiscale : "ces 600 milliards qui manquent à la france"
Ect...
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Les aides sociales permettent à des millions de personnes de ne pas se retrouver à la rue dans un système où le marché de l’emploi va inexorablement continuer sa déliquescence due aux gains de productivité.
Ces soi disant "assistés" reversent in fine l’intégralité de leurs aides dans le système économique (besoins primaires), c’est comme si l’état injectait directement dans l’économie car le gars qui touche le RSA ne va pas aller planquer ses miettes dans les paradis fiscaux, il dépense le peu qu’il perçoit dans le système économique réel pour survivre.
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L’idéologie des néolibéraux de droite est tellement ridicule qu’ils ne comprennent même pas que si on réduisait ou supprimait ces aides aux millions de bénéficiant, se sont les PME, les commerçants, les artisans, qui perdraient une partie non négligeable de leurs clients donc de leurs revenus et finiraient par fermer boutique et se retrouver eux aussi à la rue et à poil, victime de leur propre idéologie..
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Heureusement il y a des remèdes à la connerie ambiante comme le Revenu de base, par exemple.-
oliderid 17 novembre 2014 15:49
Je n’oublie rien du tout. Les banques mal gérées auraient du toute partir en faillite et la BCE comme toute les banques centrales auraient du perdre son monopole. La monnaie comme tout le reste doit être libéré, il faut mettre un terme à ses monopoles que ce soit en matière de sécurité sociale, de monnaie etc. qui in fine aboutissent toujours à des situations catastrophiques.
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1871-paris 18 novembre 2014 15:50
@Olichérique, ce que tu proposes existe, si si, prend un billet pour 3 destinations, soit le coeur de l’amazonie, soit une région en papouasie , ou mieux dans l’antartique, c’est certain il n’y a ni regles, ni humain, tu sera totalement libre.
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Joe Callagan 17 novembre 2014 13:08
Pourquoi tu critiques l’APL mec ?
Puisqu’au final, c’est le proprio qui en bénéficie et lui permet, par exemple, de rembourser le crédit qu’il a contracté pour l’acquisition de son bien immobilier qu’il a vu comme un investissement.On va résumer par un schéma :CAF => locataire => propriétaire => banqueOn va maintenant le simplifier :CAF => banque ou encore : Argent public => banqueD’ailleurs, le marché immobilier est en moyenne surévalué de 40% et constitue un réel handicap pour l’économie française. Ce ne sont d’ailleurs pas les publications qui manquent à ce sujet, par exemple :-
oliderid 17 novembre 2014 15:51
"Pourquoi tu critiques l’APL mec ?"
Pourquoi croyez-vous que j’ai une quelconque sympathie pour le système banquier actuel avec sa tour du mordor qu’est la banque centrale ? Serait-il possible que votre interlocuteur ne corresponde pas à vos gros clichés dignent des années 80 mmmmhhh...
SI je vous dis : fin du monopole de la banque centrale, libération de la monnaie ?
Vous choisissez la monnaie dans laquelle vous souhaitez épargner et échanger.
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jeanpiètre 17 novembre 2014 16:32
la banque centrale dirige le monde bancaire ? vous m’avez fait rire
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Heptistika 17 novembre 2014 19:25
Ça ne rime à rien de libéraliser les monnaies, les oligopoles vont s’accorder sur une monnaie unique et personne ne pourra y travailler sans l’accepter, et comme les perdants sont ceux qui ne peuvent attendre (nourriture, logement), la situation sera déjà à court terme exactement ce qu’elle est actuellement, tous prisonniers du salariat capitaliste où les règles du jeu favorisent toujours les mêmes.
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oliderid 17 novembre 2014 21:18
Marrant quand même tout ces gens qui ralent comme pas possible sur le système actuel et qui pourtant défende avec vigueur tous ses mécanismes.
Ce qui vous chagrine n’est pas vraiment le système, ce qui vous chagrine est que vous n’êtes pas la personne à bénéficier de ses larcins. Si c’était le contraire vous seriez les premiers à le soutenir. Aucune logique.
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Heptistika 18 novembre 2014 05:34
En tant qu’occidental je suis déjà celui à qui profite des larcins du système en rapport aux 6 autres milliards d’humains et sachez que je scierai volontiers la branche sur la quelle je suis sans aucun mérite né si cela peut détruire ces idéologies monétaristes ambiantes mortifères.
Vous faites de l’inversion accusatoire, c’est vous qui avez tout du nanti protégeant son capital et souhaitant se soustraire à toute solidarité, consentie ou non, pas étonnant que vous receviez autant de retour négatifs, vous semblez imbu de vous-même et vos commentaires suintent souvent l’arrogance et la suffisance. -
oliderid 18 novembre 2014 08:56
en tant qu’occidental...Ah ce bon vieux péché originel tourné à la sauce alter mondialiste, vous avez assimilé les bon vieux trucs des religions pour vous faire regarder vos chaussures un brin honteux.
Allez on relève la tete, on arrete de se flageller en public,. -
Heptistika 18 novembre 2014 13:10
Je ne culpabilise nullement, perdu, être lucide sur les déterminants de ma position au sein d’un système dont je n’ai choisi ni les tenants ni les aboutissants ne fait pas de moi un pion manipulé, bien au contraire.
Vous en revanche, le caractère dogmatique et aveugle de votre foi en Friedman&co n’a plus rien à prouver, cessez donc de me prendre pour votre miroir. -
Heptistika 18 novembre 2014 13:25
Faites le malin, en attendant vous n’avez toujours pas dit comment on fera losrseque les oligopoles capitalistes de votre monde libéral se seront mis d’accord sur l’utilisation d’une monnaie !
Ah mais vous avez le choix ! Soit vous acceptez d’être payés par notre monnaie, soit vous allez crever de faim avec les 30% d’autres chômeurs, c’est beau d’avoir le choix hein ? c’est beau le libéralisme économique ! -
1871-paris 18 novembre 2014 15:40
@olicherique qui ce garde bien de comparé les temps ou la banque de France etait un organisme PUBLIQUE qui n’avait de compte a rendre a personne...
Aaaah les fameuses dééévvvaaaalllluuuaaatttiiiooonnn vaderetro satanas elles ont fait souffrir, souffrir des decennies de RENTIERS !!! les pauvres s’en accomodaient tres bien du moment que les salaires suivaient !!! bandes de mystificateurs.les seules a bénéficier des la privatisation et de la création de la dette publique son tes copains qui se cachent derriere le rideau du liberalisme, les rentiers, les grands bourgeois, les capitalistes purs et durs ! arretes de te faire passer pour ce que tu n’es pas, un populaire. tu viens essayer de ratisser des voix comme un epicier escro de foire en vantant mille merveille avec tes babiolles idéologies gravitant autour du mot "LIBERTE" que tu conjugue sans vergogne pour mieux tromper les electeurs.
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jeanpiètre 17 novembre 2014 17:02
les banques centrales sont des banques privées qui jouent le jeu des banques privées, un peu comme véolia ou vincy, des groupes capitalistes dont les clients sont les états, les payeurs (les contribuables) sont ainsi habilement sortis des négociations et arrangements
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oliderid 17 novembre 2014 21:19
Soit et en quoi ça me contredit ? Connaissez le capitalisme de connivence ? Renseignez-vous. Tout ça n’est possible que grâce au monopole donné par l’état. Si il n’y avait pas ce monopole il y a déjà belle lurettes que plus personne ne se paieraient en monnaie de singe.
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Heptistika 18 novembre 2014 13:22
En attendant, pas de capitalisme de connivence sans capitalisme tout court, en voilà une solution qu’elle est bien pour vous mettre d’accord.
Et lorsque les oligopoles financiers et industriels se mettront d’accord sur une monnaie, il préconisera quoi le libéral ? ... Rien. -
1871-paris 18 novembre 2014 15:33
Mais arrêtez de faire comme le FN qui s’exclu du jeu politique !
Vous êtes le Capitalisme, faire croire que votre idéologie est A-capitalisme est une farce grotesque.
L’idéologie a-t-elle une fois défendu dans les faits les pauvres, les modestes (à part les balivernes historiques colportées sur Wiki_libéral_pédia), avez-vous proposé une prise en charge des risques sociaux autre que le jeu de la bourse(capitalisation des retraites hop le krach boursier, dommage) et donc la rente du capital !?!
Votre système est la main dans la main du capitalisme ne feignez pas la différence qui n’existe pas ! la connivence, mais votre idéologie l’ignore et ainsi qui ne dit mot consent. En laissant les manettes économiques que pensez-vous qu’il advienne, que la bondé universelle va retomber sur les gens et égaillé leur vie comme par enchantement ?!
un peu comme vos théories un coup de la main invisible, un coup de la richesse des riches qui doit enrichir les pauvres... des conneries toutes plus grosses que les autres juste mobilisé par la cupidité et l’avidité comme le disait Friedman, un de vos paires spirituel.
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oliderid 18 novembre 2014 16:50
Le système capitaliste est amoral. Il n’a strictement aucune morale, ni bonne, ni mauvaise. C’est juste un outil mais un outil extrêmement résilient qui arrive à fonctionner dans les éco-systèmes les plus toxiques. Ils arrivent encore à fonctionner en France, malgré que l’état y occupe 57% du PIB.
Maintenant je vous remercie de faire de mois un pair de Friedman mais franchement je suis juste une majorette à côté de lui hein ;)
Vous aviez regardé sa série "free to choose" ? C’est juste génial.
https://www.youtube.com/watch?v=JujKgkA_XUQ
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nymeo 17 novembre 2014 22:37
1971 abandon du standard or
1974 L’inflation se matérialise par le premier choc pétrolier1979 Deuxième choc pétrolier (la planche à billets tourne à plein régime) et chômage de masse, submersion de l’économie par le dollar, les produits dérivés, les certificats papier sur les matières premièresAujourd’hui : robotisation à grande échelle : fin de la catégorie travail, de la catégorie monnaie et de la catégorie propriété.La liberté que vous demandez, ne la demandez pas, PRENEZ LA ! Au nez et à la barbe du système. Il faut commencer par savoir ce que l’on veut, puis connaître le prix à payer, en terme de sacrifice personnel. Pourquoi croyez-vous que la notion de sacrifice soit à la base de toutes les croyances ? La loi de causalité est à la base de tout changement, l’équilibre ne peut être transgressé. C’est la seule loi et elle n’est pas morale. La morale n’est qu’un guide pour ceux qui veulent vraiment être pleinement, et non pas un outil pour déplacer de la matière. Le sacrifice a en vue le détachement. Le détachement a en vue l’acceptation. L’acceptation de qui on est. L’acceptation d’être plus que l’identité qui nous est chère, parce qu’elle est connue. La liberté, c’est l’inconnu ; et c’est donc la foi dans l’inconnu : dans l’ordre cosmique. Tout le reste découle,car tout ce qui arrive est vu comme bénéfique, le mal comme le bien, qui, au fond, sont relatifs. -
charlotte16 18 novembre 2014 00:14
si TOTAL payait des impots on pourrait doubler toutes les aides sociales
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oliderid 18 novembre 2014 01:24
En quoi c’est un objectif ? Pourquoi désirez-vous tellement distribuer encore plus d’aides sociales ? La population française représente que 4% de la population mondiale et l’état français 15% des dépenses sociales à travers le monde.
Vous trouvez que ça va mieux ? Par rapport à un temps ou l’état français avait grosso mode la meme taille que l’état suisse, genre fin des années 79 ? Vous allez juste rendre encore plus de personnes dépendantes de l’état, des politiques...etc.Ca pérénise deux choses : des gens totalement dépendant de l’assistance publique et des politiciens qui en abusent pour se faire élire. -
nymeo 18 novembre 2014 08:36
En effet, Pourquoi ne pas distribuer plutôt des emplois, du sens, de la dignité et des salaires corrects ? Réponse : parce que tout ça n’existe plus ! D’autre part, les aides sociales permettent un minimum de circulation monétaire et donc de rendement financier : elles profitent au capital ! Ce système n’est pas près de disparaître, il va même se généraliser. Ou alors ce sera les camps. Mais le retour au plein emploi serait très étonnant !
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oliderid 18 novembre 2014 08:42
je croirais qu’il y a une pénurie d’emploi, le jour où le travail ne sera plus un privilège mais un droit.
Actuellement vous n’avez pas le droit de travailler. Si vous commencez à travailler sans demander l’autorisation à quiconque parce que c’est votre droit, vous serez mis à l’amende et si vous persistez, vous serez mis en prison.
Le travail est un privlège que vous accorde l’état en échange de plus de la moitié du fruit de vos efforts.
Avant meme de parler de pénurie de travail/d’emploi, que l’état redonne le droit de travailler à son légitime propriétaire. -
1871-paris 18 novembre 2014 15:22
Qui te parle d’objectif ? Nous te parlons de droits et de devoirs ! La société a pourvu a ton éducation ton instruction, ta santé, en devoir tu te dois de lui rendre une partie de la richesse que tu peux produire, sinon isole toi en, pars dans la jungle !
Nous ne désirons pas distribuer plus d’aide sociale, mais répondre a la détresse imbécile que tu es a toujours tous réduire à ton nombril !
C’est par la faute de vos dérégulations successives a vous les libéraux qui poussé cela, que le monde se retrouve a gérer une armée de pauvre de plus plus en plus importante face a ces riches qui thésaurise continuellement sans scrupule !
Arrêtez d’instaurer le NAIRU et pratiquer le plein emploi par une régulation et règlementation sur les droits vitaux et vous verrez que cela fonctionnera.
A chaque fois que le monde la France a tenté l’expérience libérale sous les sirènes des bourgeois ce fut une hécatombe dans les classes modeste et pauvre ! 17eme 18eme 19eme 20eme et maintenant 21eme. Seule des courtes périodes 1791-1794 et 1946 à 1973 connurent une certaine répartition des richesses !
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oliderid 19 novembre 2014 10:23
"Qui te parle d’objectif ? Nous te parlons de droits et de devoirs ! La société a pourvu a ton éducation ton instruction, ta santé, en devoir tu te dois de lui rendre une partie de la richesse que tu peux produire, sinon isole toi en, pars dans la jungle !"
L’Etat n’est pas la "société". C’est une approche totalitariste que de fusionner peuple et état.
Ce sont des personnes qui m’ont instruite, soigné, etc. Eh bien souvent certaines professions sont le monopole de l’état. Ces personnes ne pouvaient exercer leurs profession que par l’état.
Tout ça va servir in fine à de la propagande, arrivé à faire croire que sans l’état aux dimensions actuelles, le ciel tomberait une nouvelle fois sur la tête des pauvres gaulois.
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herve_hum 19 novembre 2014 13:29
L’Etat n’est pas la "société". C’est une approche totalitariste que de fusionner peuple et état.
Qui parle de fusionner peuple et état ?
L’état est un outil, un instrument tandis que le peuple est l’ensemble des sujets qui l’utilises pour vivre en société. Fusionner état/objet et peuple/sujet consiste à vouloir réduire le peuple à l’état d’objet et élever ceux qui s’en distingues au niveau de souverain. Vous vous dites libéraux et défendez le principe de souveraineté d’une minorité sur la grande majorité au principe de défendre la liberté des premiers contre celle des autres. La liberté individuelle est attaché à l’individu et interdit l’exploitation d’autrui et ne reconnaît que l’association. Un salarié n’est pas un associé, c’est un outil aux mains du propriétaire des moyens de production. Le vrai libéralisme abolit le salariat et le prolétariat pour instaurer la coopération et l’association.
Vous vous dites libertarien ? Nous nous disons libertiens....
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1871-paris 18 novembre 2014 15:10
Ta conception méthodologique pour résoudre les problèmes de pauvreté est d’une telle débilité que débattre a la contre dire est une perte de temps évidente.
Espèce de Physiocrate des temps modernes, qui invoque la liberté économique au commerce "du grain" pour s’enrichir d’avantage et en inversant les rôles en se faisant passer pour plus opprimé que le pauvre qui peut mourir de faim ! Esprit misérable et répugnant que tu es !
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oliderid 18 novembre 2014 16:34
Mmmh Ca veut dire qu’on ira jamais voire une verre ensemble ? Tsss ;)
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herve_hum 18 novembre 2014 23:04
Le travail n’est pas un droit vis à vis d’’autrui dans une société, mais un devoir !
Le droit, c’est celui de recevoir autant de reconnaissance que celui d’avoir pu donner de bénéfice à la société (par son devoir). Le capital social n’est pas le capital matériel, si l’un est la récompense de l’autre, c’est que l’autre est ce qui décide de l’action et non celle qui subit l’action.
Aujourd’hui, vous avez un temps de retard sur la situation sociale et non un temps d’avance. Le temps d’avance de ce libéralisme (par rapport à son image causale) découlait de la compétition entres les nationalismes. De ce qu’on appelle la concurrence aujourd’hui et la rivalité impérialiste avant cela. Car le fait de parler du libéralisme comme la liberté donnée à chacun de faire comme il veut, et bien, c’est exactement le principe démocratique qui veut s’appuyer sur le consensus éclairé et donc transparent de chaque individu participant et partageant la vie sociale et le travail social, pour en retirer une récompense sociale. Selon son mérite individuel et non selon sa capacité à exploiter le mérite d’autrui. Vivre en société est un compromis trouvé avec le principe de responsabilité. La responsabilité est la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui.
Voyez, nous sommes bien plus libéral que vous ne le serez jamais, sauf à nous y rejoindre !
Car on ne rejoins pas des personnes, mais un idéal social où il ne s’agit pas de pas récompenser, mais de juste récompense. Selon son mérite relationnel ( donc individuel). Nous disons que le libéralisme exige que personne ne puisse exploiter autre que lui même. Avec les autres il s’associe. C’est à dire avec toute la société. L’Etat est un outil, non une personne. La personnalité de l’Etat, est dans son système de gouvernance qui donne pouvoir à des êtres bien en chair et en os.
votre libéralisme utilise la propagande pour abrutir la majorité avec des outils, esseniellement "la bagnole, la télé, l’tiercé, c’est l’opium du peuple de France" comme le chante si bien Renaud. Un opium connu de très longue date !
Seulement voilà, nous sommes après l’ère du nationalisme d’état dans lequel se reconnaissait les citoyens les plus honnêtes, grégaires et globalement dit sociables.
Mais à l’heure de la mondialisation... ?
Bon j’en ai assez écrit, que d’autres prennent la suite.
Pour parler de mon idéal de vie personnelle, c’est je, mais pour parler de l’idéal commun, c’est "nous".
Je suis nous et nous somme je.
c’est un jeu de mot, qui le connait ou le voit ?
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herve_hum 19 novembre 2014 09:32
rectification
"Car le fait de parler du libéralisme comme la liberté donnée à chacun de faire comme il veut, et bien, c’est exactement le principe démocratique qui veut s’appuyer sur le consensus éclairé et donc transparent de chaque individu participant et partageant la vie sociale et le travail social, pour en retirer une récompense sociale.
A la fin il faut lire "récompense matérielle" !. -
oliderid 19 novembre 2014 10:19
"Le travail n’est pas un droit vis à vis d’’autrui dans une société, mais un devoir !
Le droit, c’est celui de recevoir autant de reconnaissance que celui d’avoir pu donner de bénéfice à la société (par son devoir). Le capital social n’est pas le capital matériel, si l’un est la récompense de l’autre, c’est que l’autre est ce qui décide de l’action et non celle qui subit l’action."
Désolé mais j’ai rien compris. Ou est le raisonnement ? Je ne vois que des affirmations.
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herve_hum 19 novembre 2014 11:53
Le raisonnement, c’est de dire que le travail n’est pas un droit mais un devoir vis à vis d’autrui, de la société dans laquelle on vit.
Ce qui est un droit, c’est d’en recevoir une juste récompense, c’est à dire selon son mérite personnel.
Le travail étant définit comme une obligation, une contrainte et non un choix libre, ce dernier commence quand la partie devoir est accomplit. Vivre en société est un compromis, une association dans le but d’augmenter sa sécurité matérielle. Une fois cet objectif primaire atteint, nous entrons alors dans le libre choix de ses activités et moyens de consommations, qui sont selon son temps de vie dédiés à cet objet.
La théorie libérale qui consiste à dire que c’est de pouvoir faire n’importe quoi, c’est le chaos et l’absence de règles communes. Cela veut bien dire que l’assistanat est une hérésie, contraire à l’idéal de vie en société, mais est entretenu volontairement par les tenant de ce que l’on appelle le néo libéralisme, pour la simple raison de défense de la propriété des moyens de productions et de leur financement. En d’autres termes, l’assistanat est une conséquence directe de la propriété (qui par définition est toujours privative).
Etc...
Ah, j’oubliai, l’intérêt général est la somme des utilités particulières et certainement pas la somme des intérêts particuliers, car alors cela signifie simplement que l’intérêt général n’existe pas et par conséquence ne reste que le chaos généralisé.
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oliderid 19 novembre 2014 18:27
"Le raisonnement, c’est de dire que le travail n’est pas un droit mais un devoir vis à vis d’autrui, de la société dans laquelle on vit."
Ca c’est ce que l’on appelle une thèse. Ce qui est à prouver en somme. Pourquoi est-ce un devoir ? Par quelle logique arrivez-vous à cela ?
Je lis votre texte vous continuez à affirmer que c’est une obligation, contrainte, etc. Soit mais par quel raisonnement êtes-vous arrivez à cette conclusion ? Pourquoi c’est un devoir ?
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herve_hum 19 novembre 2014 23:13
Par quelle thèse je suis arrivé à dire que le travail est un devoir ? Mais c’est déjà écrit dans mes commentaires !
Bon si vous voulez avoir une vue plus détaillée, allez lire cet article "les BAL citoyens"
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oliderid 19 novembre 2014 23:39
Non une thèse est un point de départ. Ensuite on argumente pour le prouver.
J’ai lu votre texte.
Il n’y a qu’une phrase d’après ce que j’ai compris qui justifie que le travail est un devoir. Vous le justifier par ceci :"Le travail : qui est un devoir. Une obligation dû au corps social pour le mieux vivre ensemble. (définir le travail comme un droit est une inversion du sens et donc une imposture)
...
L’activité sociale : En même temps droit et devoir c’est à dire faisant appel à la responsabilité individuelle des personnes envers le corps social pour remplir sa part du contrat social. C’est cette dernière qui doit rappeler aux deux activités précédentes le sens de leur propre raison d’être (conscience) !
"Je n’ai signé aucune contrat social. je n’ai aucun devoir de cette sorte. J’ai le droit de subvenir à mes besoin, c’est à dire à travailler. Vous n’avez cependant aucun droit à me forcer à travailler.
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Joe Chip 20 novembre 2014 00:46
Sur le sujet devoir de travailler/droit au travail :
http://www.lalibre.be/debats/opinions/droit-au-travail-devoir-de-travailler-51b8b153e4b0de6db9b88caa
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herve_hum 20 novembre 2014 13:55
Non une thèse est un point de départ. Ensuite on argumente pour le prouver.
Vous me demandez de prouver une évidence !
L’étymologie du mot travail vient de tripaliare et tripalium, instrument de torture.
Ce n’est pas un hasard et si c’est ce mot qui a été repris pour parler de l’activité salariale . Si le sens à évolué vers la notion de travail volontaire, elle n’en a pas pour autant supprimé son essence originelle, c’est à dire la contrainte.
En effet, lorsque vous aimez ce que vous faites, vous ne pouvez pas parler de travail car vous n’êtes pas dans le cadre d’une activité contrainte, mais choisi. De ce fait, la même activité peut passer du niveau activité travaillé au niveau activité choisi et vice versa.
Parler de travail comme un droit lorsque celui ci est une contrainte, est un sophisme de pseudos libéraux pour faire passer des vessies pour des lanternes et faire croire aux prolétaires que le propriétaire des moyens de productions lui fait une faveur, presque un cadeau. De la même façon dire "charge patronale" en lieu et place de "de cotisation sociale" consiste toujours à faire passer un abus pour un avantage.
Dire que le travail est un droit est dire que la contrainte de corps est un droit, ce qui est évidemment absurde sauf à être masochiste.
Si vous utilisez le mot "travail" pour vous même alors que vous refusez de travailler au sens de la contrainte (principe libéral s’il en est), c’est précisément pour faire l’amalgame entre ce qui est contraint et ce qui est choisi donc libre. Cela vous permet alors de dire ce que vous dites, par le déni de la contrainte lié au travail.
Nous, nous disons que le travail au sens étymologique est un devoir, parce qu’il est une contrainte comme pouvait l’être le service national ou bien celui de respecter des règles de bonnes conduites sur la routes, qui apparaîssent souvent comme des contraintes. Votre principe libéral devrait plaider pour l’abolition de toutes règles de conduites routtières et en fait, de toutes règles quelles qu’elles soient parce que ce sont des contraintes, contraires à votre principe libéral. L’abolition de l’état de la police pour ne laisser que les milices privés, mais ce faisant, vous renoncez alors à la garantie de la propriété assuré par l’état. Bref, on retourne au système féodal, basé sur la loi de la nobiliaire où vous, bourgeois, serez de nouveau soumis à la dictature de cette noblesse.
Nous, nous disons que l’évolution sociale se fait par le partage de la contrainte, donc du travail pour libérer le plus de temps de vie de chacun alors que votre raisonnement consiste à limiter cette liberté à une minorité toujours plus restreinte jusqu’à revenir à la situation monarchique.
Qui n’avance pas... Recule !
Donc, le travail est un devoir par le fait de la contrainte qu’elle implique soit venant d’autrui, mais surtout par celle que l’on s’impose à soi même.
En démocratie, la liberté est vrai si elle est universelle, c’est à dire qu’elle s’applique à tous et non à une minorité. Et pour qu’il en soit ainsi, il faut partager ce qui est contraint pour individualiser ce qui est choisi.
La liberté exige une grande discipline intérieure, la servitude un minimum et l’esclavage aucune car la discipline est imposé de l’extérieur.
Etc..
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herve_hum 20 novembre 2014 18:18
Sophisme. Ca n’a aucune logique. L’un n’empêche pas l’autre. Le contrat est une formule imaginaire. Personne n’a jamais signé de "contrat social".
Personne ? En êtes vous si sûr ?
Qu’est ce donc la constitution sinon l’énoncé du contrat social ?!
Et sur quoi se base t-il ? Sur la déclaration universelle des droits de l’homme qu est par nature la définition du contrat social liant les humains entre eux et cette déclaration a été signé par quasiment tous les pays de cette planète. Mais pas forcément par leur citoyens, toutefois, si on pose la question à ceux ci, l’écrasante majorité est d’accord avec.
Le problème, c’est que ce contrat est bancal et contient des apories, voulues par ceux qui l’ont écrite. En effet, elle ne contient que la partie droit, or, un contrat se doit de contenir aussi la partie devoir. pour être équilibré Enfin, il met en opposition les droits de chaque individus et les droits de certains individus et vous avec votre pseudo libéralisme, vous ne tenez compte que les droits de certains individus contre tous les autres..
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oliderid 20 novembre 2014 18:26
"Et sur quoi se base t-il ? Sur la déclaration universelle des droits de l’homme qu est par nature la définition du contrat social"
C’est faux. Les droits de l’homme et du citoyen furent basés sur ce que l’on apppelle les droits naturels.
C’est à dire un ensemble de droits que chaque individu a de part sa condition humaines, qui sont inaltérables et antérieur à toute législation (droit positif). Le droit de subvenir à ses besoins, c’est à dire de travailler, en fait partie.
"vous avec votre pseudo libéralisme,"
Merci de ne pas chercher à me flatter, j’y suis rarement sensible.
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herve_hum 21 novembre 2014 10:15
Parler de droit naturel et de droit positif est du pur sophisme.
Dès l’instant où l’on parle de droit, nous ne sommes plus dans le naturel, mais dans le positif.
Alors certains parlent "d’inclination naturelle" de l’humain pour justifier le droit naturel !!!
Euh, tuer , voler, violer, asservir, sont aussi des inclinations naturelles de l’humain que l’on s’attache à combattre positivement avec la déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Et avant cela avec la morale religieuse.
D’ailleurs, savez vous que citoyen désigne les personnes vivant dans la cité et donc dans un lieu social par définition ?
Nous parlons aussi de société humaine, civilisation humaine pour montrer que les peuples composent, partagent tous la même condition humaine, la même destiné et vivent en interdépendance, relations sociales et économiques.
La déclaration est censé être la base des relations internationales, quand à la morale et le droit des uns vis à vis des autres. Sinon, c’est seulement le rapport de force qui régirait les relations. Loi du plus fort toujours en activité et qui est le seul droit naturel reconnus tant par l’humain que par les autres formes de vies.
Sorti de la loi du plus fort, seul droit naturel, nous sommes dans le droit positif, celui prétendant soumettre la force naturelle au droit fondé sur une éthique et morale sans usage de la force... positive !
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