samedi 7 décembre 2019 - par Jolo

Agriculture en danger

Le glyphosate français est dans le collimateur, pendant ce temps là, le glyphosate mondialisé pullule sur tous les rayons des supermarchés.

Thibault et l'équipe du Média Pour Tous étaient sur place, aux côtés des agriculteurs.



3 réactions


  • Julot_Fr 7 décembre 2019 11:44

    Ce qui menace les agriculteurs francais, cest avant tout la finance et les multinationales qui les attaquent aggressivement pour recuperer leur terres avec la viande us, la poussee vegan, le mercosur, ceta et fascisme vert.. tout cela vient d en haut et est de tres mauvais augure pour la viabilite de fermes detenues par des individus. Quand les multinationales controlent l integralite de la production de nourriture.. bonjour le resultat pour notre sante


    • mat-hac mat-hac 7 décembre 2019 21:44

      Les agriculteurs doivent remplir des fiches sans être eux-mêmes contrôlés.
      Les rendements permettent d’avoir un début de salaire pour les agriculteurs dépensant le plus de temps. Sachant qu’il n’y a plus d’administrations à contrôler, on a moins de questions à se poser sur les rendements si on en met un peu plus.
      Oui le bio c’est ingérable parce qu’on demande autant de résultats, concurrence oblige.
      L’agriculteur qui réfléchit a tendance à partir en Russie voire en Australie.


  • tobor tobor 7 décembre 2019 23:21

    C’est le gros bordel ! En fin de compte, les agriculteurs "classiques" se font alliés de monsanto et défendent corps et âme le glyphosate comme indispensable et anodin. Ces gars sont engagés dans des productions colossales dont la valeur ne dépend pas du produit mais du marché international. Ils n’ont pas de lien avec ceux/celles qui consomment et nourrissent sans-doute leur famille avec du bio même s’ils n’hésitent pas à cracher dans la soupe en publique.

    Les agriculteurs bio ont d’autres raisons de se plaindre mais ne se font pas entuber à ce point ! Ils ont de plus petites productions, des filières plus directes, ils évitent de nécroser leurs sols, recourent à des méthodes naturelles et à des semences rares, en héritage du passé. De plus, ils arrivent à se payer plus dignement.


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