A qui profite la dette ?
A qui profite la dette, en Belgique comme en France et ailleurs...
Partout en Europe des citoyens s’organisent afin de réclamer et obtenir un audit des dettes publiques.
Petite animation qui a la frite et vous explique pourquoi il s’agit d’un hold-up et non d’une "crise".
18 réactions
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Morpheus
28 novembre 2012 12:13
Ce petit dessin animé et très bien fait, et très amusant grâce aux voix de nos deux compères Jannin et Liberski. C’est à l’inititative de la FGTB (syndicat), le CADTM (comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde) et le CEPAG (centre d’éducation populaire André Genot).
A diffuser sans modération, et pensez à aller sur le site www.onveutsavoir.be et soutenir l’action.
Vous pourrez aussi faire un petit quizz pour savoir si vous êtes calé dans le domaine, et en apprendre plus sur la question.
Cordialement,
Morpheus-
Awake
28 novembre 2012 14:40
Très bonne la vidéo, et le site que tu donne est sympa aussi Morpheus.
J’ai cherché un peu, j’ai trouve cet "équivalent" français. -
Morpheus
28 novembre 2012 15:54
Oui, c’est la même démarche pour la France, et c’est important de la mentionner. Et cela montre que les peuples s’emparent de ces sujets parce qu’ils ont compris qu’il ne faut plus se fier au monde politique. Signe extrêmement positif, même si encore assez marginal (ou en tout cas, marginalisé par la presse mainstream).
Merci.
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Erwanet
28 novembre 2012 17:45
1) Et donc qui a emprunté à outrance, comme un gros porc qui se goinfre, pour contracter cette dette ? Toujours le même : l’Etat obèse (belge, français ou autre), c’est d’ailleurs pour ça qu’on appelle ça la dette publique.
2) Et pourquoi cet Etat obèse a-t-il besoin d’emprunter, créant ainsi cette dette que les contribuables et générations futures devront rembourser ? —> Réponse -
sergel
28 novembre 2012 18:53
L’ État qui subventionne Vinci, pour NDDL : une opération qui sera déficitaire & l’ État devra encore s’ endetter pour éviter le naufrage économique de la région.
merci qui ?
le projet privé AGO est aujourd’hui financé à + 50% par l’ État & les Collectivités locales, contre une prévision de 17% en 2007, tout en réduisant la longueur des 2 pistes de 3600m à 2900m & 2750m.
bravo, une gestion libérale pertinente.ce n’ est plus l’État "obèse", mais l’État "mègalo".
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Morpheus
28 novembre 2012 22:12
Erwanet, mon brave pêcheur breton, je suis ravi, car vois-tu, le meilleur moyen de savoir si tu nous balance à longueur de journée des vérités ou des carabistouilles - comme on dit à Bruxelles (une fois) - c’est encore de faire un AUDIT DE LA DETTE.
Tu es si sûr de toi que je ne doute pas que tu seras le premier à signer des deux mains pour un tel audit. Non ?
Allez (une fois) ! Chiche
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rastapopulo
29 novembre 2012 00:32
Pourquoi perdre son temps à imposer une idéologie ? Parce que les preuves historique vexent les idéologues qui n’aime pas discuter concret. Sur le cas d’école des anti-nations :
Henri IV et son fidèle conseiller Maximilien de Béthune, duc de Sully (1559-1641), vont non seulement augmenter les dépenses, mais remettre le pays en marche : l’Etat embauche des milliers de fonctionnaires (quelle horreur !) dont le nombre, à peine 4000 sous François Ier, passe à 25000. On dépense aussi des millions dans une politique de grands travaux destinés à engendrer une relance de toute l’économie nationale : fortifications, ponts, routes, hôpitaux, écoles, canaux, etc., sans oublier les millions pour inciter les chefs de la Ligue Catholique à cesser guerroyer.
François Bayrou constate qu’Henri IV et Sully « ont réussi à désendetter le pays de 50% en dix ans. Non seulement le crédit de l’Etat était parfaitement rétabli mais le roi avait désormais, sévèrement gardé à la Bastille, un solide trésor de 5 millions de livres et il disposait par ailleurs d’une réserve de plus de 11 millions de livres. Mieux, l’exercice de 1611 devait dégager un excédent de 4,6 millions de livres ».
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Jerome33
28 novembre 2012 17:16
Ca c’est de l’excellente vulgarisation. Pas du tout technique, bien vu les belges.
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Pakap
28 novembre 2012 17:47
Voilà un message que je peux diffuser à mon entourage avec la certitude qu’il sera regardé et probablement compris même si pas digéré tout de suite. Les mentalités sont longues à évoluer et j’ai peu de succès avec des interviews jugées trop partisanes ou des vidéos trop longues qui lassent sans convaincre.
Bravo à nos amis belges, sur ce coup (et bien d’autres ...) ils ont une bonne longueur d’avance !
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Atlantis
29 novembre 2012 09:04
vous voulez savoir quoi les gars ? que tant que vous continuez à vouloir avoir une aristocratie (=élection de représentant politiques) vous aurez obligatoirement du mensonge et de la trahison (avec son volet économique : la dette) ?
c’est pas plus compliqué que ça, mais personne ne veut s’avouer la vérité ...
