@Sentero
OUI !
Un témoignage parmi tant d’autre malgré la désinformation systématique déjà à l’œuvre à l’époque.
"Les enfants tombent un à un derrière leur pupitre comme si on les avait empoisonnés", raconte le docteur James Niven de Manchester
"On enterre de nuit les morts de la journée pour éviter la contagion des paniques"