ezechiel ezechiel 28 avril 2020 02:04

@Laconicus "On ne peut pas "déposer plainte" juste parce qu’un sombre reproche ou de vagues allusions nous déplaisent. "

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"NOUS AVONS CONNAISSANCES de documents et de témoignages indiquant l’existence de relations particulières et plus qu’insistantes DE VOTRE PART à leur égard, et ce, dans le cadre professionnel, qui ont été SOURCES DE GRAVES SOUFFRANCES PSYCHOLOGIQUES."

Quels documents et quels témoignages ? Asselineau est accusé de provoquer chez des collaborateurs de l’UPR, de graves souffrances psychologiques. De quoi on parle ? C’est quoi ces insinuations ? Où sont les preuves ? Caractère purement diffamatoire.

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"LES FAITS apparaissent en contradictions totales avec vos déclarations régulières et publiques prônant une gestion intègre et en "bon père de famille" du parti."

Quels faits ? L’accusation doit montrer les preuves et l’existence de ces faits avant de balancer ce type d’accusation dans une lettre de la direction dans le cadre professionnel. Sinon, cela s’appelle de la diffamation.

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"Aussi, FORCE EST DE CONSTATER QUE VOUS VOUS COMPORTEZ comme bon nombre de responsables politiques que pourtant vous fustigez avec force et véhémence."

"Il apparaît que de NOMBREUSES PERSONNES SONT DÉJÀ INFORMÉES"

Informées de quoi ? De quels faits ?

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"SUR LES FAITS CI DESSUS qui devraient selon nous, VOUS CONDUIRE INÉLUCTABLEMENT À LA DÉMISSION."
"COMPTE TENUS DES FAITS GRAVES énumérés ci-dessus, NOUS CONSIDÉRONS QUE VOUS ÊTES DISCRÉDITÉS POUR CONTINUER À DIRIGER L’UPR".

Sur quels faits ? Ici, on a clairement un cas d’acte d’intimidation et de harcèlement moral de la part de la direction visant à pousser un cadre à la démission.


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