micnet micnet 27 avril 2020 15:32

@Laconicus

Honnêtement, je crois mon cher Laconicus que c’est vous qui ne suivez pas ce que je dis smiley

Je reprends calmement :

"LA PERSONNE QUI PORTE PLAINTE EST CELLE QUI DOIT APPORTER LA PREUVE DE LA CULPABILITE DE L’AUTRE, DONC SI VOUS ACCUSEZ QUELQU’UN DE VOUS CALOMNIER, C’EST A VOUS D’APPORTER LA PREUVE QUE L’AUTRE EST COUPABLE DE CALOMNIE, DONC QU’IL MENT "

---> Vous devriez écrire encore plus gros (caractère 72 par exemple), je finirais peut-être par vous croire smiley. Je vous ai déjà répondu au-moins deux fois que la preuve des accusations se trouve dans la lettre que les cadres de l’UPR ont adressée à Asselineau. Je vous ai également indiqué dans un post précédent quelle était la définition d’une diffamation caractérisée. Je ne vais pas me répéter...

Lorsque l’on s’estime diffamé au-travers d’accusations et que l’on a une trace écrite desdites accusations portées à son encontre, on peut donc engager une procédure. Et si les accusations ne peuvent être prouvées par les accusateurs, alors lesdits accusateurs seront condamnés. Pas besoin d’attendre que ce soient les accusateurs qui portent plainte eux-mêmes !

A défaut d’être d’accord, est-ce qu’au moins on se comprend cette fois ? 

Maintenant la vraie question qui se pose, et à laquelle je n’ai pas la réponse, c’est de savoir si les éléments contenus dans la fameuse lettre accusatoire sont suffisants pour aller au tribunal. En tout état de cause, même si l’accusation reste sybilline, elle est parfaitement claire.


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