3 SEPTEMBRE 2019
A l’heure où il est question de criminaliser l’anti-sionisme...
... à savoir : la condamnation de la politique d’Israël hors de ses frontières de 1967 et les sanctions prises, ici en France, envers ceux qui souhaitent dénoncer publiquement cet Etat : pas de carrière professionnelle ni politique ni médiatique ni artistique pour ces derniers...
qu’il soit permis de rappeler ceci : l’antisionisme, c’est le problème des sionistes.
En revanche, la tentative de condamnation de l’antisionisme au nom de l’antisémitisme c’est notre problème à tous car il est là question d’un mépris inacceptable pour le droit, la justice, la vérité et la morale quand on sait que l’antisionisme a pour fondement la condamnation de la politique cruelle, injuste et criminelle d’un Etat étranger hors-la-loi - Etat qui fait preuve d’un cynisme d’une nature profondément anti-humaniste rarement égalée depuis ces 60 dernières années si l’on prend l’Europe comme référence - à l’endroit d’un peuple sans défense - le peuple palestinien - et du soutien quasi unanime ( même si le plus souvent contraint par le CRIF et l’UEJF — deux officines israéliennes) de la sphère politico-médiatico-économico-artistique française à ce sujet.
Pour prolonger, cliquez : Israël, Judaïsme, sionisme et colonisation
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