Norman Bates Norman Bates 24 septembre 2019 01:03

@REMY Ronald

Je peux vous rassurer : le rejet franc et massif de toute la clique politicarde n’abolit pas l’espérance et les rêves cette fois portés sur le concret, en l’espèce un "ego-système" peuplé par des êtres de lumière partageant les mêmes idéaux et les mêmes valeurs...la sphère politicienne n’est qu’un indicible trou noir où disparaissent les espoirs jusqu’à l’inespoir, c’est un gouffre sans fond où à force de désillusions et de duperies la foi devient flamme vacillante jusqu’à complète extinction...
Vous êtes d’un abord sympathique, nullement sectaire, ouvert au débat...d’autre part votre statut de macroniste revendiqué fait de vous une curiosité sur Avox, je dirais même une espèce très rare et qu’il convient de protéger pour les raisons précédemment développées...c’est pour cela que je m’efforce de tremper ma plume dans des nuances d’encre moins âcres qu’à l’accoutumée...
Mais quand même.. ! 
Permettez-moi de relever que vous débutez votre texte sur un fond musical onirique où "l’espérance" enlace le "rêve" pour ensuite expliciter la mission de blocage visant Griveaux, un arriviste faux derche de compétition j’en conviens, pour faire triompher l’halluciné et hallucinant Villani dont l’araignée qui trône sur le revers de la veste n’est qu’une miniature de celle qu’il a au plafond...
La "faiblesse" de vos "moyens" n’explique pas, me semble t-il, cette priorité accordée à des manœuvres souterraines dont la clique politicarde est coutumière, souvenez-vous de la planche généreusement savonnée par Chirac à l’attention de son "ami" Giscard...c’est ça, le "nouveau monde".. ? 
C’est pareil pour la voix discordante prêtée à momie Brigitte...ces artifices de communication ne fleurent pas la modernité, naguère c’était Séguéla, aujourd’hui c’est Mimi Marchand, un personnage pour le moins controversé connu, entre autres, pour avoir chauffé la place de Balkany à la Santé, qui est en charge de la préparation des doses d’anesthésiques pour étourdir le peuple...
Chirac et sa "fracture sociale", Paul Bismuth et sa "rupture" puis son "karcher", Flanby "l’ennemi de la finance", et maintenant Macroute et son "projeeeeet"...
Les paroles s’envolent et les actes restent les mêmes...


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe