Robin la capuche 16 juillet 2019 20:07

@Belenos
Vous avez remarqué que vous vous défilez sans arrêt et que vous ne répondez jamais à mes arguments ? 
Croyez moi ou pas je me contrefous de la prétention des végétariens à disposer d’une quelconque supériorité morale ou éthique, car mon opinion sur ce régime manichéen est on ne peut plus arrêtée. 

Vous trouvez dans les bibliothèques une contre histoire de la philosophie ou une contre histoire de la révolution française mais personne ne s’est encore amusé à écrire une contre histoire du végétarisme. Dommage. Il existe par contre des contre-histoire de la nutrition. Mais les ouvrages en question ne risquent pas d’être relus de sitôt car leur auteur partait du point de vue qu’il ne peut exister un même régime alimentaire qui soit valable pour deux individus donnés étant donné que nous sommes tous singuliers tant au plan endocrinologique qu’au plan neuronal. Ce scepticisme radical vis a vis des prétentions des experts en nutrition à nous conseiller autrement qu’en nous mettant en garde contre des dangers réels et avérés,  n’est, vous vous en doutez, pas de mise chez ceux qui nous abreuvent de leurs conseils avisés. 
  
Pourtant une contre-histoire du végétarisme permettrait de redécouvrir les ouvrages oubliés depuis longtemps comme ce récit de voyage d’un ecclésiastique anglais qui racontait qu’en Irlande il a vu des chevaux sauvages se délecter par temps de disette (en hiver) de carcasses de poissons en décomposition échoués sur la plage.

Voyez vous Belenos les animaux se moquent pas mal des cases et des catégories (tel qu’ herbivores etc) dans lesquelles les humains les placent par commodité et surtout par simplicité. Les vaches soit disant herbivores mangent plusieurs dizaines de kilo d’insectes "par mégarde" avec leur herbe. Mais vous trouverez des journalistes français pour dire que les vaches sont "végétariennes" (entendu à la télé) ce qui signifie probablement que les vaches  s’efforcent d’écarter les sauterelles avant d’avaler l’herbe grasse. Misère du journalisme français ! 

Une théorie simpliste pour gens simplets, voilà très exactement ce qu’est le végétarisme. Et comme le français n’aime pas faire d’efforts pour réfléchir, le végétarisme a probablement un bel avenir. Au début du XIXeme siècle ce genre de simplisme était excusable.

Aujourd’hui ce genre de simplisme tend à empêcher les gens d’accéder à un stade de compréhension plus élevé.
Mais ce n’est que mon avis.... 
 


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