berry 6 juin 2018 20:21

@Hieronymus
La clé de voute de cette mystification réside dans la qualité déplorable des 2 vidéos qui nous sont présentées.

En 1870, la qualité des photos du port de Nice permettait d’apprécier le grain de la pierre calcaire utilisée pour la digue, le tressage des chapeaux des employées et les reflets sur l’eau.

http://gallica.bnf.fr/ark :/12148/btv1b33000068/f6.item

Prés de 150 ans plus tard, on a du mal à distinguer les bras de l’enfant et les visages sont méconnaissables sur les deux vidéos.

De même, nous ne connaissons ni l’identité ni les visages de l’enfant, de ses parents et des voisins. Nous devons nous contenter des quelques miettes d’information qui nous sont jetées, comme l’on jette des miettes à des pigeons.

Ils se fichent de nous.


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