ffi 4 août 2017 22:19

@Gollum
Toujours pareil : Votre citation universitaire ne me contredit pas. C’est vous qui ne comprenez pas ce qu’elle signifie. Les forces de frottement dans un fluide sont elles aussi modélisées selon le paradigme d’une matière continue.

A mon tour de citer une université :

« Une particule fluide est un "petit élément de fluide", suffisamment petit pour que l’on puisse considérer que ses propriétés sont homogènes (pression, masse volumique, vitesse... identiques en tout point de la particule fluide)

...

Comme tous les "volumes élémentaires" classiques (terme ici abusif, car le volume d’une particule fluide peut varier), elle subit des mouvements de translation et rotation. Mais puisqu’elle est "fluide", elle est en outre susceptible de se déformer. Par conséquent, sa masse est constante, mais son volume et sa forme peuvent éventuellement varier le long de l’écoulement et/ou en fonction du temps. »

Ainsi, je répépépépépète depuis le bédut : le paradigme de la mécanique des fluides considère une matière continue. Dans cette matière continue, elle y distingue des petits éléments de volume infinitésimaux, que l’on désigne par le terme « particules », terme qui signifie « minuscule partie », ceci pour analyser l’évolution dans le temps et l’espace des diverses grandeurs physiques du fluide. 

Votre erreur est de ne pas appliquer la définition du terme en vigueur dans le domaine considéré. C’est comme si, par exemple, en électricité, vous considériez le terme « courant » selon sa définition en mécanique des fluides...


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