joeblow 23 avril 2016 19:06

@joeblow
(suite)

Une fois qu’a été déclenché le phénomène moutonnier, tout le monde entonne : "que faites-vous avec les gens qui on vu ?" Mais ne se donne jamais la peine de vérifier leurs témoignages exacts. Et si vraiment on se donne la peine de vérifier, la quantité de rapports n’est pas suffisante pour provoquer des dégâts majeurs au récit officiel. Le peu dont nous disposons soutient nettement qu’il y avait autre chose qu’un gros avion à réaction, mais on n’a pas disposé de suffisamment de temps pour rassembler assez de témoignages pour qu’ils puissent devenir des facteurs de preuve significatifs. Et comme le passant ordinaire, la plupart d’entre eux serait facilement convaincu d’avoir mal vu. Certains pourraient conserver des doutes et de la suspicion, mais on les aurait rapidement réduit au silence par le ridicule et le déni, grâce à la pression toute puissante de l’image télévisée, et celle du monde entier essayant de les convaincre qu’ils auront mal vu. La plupart devrait finalement le croire également.

C’est ainsi que ce problème est facilement surmontable. Aucun récit médiatique ne peut tout résoudre, et certainement, il reste des doutes exprimés et de la suspicion parmi quelques personnes qui étaient sur les lieux, mais cela n’est pas suffisant pour provoquer un problème sérieux.

Passons maintenant à l’autre problème.

Quelqu’un pourrait regarder les vidéos et y découvrir ce qu’il y avait exactement. C’est exactement ce que Rosalee [Grable, alias Webfairy] a fait. Alors, les gens passent dans le déni par contrôle mental. Les médias alternatifs sont submergés sans fin par les discréditeurs. Les terroristes criminels connaissaient bien notre psychologie. Ils ne se seraient certainement pas réjouis par la vague de fond de prise de conscience que Rosalee a mise en action, mais cela reste gérable comparé aux problèmes dont je vais maintenant traiter qui subviendraient avec la stratégie d’utilisation de vrais avions à réaction.

J’insiste, ceci n’est nullement de la spéculation. La manière avec laquelle ces deux problèmes ont été gérés a été testé dans le monde réel, cela correspond exactement avec les faits tels qu’ils ont été enregistrés, et le fait que j’ai même besoin d’écrire ceci, 3 ans après que Rosalee ait la première décelé et expliqué les preuve présentes dans les vidéos, est un témoignage de la sagesse avec laquelle les terroristes criminels ont évalué leur choix de stratégie.

Examinons maintenant le choix alternatif, utiliser de vrais avions à réaction.

Ce choix se divise immédiatement en deux 1) Les faire piloter par des pilotes-suicides 2) les piloter à distance.

Le problème lié au premier choix est évident et je pense que la plupart des gens sur cette liste [de discussion] ont déjà compris l’absurdité et les difficultés monstrueuses d’un tel scénario, donc je ne vais pas m’appesantir dessus.

Pilotage à distance.

Avant de traiter des problèmes liés à ceci, le scénario se divise en plus de choix.

1) Détourner un vol réel avec de vrais passagers à bord. 2) Faire décoller un avion de quelque part et le faire passer pour une vol réel.

Le choix est de crasher un avion, soit avec des passagers à bord, soit sans passagers à bord. Les deux options créent des problèmes potentiellement insurmontables pour faire disparaître les indices – et surtout, elles réduisent la probabilité de coup au but des avions.

Examinons ce dernier problème. Même si c’est certainement faisable de diriger à distance un gros avion à réaction dans les tours, il s’agit tout de même d’un tir de haute précision à réaliser avec un aéronef très faiblement manœuvrant. Il y a un risque significatif que l’avion ne frappe pas correctement sa cible, qu’il frappe un autre immeuble, qu’il coupe simplement son aile sur la tour et tombe dans les rues ou qu’il provoque une chaine de dégâts sur d’autres immeubles non visés, qu’il rate tout et tombe dans l’Hudson, encore à peu près intact – toutes sortes de risques possibles.

Quelle que soit la probabilité d’un crash réussi, elle serait nettement inférieure à celle d’un missile ou de l’engin qui a frappé, conçu spécifiquement pour réaliser de telles frappes de précisions.

Même la plus petite augmentation du risque que la cible ne soit pas frappée correctement serait totalement inacceptable, considérant la facilité avec laquelle peuvent être gérés les problèmes liés à au scénario alternatif.

De plus, rater la cible n’est que le début du problème. Comment gérer les suites ? Une fois que la cible est ratée, il y a un risque significatif que l’aéronef s’écrase en laissant des débris relativement intacts. Les secours et les services d’urgence qui sont totalement innocents dans l’opération, et les gens ordinaires qui veulent aider vont atteindre les débris avant n’importe lequel des criminels, étant donné que l’emplacement du crash ne peut pas, dans ce cas là, être prévu à l’avance.

Que vont-ils trouver ? Deux possibilités. Un avion sans personnes à bord. Comment les terroristes vont-il expliquer la chose, hein ? Ou un avion avec des passagers. Cela pose encore plus de problèmes. Utiliser un avion avec des passagers implique deux choix supplémentaires.

1) Compter sur le fait que tous les passagers seront bien tués dans le crash, afin qu’aucun survivant ne parle, ou sur le fait que les criminels atteignent le lieu du crash avant tout le monde et puissent les éliminer avant qu’ils ne puissent parler.

2) Les tuer avant le crash par un gaz introduit au moment voulu dans le circuit de la climatisation. Ceci bien sûr laisse plus d’indices judiciaires qu’il faudra dissimuler, quand les corps seront examinés. Imaginez l’ampleur de l’opération à lancer afin d’avoir suffisamment de criminels sur le lieux des débris assez rapidement pour pouvoir maîtriser ce que les médias, des sauveteurs innocents ou des survivants pourraient commencer à raconter, avant que la propagande médiatique prenne le relais. Tout ceci est nettement pire que ce qu’un petit nombre de témoins pourraient raconter pendant les 18 minutes qui séparent les deux frappes.


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