Mélenchon est excellent quand il est méprisant avec ses anciens alliés de gauche (PS, EELV) dont la moitié mériteraient d’être pendus -avec une corde en chanvre- et l’autre moitié tondus ou lynchés avec des tomates -bios- pourries. 
Ca fait presque même mal au coeur de devoir rappeler qu’il avait appeler à voter au second tour pour Hollande et ses conseillers issus de la finance internationale à l’Elysée, du Macron-Rotschild et tout ce cloaque.

Il en est d’autant plus convaincant lorsqu’il adopte enfin des positions souverainistes anti-eurocratiques, comme une certaine candidate qui il y a peu, "voulait la peau" du commissaire européen à l’agriculture...

Par conséquent, lorsqu’il deviendra raisonnable sur l’ouverture des frontières pour les travailleurs, paradis du capital, il cessera d’avoir des positions pro-immigrationnistes totalement incohérentes pour les plus précaires en France, ce qui explique son peu d’implantation dans le monde ouvrier.

Pareil sur Trump, il se gourre : les Etats-Unis seraient bien plus isolationnistes et moins nocifs pour le reste du monde qu’avec un démocrate soumis au neoconservatisme et à Wall-Street.

Autre erreur, la trahison ou le baissage de froc de Tsipras était prévisible dès le début, dès que ces tocards ont demandé conseil à la banque Lazard de Pigasse pour restructurer leur dette, cela voulait dire : TRAHISON. Mais Mélenchon fait semblant d’être sourd ou con quand ça l’arrange et ne pas fâcher réellement la finance. Jaurès qui alla chercher le pognon des banques allemandes pour fonder l’Humanité, est bien un aïeux digne de Mélenchon...

Bref, une fois qu’il aura bien tout compris Mélenchon, il sera alors mûr pour la présidentielle de 2037 et aura à peu près 95 ans 

Sa vanne sur les "îles Schmoll" à Touati -surement un fin connaisseur des investissements sans risques celui-là...- fut un régal. Dans le mépris envers les cons, c’est un chef.