herve_hum 5 février 2016 00:58

@wendigo

Vous voulez une définition du temps ?

très facile, le temps est la mesure de toute chose !

Sans le temps, vous ne pouvez pas mesurer un espace, c’est impossible.

L’espace est indéfinissable par lui seul, il faut y ajouter le temps pour le définir.

Cela veut dire que le temps est, relativement à l’espace, son unité quantique.

Si on reprend l’image d’un canevas sur lequel sont posés les corps stellaires, alors, le temps est chaque maille du canevas, ou pour un plateau quadrillé aux bords infini, le temps est chaque case.

Mais là où ça devient intéressant, c’est quand on y ajoute certains ingrédients et qui permet de développer le principe de relation de causalité de l’Univers en lieu et place du principe de causalité d’Aristote.

Ici, c’est une révolution conceptuelle d’une portée supérieure à la découverte scientifique de l’héliocentrisme par Copernic et Galilée, car elle touche les fondamentaux du cogito humain, le faisant passer du géocentrisme appelé pour le coup anthropocentrisme ou égocentrisme pour d’autres, à l’héliocentrisme, c’est à dire, où l’humain n’est le centre que de sa propre pensée et non de l’Univers.

C’est à dire, que la conscience repose sur sa propre réalité et non sur celle de l’humain, qui, malgré les avancés de la science dans la connaissance de notre environnement, continu de se penser comme la conscience de l’Univers.

L’Univers obéit au principe de relation de causalité et nul ne peut s’en affranchir sans se précipiter dans le néant.

La preuve ? Eh bien, si l’humanité poursuit dans son entêtement à nier le principe de relation de causalité, la théorie du principe dit que nous allons vers l’auto destruction très rapidement maintenant, car le niveau de dissociation de relation de causalité ou autrement appelé, dissonance cognitive ou encore déni de réalité est tel, qu’il n’est plus soutenable en l’état.

Ce haut niveau de dissociation est la marque que l’humain doit mettre sa conscience en phase avec sa connaissance acquise de manière urgente. L’analyse de l’évolution au regard du principe, indiquant que nous devons changer de dimension de conscience d’être, car le refus signifie le choix de la négation, donc de l’oubli, donc de la destruction.

Mais le temps, c’est la mesure de toute chose et non pas l’humain qui n’est la mesure que de lui même !!!

Bon, le développement du principe de relation de causalité, fait passer du monde simpliste d’Aristote, au monde complexe de l’Univers.

Mais pour l’instant, j’avoue échouer à le faire percevoir. c’est ça le problème, les gens veulent connaître la vérité, mais à condition qu’elle colle à la leur propre, or, c’est évidemment impossible. La condition pour connaître la Vérité, c’est de s’y plier, de s’y soumettre et non de prétendre la connaître avec l’ambition de la soumettre, car c’est impossible. Sauf dans l’imaginaire des humains, car leur permettant de s’affranchir de tout principe, lois ou règles, mais tout en voulant en conserver les avantages et l’usage....

Bref, ils veulent la vérité pour le mensonge. La relation de causalité pour la dissociation.

Et avec cela, l’humain se veut humble, mais d’une prétention supérieure à Dieu.

Bon, on peut continuer toute la nuit ainsi, et souhaitons qu’Einstein avait tort en disant que la connerie humaine est infini, souhaitons qu’elle ait son temps à vivre, donc à pouvoir se mesurer !


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