Baston Labaffe Gaston Lagaffe 14 mai 2015 19:38

@maQiavel
Une entreprise, une équipe sportive, un groupe d’individus groupés sous une seule bannière, politique, idéologique, humoristique, une fanfare, un groupuscule de groupies d’une star quelconque etc, bref dès que l’humain est plus que un il y a risque de dérives sectaires tout bonnement de par sa fameuse nature sociale ridicule, son besoin d’appartenance à un groupe pour les moins confiants en eux mêmes des humains qui n’osent pas arpenter seul le chemin de leur vie, besoin de se faire materner perpétuellement, assistanat puéril, manque de maturité évident, signe de faiblesse plus que flagrant, bref que ce soit religieux ou pas, dès que l’humain est plus que deux il a tendance à devenir très con sous l’effet de groupe qui provoque en lui des réactions de mouton bêlant qu’il n’aurait pas étant seul. C’est pas nouveau, et dès qu’un groupe d’individus prend de l’împortance même minime il y a automatiquement phénomène de hiérarchisation grotesque au sein du groupe donné, par nature humaine également entre dominants et dominés et les divers degré d’implication que l’individu consacre à son groupe, religieux ou non, mais dès que l’on rentre dans des règles, des lois, des codes propres au groupe défini, l’humain dans son immense connerie se donnera des grades hiérarchiques au détriment d’autres membres du même groupe moins fanatiques ou moins actifs mais demeurant, ces demeurés, des sympathisants inconditionnels à ce groupe par peur sans doute, de se voir rejeté et devoir se confronter d’individu à individu, avec lui même, et ça peu d’humain sont capables seulement de rester seuls une seule nuit avec eux même, ils auront tellement la trouille de leur propre ombre qu’ils retourneront vers un groupe afin de fuir cette peur primale, cette solitude oppressante ou l’horreur de leur propre nature. On tourne en rond depuis des millénaires car l’individu n’a jamais l’occasion ni les moyens de s’épanouir en tant qu’individu, il pense groupe et pas individu, mais un groupe composé d’individus non matures ou non épanouis sera un groupe de gens frustrés et névrosés, pas finis, mal vivant, des pélerins sur le chemin de la constante et perpétuelle erreur puisque la lupart se contente de suivre des lois écrites par d’autres sans les remettre en question ou seulement dépasser les frontières que fixe leur dogme, qu’il soit religieux, professionnel ou autre, peu importe il ne s’agit ici que de sociologie et d’anthropoligie, ce qui est vérifiable dans toutes les cultures qu’a compté le genre humain histoiriquement parlant. L’humain est un con qui se prend pour dieu.


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