philouie 30 mars 2015 18:31

Bonjour,
Mon projet est communautariste sans que je sache bien en dessiner les contours.
La communauté est le mode humain de vie. Nous en avons besoin pour vivre.
Il y a ceux qui voudraient nous détacher de nos communautés, tel BHL qui prêche pour que l’homme dépasse ses clivages communautaires, de musulman ou de breton mais qui reste lui, juif, jusqu’au bout des ongles.
Certains prétendent que la communauté est la mère de toute les guerres. Nous avons agrandi notre communauté et à la place de petites guerres nous avons eu des grandes guerres.
Il y a urgence dans la mesure où l’état-nation France est en train de se faire laminer par l’Europe. Il y a urgence également : chez l’homme grégaire - et l’homme est grégaire -, c’est le nous communautaire qui pense. Chez l’homme sans appartenance c’est la masse qui pense. Le projet communautariste vise à briser la masse.
A mon avis, il faut deux mouvements : le premier que l’état redonne de l’autonomie aux communautés et le second que les gens se réapproprient l’idée d’appartenance(s) communautaire(s).
Pour que l’état redonne de l’autonomie, il faut interroger les limites, non pas tant sur les devoirs de l’état mais plutôt sur ce qui lui est interdit.
La première limite que je vois est celle du corps. ce qui comprends la nourriture, le vêtement, le mariage, l’héritage (propriété) et la sépulture.
La deuxième limite est celle de l’esprit. qui comprend la liberté de conscience, les lois morales et les tribunaux communautaires.


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