Popper dit peut-être quelques conneries sur l’homme Platon (dont on ne sait franchement pas grand chose), mais ce n’est pas l’essentiel de son propos dans "La société ouverte et ses ennemis". Certes, il fustige clairement l’historicisme et par conséquent l’idée d’un sauveur politique. Le romantisme du grand homme providentiel en prend évidemment un coup.