Semi Kebab 6 janvier 2015 23:45

Sans vouloir apporter de l’eau au moulin en oubliant au passage de la changer en vain en jus de raisin fermenté pour la cause de l’enfant d’Eric et par conséquent du grain à moudre pour la machine inversée à fabriquer des cafés au lait et charger la mule déjà bien lourde des jaunâtres bridés au culot débridé et au goulot dévissé, une seule remarque s’impose, que dis je, une seule question se pose sans se reposer, après nos vignobles et grands châteaux, maîtres oenologiques qui ont contribué à la grandeur de la France raffinée que seuls les nostalgiques de Marc Veyrat, de la Tour d’Argent, et autres sommités gastronomique avant de basculer dans le trop snobinardement prétentieux chimique molléculaire connaissent en lieu et place des fans de Norbert et de Captain Igloo de chez Tricatel, le top des chef qui cauchemarde en cuisine, alors ?

 

 

Dans quelles mains, je vous le demande, a récemment basculé le très franchouillard mais si bronzés en trilogie. le nostalgiquement symbolique qui a fait une part de notre fierté que le monde entier nous envie, j’ai nommé : Le noblissime "Club Med", le bien nommé producteurs en chaîne de talentueux génies de l’humour après l’amour comme les suprémissimes Lagaff rouillé et autres Elie Kakou, inoubliables plaisantins comme le plagiaire de Franquin, passé par la postérité de la télé après un big deal retentissant pour un baltringue de TF1 et pour l’acteur de la Vérité si je mens au destin plus funeste que celui de Louis 2 a tiré sa révérence, victime de lumière d’un crime éternel crabuleusement commis par un cancer antisémite anticipé venu de l’extrême droite de la gauche rouge brune avec un peu de vert dedans, telle fut la tragédie vécue par l’interprète de l’immortelle Madame Sarfati, la hantise des salsifis lââmisés au son des je t’aaaaaaaaaaaaaaimheeeeeeuuuuu comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinémaaaaaaaaaa qui rejaillissent du fond de la classe pour ceux qui usaient les bancs des cancres des 20 heures de France 3 dont Fabrice qui n’est pourtant pas de Nice oeuvrait en MC tout en fantasmant sur les seins de la plantureuse Muriel Montociel qui jouit des blagues de Blaise et le Ponpon c’était d’avoir un compatriote de Valls, El Chato qui massacrait la langue de Molière sous les glapissements réjouis d’un Palmade, pilote dans la panade n’osant faire son coming out de peur que Michelle le Roque de l’échiquier médiatique, mais y’avait quand même comme un hic sous le Titanic puisque cette époque sombre sombra dans le révolu sans le dictionnaire ?

 


Donc oui, à la lecture de cette analyse et de sa conclusion nous pouvons en déduire sans prétention, en toute connaissance de cause, sans l’excuse de l’ignorance puisque tout est sous nos yeux de merlans frits, que le péril jaune... C’est une terrible certitude, une vérité sans détour, mais l’humanité doit le savoir, faites passer le message autour de vous, y a erreur sur la couleur, le péril n’est pas brun, ni rouge, ni même noir, non, il est jaune. Je sais, je partage votre stupéfaction, mais je vous le dis quand même, méfiez vous du péril blanc, car Ariel Dombasle en vend deux barils pour le prix d’un, c’est le moment d’acheter... Mais à vaincre sans péril on triomphe sans gloire, cruel dilemme...


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