Elle a quand même, en dernière instance, une sacrée culotte de cheval, la fille de la vidéo. Ceux qu’elle prend un peu hâtivement pour des dragueurs obsessionnel compulsifs sont peut être simplement des inconditionnels de courses hippiques en proie à un réflexe pavlovien devant ces formes chevalines leur rappelant leur dernier tiercé gagnant et l’euphorie éphémère qui en découlat, qui sait ?