Elles ne savent jamais ce qu’elles veulent et tombent dans tous les stratagèmes enseignés par les maîtres de la pleurniche afin qu’on s’intéresse à elles.

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Preuve par la cause et l’effet de la cause :

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Cause 1 : Personne ne la regarde dans la rue, tout le monde l’ignore, elle semble être le fantôme de l’ombre d’elle même, la femme invisible des hommes visibles.
Effet 1 : Pleurniche : Ouiiiiiin personne ne me regarde, personne ne me drague, personne ne m’aborde, je suis un thon, une mocheté, vite à l’esthétitienne et si ça ne suffit pas, la chirurgie, ils finiront bien par remarquer que je suis la plus belle pour aller danser.

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Cause 2 : Tous les gros lourds en rut s’extasient façon Tex Avery avec la langue qui se déroule sur le bitume tel le tapis rouge cannois moyen devant une paire de fesses qui ne demande qu’à se faire ramoner avec moult onomatopées sonores du genre le train arrière qui sifflera trois fois.
Effet 2 : Pleurniche : Ouiiinnnn J’en ai marre, je suis trop belle pour ces ploucs, c’est affreux comment je suis trop sexy, c’est carrément insupportable, une Somalienne ne sait pas la chance qu’elle a à côté de moi et du calvaire quotidien que je vis, j’en ai trop marre d’être belle, je vais me vitrioler la gueule pour avoir la paix dans le RER...

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Quoiqu’en soient les configurations, la conclusion reste indubitablement la même : Qu’on s’occupe d’elles, car qu’elles soient fleur de poubelle ou reine de beauté, toutes les filles, elles ont besoin d’amouuuuurrrrr.... D’un amoouuur XXL ... Elles veulent de l’amooouuuur XXL... Toutes des vilaines fermières, moi je dis.. Ou de l’influence d’une rouquine boboïde enigmatika gothikae sur la jeunesse actuelle. Boycottons Mylène Farmer